Cartel de Medellín

mondiale de niveau 2 , il y a une bourse , un aéroport fréquenté , c’est la ville de la mode c’est aussi une cité artistique : la Scala. Elle est jumelée avec Chicago, Canton (Ghuang Zhu) en chine, Buenos Aires et Medellin en Colombie capitale mondiale de la drogue (les cartelles de Medellin). Turin est le siège de Fiat, Gênes c’est le port ancestral de la région et c’est aussi le 1er port de la péninsule italienne. La plaine du Po est très riche en matière d’agriculture et se termine par un haut lieu

1980, les États-Unis aident le gouvernement pour engager la lutte contre les mafias colombiennes, le pays étant devenu au premier rang mondial pour la transformation et l'exportation de drogue aux mains du «cartel de Medellin», puis après la mort de son chef (Pablo Escobar) en 1993, du «cartel de Cali». Histoire de la Colombie Histoire Politique • En 1991, une nouvelle constitution est adoptée. – article 1: La Colombie est déclarée « État social de droit, organisée en République unitaire, décentralisée

néanmoins perdus de leur [1]. L’objectif de départ étant la quête de pouvoir politique est plutôt mis de côté, de nos jours ils s’orientent de façons générales vers les cartels de la drogue et les enlèvements d’otages afin de réclamer des rançons. Ces activités sont majoritairement concentrées aux alentours de deux villes principales, Medellin et Cali. Le coca est cultivé en Colombie, mais aussi au Venezuela et en Équateur, transporté et transformé en Colombie, puis redistribué principalement au États-Unis

le Caucase, au Liban en Turquie. Les filières d’acheminement sont diversifiés. 2. La production de cocaïne s’effectue principalement dans les montagnes chaudes et humides des Andes en Colombie et au Pérou Des cartels, des organisations mafieuses se disputent dans les Villes de Medellin et de Cali, par les armes s’il le faut, ce fructueux marché. La drogue est en général acheminée par petits avions via Panama et les îles des Caraïbes. Des guérillas d’Amérique latine ont aussi utilisé ce trafic

droit. Il collabore aujourd’hui comme grand reporteur à plusieurs journaux, Le Monde et Le monde diplomatique, Télérama, Le Nouvel Observateur. Il est déjà l’auteur de quatre ouvrages documentaires : La Vie quotidienne en Colombie au temps du cartel de Medellin (La vie quotidienne), Sans domicile fixe (Hachette Pluriel), Une mort africaine (Seuil), Lourdes, sa vie ses œuvres ; et d’une série de romans policiers historiques mettant en scène Diderot, d’Alembert et Rameau, dans la collection Labyrinthes

de la zone du canal de Panama en 1999 qui voit passer 5% du commerce mondial, geste à nuancer par la vétuste du canal). Ils ont aussi justifié leur présence diplomatique et militaire au nom de la lutte contre le narcotrafic (démantèlement du Cartel de Medellin de Pablo Escobar en 1989) ; 5) Quelle tendance politique profite depuis le début du 21° siècle, du retour à des élections libres ? La tendance politique qui profite depuis le début du 21 ° siècle est le développement de mouvements de gauche

puis celui des puissantes compagnies pharmaceutiques allemandes et états-uniennes dans l’industrialisation de la culture du cocaïer. De même, la couverture médiatique partisane de la géopolitique colombienne et les affaires mythiques des « cartels » de Medellin ou de Cali, démantelés au début des années 1980, ont depuis longtemps fait apparaître la Colombie comme le cœur des réseaux mondiaux de la cocaïne. De nombreux points demeurent cependant obscurs lorsque l’on aborde l’instrumentalisation du

s’organisent, elles aussi, selon le modèle d’un « global village » ? Au-delà des différences entre chaque organisation, n’y a-t-il pas un lien profond qui unit chacune des organisations criminelles par delà le monde ? Que l’on soit Yakuza, membre d’un cartel colombien ou fonctionnaire corrompu dans une URSS déchiré par un système en crise, la mafia apparaît comme une grande famille pour laquelle il est nécessaire d’entretenir des liens avec les différentes parties du monde afin de soutenir le marché du

conflicto diplomático con los Estados Unidos y una crisis de gobernabilidad. Mientras continuaba el caos político, la guerrilla de las FARC y el ELN, así como las denominadas AUC se fortalecieron tomando parte del control de las actividades de los carteles del narcotráfico. El narcoterrorismo, las guerrillas, los paramilitares y el crimen organizado mantienen al país en un estado de crisis permanente, con acciones como toma del Palacio de Justicia de Colombia en 1985 o el atentado al edificio del

présidentielle sont assassinés par des hommes de main des cartels de la drogue : il semblerait qu'ils soient directement en relation avec des hommes politiques en campagne électorale. Des suspicions de corruption entre le gouvernement et certains paramilitaires ou autres narcotrafiquants sont ainsi émises et l'élection du libéral Ernest Samper, en 1994, serait le fruit du financement de sa campagne par l'argent sale des narcotrafiquants du cartel de Cali. C’est seulement en 2005 que la Cour suprême