Cas Lafarge Parties Prenantes

ELEVATIONS [pic]Les murs et élévations [pic]Les différents types de murs 5. A SAVOIR [pic] Des règles pour vos travaux [pic]Les DTU (Documents Techniques Unifiés) [pic] L'intérêt du certificat d'urbanisme [pic] Dans quels cas faire appel à un bureau d'études ? [pic] Adresses utiles pour faire procéder à un diagnostic 1 .LES FONDATIONS, DALLES ET PLANCHERS [pic] A la découverte des matériaux Ciment, béton, mortier... de quoi parle-t-on ? [pic] [pic]

................................................... 17 2.1 LE PORT SEC SOUS DOUANE MIS EN SERVICE ....................................................................................... 17 2.2 LA ZONE D’ACTIVITES LOGISTIQUE (ZAL) OPERATIONNELLE A PARTIR DE 2015 ................................ 19 2.3 CONTENEURS ....................................................................................................................................... 20 2.3.1 Qu’est-ce qu’un « Conteneur » ? ..........

échantillon d’experts et d’acteurs concernés par les impacts de cette directive. AMF, la Chancellerie, large représentation des entreprises et d’administrateurs, ACTEO, MIDDLENEXT, IFA, IFACI, AMRAE, DGTPE, CNCC et PwC, sous la présidence de Mr Poupart-Lafarge. Un an après l’entrée en vigueur de l’ordonnance, l’AMF a publié le 22 juillet dernier les éléments de conclusion de son groupe de travail sur le Comité d’audit. Cette ordonnance a institué, pour les entités dont les titres sont admis sur un marché

d'information 7. Bibliographie Page 5 Page 7 Page 10 Page 17 Page 24 Page 26 Page 42 2 DEFINITIONS EN BREF LES TUILES La tuile est une plaquette de terre cuite dont on se sert principalement pour couvrir les bâtiments. Les tuiles sont fabriquées à partir d'argiles qu'on transforme en une pâte de consistance et de finesse régulières, qui est humidifiée avant mise en forme, puis séchée longuement et cuite au four. On distingue principalement : 1° les tuiles canal (ou tuiles creuses, rondes, romaines

l'avantage financier direct qui découle, pour l'émetteur, de l'émission d'une monnaie. Dans le cas de la monnaie fiduciaire, émise seulement par les banques centrales, il est égal au montant émis, moins ses coûts de fabrication, de mise en circulation et d'entretien (remplacement des espèces usagées). S'ajoutent à ce revenu les intérêts de refinancement du système bancaire par l'institut d'émission. Dans le cas de la monnaie scripturale, ce sont les banques de second rang (banques commerciales) qui,

États à fournir à l Agence européenne de l Environnement, à Copenhague, le registre de données des émissions, qui devrait être disponible au public dans le Registre Européen des Émissions Polluantes (EPER). En Belgique, la Région wallonne répond en partie à cette obligation à travers le document « L environnement wallon à l aube du XXIe siècle »2. La Commission européenne a adopté une recommandation3 favorisant la prise en considération des aspects environnementaux dans les comptes et rapports annuels

rapporteurs de cette thèse. Le regard critique, juste et avisé qu’ils ont porté sur mon travail ne peut que m’encourager à être encore plus perspicace et engagé dans mes recherches. Je remercie le Professeur Jacques IGALENS d’avoir accepté de faire partie de mon Jury. Mes remerciements les plus sincères s’adressent également aux Professeurs Michèle SABOLY, Isabelle MARTINEZ, Constant DJAMA, Alain ALCOUFFE, Mireille BRUYÈRE, Philippe JEANS-AMANS et Patrice ROUSSEL pour leurs conseils et leurs encouragements

; 3- L’inspection générale des finances. B- l’audit public exercé par les organes du contrôle externe au ministère des Finances : 1- la Cour des comptes ; 2- la cour régionale des comptes ; 3- le parlement II- l’audit contractuel : Cas de KPMG Chapitre III : les contraintes et les conditions de développement de l’audit public Master en sciences de gestion Page 1 L’audit dans le secteur public I- les contraintes et les obstacles de l’audit public 1- les contraintes

public ; 3�� L’inspection générale des finances. B�� l’audit public exercé par les organes du contrôle externe au ministère des Finances : 1�� la Cour des comptes ; 2�� la cour régionale des comptes ; 3�� le parlement II�� l’audit contractuel : Cas de KPMG Chapitre III : les contraintes et les conditions de développement de l’audit public L’audit dans le secteur public Master en sciences de gestion Page 2 I�� les contraintes et les obstacles de l’audit public 1�� les contraintes des

duration : C’est un calcul de la durée de vie moyenne restante d’une obligation en se basant sur les flux futurs actualisés. La sensibilité : Elle se calcule à partir de la duration et permet de connaître la variation du prix de l’obligation en fonction d’un changement des taux d’intérêts. Cette notion est développée dans la première partie. Le taux d’une obligation est déterminé en fonction du risque que présente l’émetteur. Ce risque est notamment évalué par des agences de notations indépendantes