Casamance

la région de Kolda Source : Monographie du bassin de l’anambé : SODAGRI La région de Kolda est située au Sud du SENEGAL, dans la Casamance naturelle et plus précisément en moyenne et haute Casamance. Elle est située entre 12°20 et 13°40 de latitude Nord, et 13° et 16° de longitude Ouest. La région de KOLDA est née de la scission de l’ancienne région de la Casamance en 1984. La région de Kolda a été créée par la loi 84-22 du 22 Février 1984 modifiant la loi 72-02 relative à l’organisation de l’Administration

communauté marrone. Elle fut exécutée le lendemain de son accouchement le 29 novembre 1802; de la résistance de Marie-Joseph Angélique qui incendia la maison de son maître au Canada le 11 avril 1734. Toutes deux furent pendues et d?Aline Sitoe Diatta de Casamance (Sénégal) qui s?opp osa aux réquisitions de vivres. Toutes ces femmes sont des symboles du refus de l?asservissement des peuples Noirs d?Afrique et de la Diaspora. Elles ont opposé une résistance farouche à leurs bourreaux. Sur les cendres de ces

reliefs, le Sénégal est un pays plat aux sols sablonneux ne dépassant pas 130 m d’altitude sauf à la frontière sud-est vers la Guinée. Au niveau de l'hydrographie, trois fleuves traversent le pays d’Est en Ouest: le Sénégal au nord, la Gambie et la Casamance au sud. Le pays présente aussi un climat tropical sec caractérisé par deux saisons: une saison sèche de novembre à juin et une saison des pluies de juillet à octobre. Il y a trois types de végétation: forêt au sud, savane au centre et steppe au

du Willis, pour remplacer le Joola dont le naufrage tragique avait causé en septembre 2002 la mort de pratiquement 2 000 personnes, n’a pas réussi à satisfaire toutes les demandes de transport de passagers et de biens entre la capitale et la Casamance. D’autres projets sont en cours dans ce secteur : l’extension et la modernisation du port de Dakar ; la construction d’un port minéralier à Bargny ; la réhabilitation du port de Kaolack ; et la construction d’un pont sur le fleuve Gambie. En matière

langues nationales, comme la première langue. Ces ethnies étaient parmi les premiers à se convertir à l’islam, et ils sont aussi à l’origine de la diffusion de cette religion, de l’islamisation des autres ethnies du pays. (ibid.) Dans la Casamance, région des forêts pluviales du sud, vit plusieurs peuples forestieres, tels que les Diolas (9 %), les Balantes (2 %), les Baïnouks (2 %) et les Pepels (1 %). Ce sont pour la plupart des catholiques, mais ils tendent aussi à préserver quelques traditions

Cela lui permet par ailleurs, de relayer une partie de ses tâches quotidiennes ce qui lui laisse le temps de monter parfois des petits commerces (ce qu’on appelle de l’activité économique informelle). Au sein de la communauté Joola au Sénégal (Casamance), les femmes ne sont par exemple pas du tout marginalisées socialement et participent physiquement et symboliquement beaucoup à la vie de la communauté. Et la fertilité fait partie des priorités de la communauté. Une historiographie du statut social

mais les Diola sont ceux que l’on remarque en premier car ils forment un bloc homogène qui recouvre toute la Casamance. Ils restent très attachés à leurs traditions mais ont été en grande partie islamisés par les Mandingues. Ces derniers représentent 6% de la population totale et sont des guerriers musulmans qui s’installèrent en Haute-Casamance ; ils englobent : - les Mandingues (Casamance, Guinée, Gambie) ; - les Malinkés ou Maninka (Guinée) ; - les Bambara (Mali) ; - les Dioulas (commerçants

esclaves déportés. b) la naïveté des Africains L’esclave rapporte ensuite les paroles que lui adressa sa mère au moment de le vendre à des trafiquants sur la côte de Guinée (nom donné autrefois à la région côtière comprise entre l’estuaire de la Casamance et celui du Gabon), sans doute pour atténuer l’extrême pauvreté de la famille ; l’adverbe cependant montre à quel point la réalité peut différer du discours auquel il s’était fié. Ce discours prononcé avec affection (Mon cher enfant), à un fils

polycopié de Christelle Meha, 2009 photo 2 : FAO Mangrove forest management guidelines, 1994 schéma : issue du polycopié de Christelle Meha, 2009 photo 3 : wikipédia, recherche « palétuviers » figure 3: S. Badiane, la Mangove de Casamance Dakar, ISRA/ CRODT, 1986 figure 4 : Children's Art Calendar, 2008 Bibliographie ROLLET, B., Bibliography on mangrove research 1600-1975. Paris, Éd. UNESCO, 1981 FAO, Mangrove forest management guidelines, FAO Forestry Paper No

ainsi que les capacités nationales de gestion du développement. Ce programme a été adopté en juin 2002, au cours d’un séminaire national de validation présidé par le Premier Ministre. Dans un contexte marqué par la nouvelle dynamique de paix en Casamance, ainsi que par le récent pacte social conclu entre le gouvernement et le mouvement syndical, les effets à court et moyen termes attendus de la mise en œuvre du PNBG sont la création de conditions propices à la croissance économique et au développement