Carlos Andrés Pérez

vers 1496 dans l’isthme de Tehuantepec, au sud du Mexique. Très peu de choses sont connues sur les origines de La Malinche. La plupart de ce que les historiens pensent connaître à propos de sa vie, nous a été transmis par les récits du conquistador Andrés de Tapia, par le biographe « officiel » de Cortés, Gómara, et surtout, par les chroniques de Díaz del Castillo. Sa version de ses origines est un récit pittoresque qui semble trop romantique et biblique pour être entièrement crédible, bien qu’il n’y

pouvait se rendre pour marchander n'importe quelle quantité de drogue. Le bureau se chargeait de la mettre en circulation dans les rues des grandes villes nord-américaines pour un prix oscillant entre 25 000 et 45 000 dollars par kilo. Le rôle joué par Carlos Lehder Rivas, fils d'un Allemand et d'une Colombienne de classe moyenne, résidant aux Etats-Unis, a été fondamental dans l'ascension d'Escobar. Initié au commerce de la cocaïne en transportant de petites quantités de drogue, Lehder a conçu l'idée

pour le continent. L’avenir semblait lumineux, mais c’était sans compter la crise internationale des années 1980. La crise économique Le chômage s’installe, l’inflation devient incontrôlable : le peuple gronde. Pour relancer l’économie, Carlos Andrés Pérez impose des mesures d’austérité draconiennes. En 1989 et 1990, des émeutes font des centaines de morts. L’armée se révolte, prenant le parti d’un jeune officier, Hugo Chavez, qui tente un coup d’État en 1992. Un échec qui se solde par l’emprisonnement

sportifs ; le Tour de France cycliste à la fin des années 1990, etc.. En 2003, Nike Inc. rachète son rival Converse Shoes pour 305 millions de dollars. En 2005, Phil Knight (PDG et fondateur de Nike) prépare sa succession. Il désigne son successeur, Bill Perez, avant de pousser ce dernier vers la sortie et de le remplacer en janvier 2006. En 2007, Nike rachète Umbro pour un montant de 409 millions d'euros. En 2008, Nike se sépare de Bauer en le vendant à un groupe d'investisseurs dirigé par l'homme d'affaires

estime à 2 000 tonnes la quantité d'armement livré27 et seulement 2 tonnes par Jon Lee Anderson28. Ernesto Guevara se rend brièvement au Salvador pour renouveler son visa, et retourne au Guatemala quelques jours avant la tentative de coup d'État de Carlos Castillo Armas appuyé par la CIA qui accuse Arbenz d'être communiste29. Les forces anti-Arbenz qui viennent du Honduras ne réussissent pas à arrêter le transbordement des armes. Après une pause pour se regrouper, la colonne de Castillo Armas reprend

cerezo y nogal, obras sobresalientes como las puertas del Palacio Arzobispal de Sevilla y obras para la Catedral, la Biblioteca Colombina, la Real Academia de las Letras o el Hospital de Venerables Sacerdotes. Otros ebanistas de relieve son José Pérez, en Sevilla, especializado en mueble inglés, Antonio Mesa, en la misma ciudad, Diego Segura, en Arahal, quien también realiza obras de restauración de mobiliario, y Antonio Lamela, en Fuentes de Andalucía, quien se ha distinguido por fabricar sillería

secret. En 1952, les élections présidentielles faussées par la junte militaire ont lieu, une nouvelle dictature s´instaure au Venezuela, et Marco Pérez Jiménez prend le pouvoir, une nouvelle Constitution voit le jour. Le pays, dont le nom officiel est États-Unis du Venezuela depuis 1864, prend alors le nom de république du Venezuela. L´armée renverse Marco Pérez Jiménez en janvier 1958. Les dictatures n´ont pas permis d´assurer un développement suffisant de l´économie, en effet, des concessions ont été

Manousek, P. (2012). Comparison of Regional Integration in Europe and Latin America. Global politics. [En ligne] (consulté le 01/12/2014) http://www.globalpolitics.cz/clanky/comparison-of-regional-integration-in-europe-and-latin-america Perez Carlos Andrès. L'Amérique latine et l'Europe : intégration et interdépendance. In: Politique étrangère N°3 - 1991 - 56e année pp. 723-728. [En ligne] (consulté le 01/12/2014) /web/revues/home/prescript/article/polit_0032-342x_1991_num_56_3_4065 Petiteville

et source : Narrativo C. Martín Gaite – Lo raro es vivir Manuel : Cuenta conmigo - Première p. 126 Nombre de lignes : 30 Thèmes : América española – Luchar (por la independencia - 1780) Titre : El Libertador Type et source : Narrativo Carlos Fuentes – El espejo enterrado Manuel : Cuenta conmigo - Première p. 140 Nombre de lignes : 23 Thèmes : América española (‘biografía’ de S. Bolívar’) Titre : Proclama sobre la libertad de los esclavos Type et source : Proclama de Simón Bolívar

estime à 2 000 tonnes la quantité d'armement livré22 et seulement 2 tonnes par Jon Lee Anderson23. Ernesto Guevara se rend brièvement au Salvador pour renouveler son visa, et retourne au Guatemala quelques jours avant la tentative de coup d'État de Carlos Castillo Armas appuyé par la CIA qui accuse Arbenz d'être communiste24. Les forces anti-Arbenz qui viennent du Honduras ne réussissent pas à arrêter le transbordement des armes. Après une pause pour se regrouper, la colonne de Castillo Armas reprend