Case Mensonge

Contrairement à Emma, qui essaye toujours de trouver un forme qui l'aimerait même si elle ne peut pas avoir d'enfants, Sara continue de se murer dans le silence et refuse de laisser entrer quelqu'un d'autre dans sa vie. Avec le temps elle s'enfonce dans le mensonge, en disant qu'elle est mariée et que son homme est parti travailler à l'étranger, et qu'elle ne sait pas quand il revient. Sa colère et jalousie augmente, comme la haine envers ses proches et en particulier sa soeur. Avec le temps, Sara décide

L'étrangers questionne: on assiste à une mise en scène dans la pièce (les filles récitent mais il y a quelque chose qu'elle ne savent pas). On a un miroir de la représentation théâtrale (mise en abime). Ce qu'elles ont à dire est placé sous le signe du mensonge :"nous mentons, nous médisons, nous insultons". La suite de l'échange continue le brouillage de la vérité :"la reine se met du rouge ... Du sang" sous forme d'énigme à déchiffrer. Qu'est-ce que le théâtre? Révèle-t-il une vérité? Cache-t-il quelque

Pour accepter la vérité il faut faire un retour sur soi objectif, ce remettre en question, accepter ces erreurs. Il faut accepter sa réalité, que l’on n’a pas accepté de voir jusqu’ici pour rester dans le confort de l’illusion de soi. Vivre dans le mensonge permet d’avoir une estime plus haute de soi. Il est blessant de connaitre ses défauts.ses fautes morales. En revanche lorsqu’un individu n’a rien à se reprocher ou est déjà lucide par rapport à lui-même , sa vérité n’est pas difficile à accepter

permettre à son article d’avoir une ouverture médiatique et donc d’agir sur l’opinion publique. Il fait partie de ceux qui vont favoriser la révision du procès. Zola s’engage aux côtés de Dreyfus au nom de la vérité. Il refuse d’accepter une société de mensonge et de manipulation. Il se bat contre l’injustice et l’antisémitisme. Ce combat est une manière d’affirmer des valeurs et des idéaux. « La vérité est en marche, et rien ne l’arrêtera » Emile Zola. * 3- « J’accuse… ! » Un article engagé pour

est la vérité dans sa relation avec la morale. Face à se questionnement, Nietzsche se positionne dans le camp de l’ancienneté du mensonge, l’exigence de la vérité n’inhibe pourtant pas l’utilisation du mensonge. Par conséquent l’enjeu principal du texte est donc de faire admettre l’importance de l’utilisation du mensonge dans la société, tout en démontant que le mensonge fait déjà partis de nous inconsciemment. Dès le premier paragraphe de l’extrait étudié, Nietzsche dénonce le fait que l’homme

inculquant des idées absurdes, tel le fait de n'avoir d'affection pour rien, de regarder les gens de haut. Ils veulent que l'on pense comme eux, que l'ont agisse comme eux. A la ligne 322, Cléante dénonce leur non respect pour les choses sacrées, leur mensonge et leur manipulation à la ligne 325 “ De tous ces façonniers on n'est point les esclaves”. Il accuse leur “fausse” honnêteté à la ligne 326 : “il est de faux devots ainsi que de faux braves”. Cléante oppose “l'hypocrisie “ et “l'artifice” des faux

l'interdiction du mensonge et demandons-nous jusqu'où l'appliquer. A-t-on le droit de faire des exceptions à la règle ? Car nous sentons bien qu'il y a des situations où il est préférable de ne pas dire la vérité. Car si une vérité est dite c'est pour être entendue et il est possible que mes paroles aient des conséquences graves, blessantes ou plus dangereuses encore auxquelles je dois penser avant de parler.  On en vient naturellement à douter du caractère absolu de l'interdiction du mensonge : « doit-on

robustes, subsistent en tant que ceux à qui il est refusé de mener une lutte pour l’existence aves des cornes ou aves la mâchoire aiguë d’une bête de proie. Chez l’homme, cette art de la dissimulation atteint son sommet : l’illusion, la flatterie, le mensonge et la tromperie, les commérages, les airs d’importances, le lustre d’emprunt, le port du masque, le voile de la convention, la comédie pour les autres et pour soi-même, bref, le cirque perpétuel de la flatterie.» Ici , Nietzche nous dit que l’homme

Fiche de lectrue. Pierre et Jean (Guy de Maupassant) Portrait d’un personnage : (Pierre)  Physique Homme de trente ans à favoris noirs coupés comme ceux des magistrats, moustaches et menton rasés. => Page 18 A la sortie du collège, Pierre, de cinq ans plus âgé que Jean, s'étant senti successivement de la vocation pour des professions variées, en avait essayé, l'une après l'autre, une demi-douzaine, et, vite dégoûté de chacune, se lançait aussitôt dans de nouvelles espérances. En dernier

Nous serons sereins, cette nuit-là encore Et parfois encore, nous devons l’admettre, nous ne serons pas vus tels que nous croyons être, en vérité, tels que nous aurions tant voulu qu’on nous aime. Se contenter du regard des autres et ne plus rien espérer, cesser de prétendre à notre vérité, notre vérité, ce sont les autres qui nous l’accordent, notre vérité, elle restera secrète, tant pis, tant mieux, nous ne pourrons plus la dire. Renoncer au naturel, ces choses-là, le naturel, les idées