Cas Plaisir

Dans ce cas le bon est identique à l’utile. L’utile peut se subdiviser en utile pour soi-même, selon la mesure de l’individualisme égocentrique et l’utile pour tous, ce qui suppose une vue un peut plus large, altruiste de l’utilité. b) bon peut désigner la satisfaction qui relève simplement de l’agréable. On dit c’est un bon vin, ce n’est plus une question d’utilité, c’est juste une appréciation des sens. Pris dans ce sens un bon désir, c’est seulement un désir qui nous apporte du plaisir. c) peut

le bonheur ? L'argent est devenue quelque chose de capital, qui nous permet de vivre et répondre à nos besoins . Aujourdh'hui la notion de bonheur est comparé a la notiond'argent pourtant ces deux notions sont différentes. Le bonheur est lié au plaisir mais c'est un état de satisfaction parfaite, de contentement du corps,du coeur et de l'esprit alors que l'argent c'estune richesse materielle. Peut on dire que l'argent fait le bonheur ? Dans un premier temps nous verrons que l'argent peut aidécertaine


les
régner
pour
 atteindre
 le
 bonheur
 ?
 Vaut‐il
 mieux
 changer
 nos
 désirs
 plutôt
 que
 l’ordre
 du
 monde
 selon
 Descartes
?
 Quelles
 sont
 les
 désirs
 qui
 nous
 sont
 bénéfiques
 et
 au
 contraire
ceux
qui
nous
nuisent
?
En
quoi
le
plaisir
est
il
«
le
commencement
et
la
 fin
de
la
vie
bienheureuse
»
?
Comment
gérer
ses
propres
désirs
?
 C’est
le
problème
que
soulève
Epicure
dans
cette
Lettre
à
Ménécée.
Dans
ce
texte
 Epicure
expose
ses
4
maximes,
dont
celle
de
la
gestion
des
désirs

désir. C’est à dire qu’on désire toujours quelque chose de plus, quelque chose de mieux, quelque chose d’autre, pour avoir toujours quelque chose à désirer, l’homme est dons éternellement insatisfait. C’est le cas par exemple d’un enfant gâté. Chaque objet qui lui est offert lui apporte un plaisir éphémère, mais il s’en lasse rapidement et désire donc un autre objet, dont il va également se lasser, et cela ne s’arrêtera jamais. Il se laisse alors gouverner par ses désirs sans réussir à les contrôler

difficulté n’est-elle pas le fruit d’une méconnaissance et d’une confusion des désirs ? Il semble, en effet, que tous nos désirs ne soient sur le même plan : certains concernent davantage le corps et sont source de plaisir sensuel, alors que d’autres s’adressent à notre esprit et suscitent des plaisirs intellectuels. C’est la raison pour laquelle, nous nous demanderons, dans un second temps, si une maîtrise rationnelle et raisonnable de nos désirs nous garantirait le bonheur. Quel désir faut-il dès lors satisfaire

qui attirerait la reconnaissance des employés et aussi des clients. John Stuart Mill, un philosophe britannique très influent de son époque (1806 à 1877) est un adepte de l’utilitarisme. L’utilitarisme est une théorie qui recherche le plus grand plaisir pour le plus grand nombre ou pour tous ceux qui peuvent ressentir de la douleur ou de la peine. Selon moi, Romina devrait dénoncer Martin à son employeur. C’est le geste qui ce rapprocherait le plus de l’utilitarisme et c’est ce qui ferait le bonheur

seulement un idéal de l’imagination ? Nous verrons tout d’abord ce que l’on appelle le bonheur, en quoi peut-il être accessible puis nous verrons que cette accessibilité n’est pas obtenue au prix d’une lente préparation. Mais parfois, dans certains cas, le bonheur semble être synonyme d’absolu inaccessible. 1ère partie De par con étymologie, le bonheur (bon-heur) semble être assez lié à la chance car l’heur signifie chance, fortune, hasard. Il est alors le résultat d’un heureux hasard où le

a assouvir, avec pour but final le bonheur. Or il est connu de l’opinion comune que tous les desirs ne peuvent etre assouvis, pour differentes raisons, mais aussi a cause de l’ordre du monde que nous ne pouvons pas toujours modifier. Alors, dans ce cas, faut il modifier nos desirs plutôt que rechercher a changer l’ordre du monde ? Afin de répondre, nous nous demanderons dans un premier temps qu’est ce que le desir ? de quels desirs est il question et pouvons nous tous les assouvir ? Puis dans un dernier

Il faut toutefois le distinguer de la joie et du plaisir qui sont récurrents et occasionnels. Ce sont des émotions qui résultent d’éléments extérieurssouvent éphémères et même quelquefois nuisibles (l’ivresse, la débauche). La joie et le plaisir n’ont pas la même valeur ni la même profondeur que le bonheur. Dans un second temps, le bonheur peutêtre lié à un certain art de vivre car il s’agit de savoir ce qui est bon ou mauvais pour nous. Dans ce cas, ce n’est plus une question de hasard ni de chance

aujourd’hui une force économique non-ignorable, avait fait l’erreur auparavant de fermer presque tous ses ports et garder son économie domestique, convaincue qu’elle était un des pays les plus puissants du monde. Seul un ou deux ports étaient ouverts comme cas particuliers. Les anglais, voyant un potentiel inestimable au marché chinois avait introduit un petit trafic de drogue. Celui-ci grandit, grandit et donna naissance à la guerre de l’opium. La Chine fut mise à genoux par les occidentaux pendant longtemps