Caricature Grandjouan

grotesque Gros Bonhomme (« the Fat Boy») ; des filous et des escrocs comme Stiggins, Jingle et son fidèle Job Trotter, ou les avocats Dodson et Fogg. De nombreux snobs font leur apparition dans le récit du séjour à Bath ; Allen et Sawyer sont des caricatures de médecins dépassant le ton de la plaisanterie malicieuse pure et simple. Sans abandonner tout esprit satirique, l’oeuvre célèbre avec gaieté une certaine Angleterre où les conventions sociales les plus absurdes engendrent une poésie inattendue

travers leur physique : « les rondeurs de ses reins […] bedaine flamande ». Dans le vers dix-sept nous pouvons voir des allitérations en r et en b, mais surtout les assonances an, on, ein qui allongent le quatrain. La satire passe donc par la caricature physique des bourgeois, le cadre est parfait pour y dresser une critique morale. On ne saurait voir dans ce poème une attaque virulente de R contre la société de son temps. D’une part, les bourgeois de Charleville se réunissent pour un événement

peut apporter un contexte. Texte interdépendant. Il peut y avoir un niveau de réalité changeant à travers le dessin de la bd. Style franco-belge : sur-dimension d la tête des personnages comparé à leur corp ainsi on peut mieux mettre en avant la caricature et les mimiques. Autres styles : réalistes, cubiques, cartoon, minimalise… Le style de trait, son épaisseur peut faire passer des émotions, des idées, des ressentis. Femmes voilés, les couleurs en aplats il faut qu’il y ait une seul couleur

sont lorsqu’il écrit « les bruits…des navires », sans chercher à donner une vision améliorée de la réalité. Lorsqu’il utilise les mots « deux Robinsons », c’est de l’ironie. Puis le passage « leur béatitude, le plus magnifique de la terre » est une caricature, une exagération. Ensuite, il raconte « des arbres, le ciel bleu, le gazon, l’eau couler » les mots sont banals contrairement a ce que l’on peut trouver dans le romantisme. Vers la fin du texte, lorsqu’il reprend le passage de Lamartine, il écrit

personnage à une caractéristique physique ou morale. L’absurde: Il s’agit d’un comique reposant sur des décalages ou une situation bizarre. Satirique: Il repose sur une critique qui utilise le comique, le rire. Ce registre utilise l’ironie, la caricature, l’humour pour dénoncer. Ironique: L’ironie s’apparente à la moquerie. Il consiste à dire le contraire de ce que l’on pense (=l’antiphrase) Polémique: Il s’agit d’énoncer des idées qui peuvent choquer afin de créer un débat, le but étant

de TF1). C’est une caricature du monde politique, des médias, des personnalités ou plus généralement de la société française et du monde actuel. Chaque émission commence et se termine par une phrase culte de la caricature, telle que « Vous croyez toujours ce qu’on vous dit à la télévision, bonsoir. » ou bien « Aller, atchao, bonsoir ! ». Le caractère répétitif des citations et des stéréotypes des marionnettes, ont permis de rendre parfois plus populaire les traits de la caricature que la personne elle-même

les humoristes sont Protégé et libre et ne se gène pas pour en profiter. Stéphane Guillon fait de l’humour au second degré qui ne peut pas plaire a tout le monde et pourtant il n’est jamais blâmer par son supérieur, ni part la loi. De même que la caricature du président et de Carla Bruni sur le site plantu.fr en 2009 ou le dessinateur se moqué ouvertement de la manière dont gère le président notre économie. Apparemment tous les sujets peuvent être abordés. Comme la souligné pierre Desproges « On peut

aux dominos et qui ne voient pas ce qui se passe sous leurs yeux. Pour couronner le tout, ils sont persuadés à tort de comprendre à mi-mot Mme Raquin alors qu’ils ne font que créer -par leur suffisance- un énorme quiproquo. Cela en devient une caricature comique de la bourgeoisie parisienne du XIX ème siècle, rejoignant en image la pensée d’Ernest RENAN : « La bêtise humaine est la seule chose qui donne une idée de l’infini ».

I. Un portrait argumentatif fondé sur la satire de l'égocentrisme : Une véritable caricature : le portrait suit une progression à thème constant – L'attention est focalisée sur le personnage de Gnathon (la consonance antique en fait un modèle a priori) Pourtant, le lecteur se rend compte rapidement qu'il s'agit : Portait d'un égocentrique Omniprésence du personnage manifestée à travers : l'emploi de nombreux pronoms personnels : 25 « je » (pronom sujet) + lui + soi. l'importance

contre un homme vraiment nu ? » (sc. 4)) . Molière dénonce ce groupe social sous la forme d’une comédie de mœurs en effet elle fournit un témoignage sur les problèmes contemporains mais cette comédie va aussi utiliser les principes de la farce : caricature des personnages, comiques de geste… Molière dans cette comédie donne des noms ridicules aux personnages (Grogibus) c’est un procédé de farce, de plus nous observons un décalage entre la fonction et le titre des personnages (marquis de Mascarille :