Cass Civ 1er 13 Décembre 1983

choisir soit de lui substituer le nom du parent à l’égard duquel la filiation a été établie en second (le père) soit d’accoler les deux noms, dans l’ordre choisi par eux, dans la limite d’un nom de famille pour chacun d’eux, si l’enfant a plus de 13 ans, son consentement est nécessaire. Cet article 311-23 est applicable aux enfants issus de parents non mariés, quelle que soit la date de leur naissance, même s’ils sont nés antérieurement à la réforme. Précision : Si les parents décident

pas, sont soumis à des règles générales ». → Tous les contrats sont soumis à des règles générales mais à côté de ces règles, il en existe des particulières pour chacun d'eux. Ce texte nous apprend en réalité deux choses : Incidemment dans l'alinéa 1er, il y a des contrats qui ont « une dénomination propre (…) et ceux qui n'en n'ont pas ». C'est une distinction entre les contrats nommés et les contrats innommés. Cette distinction nous intéresse parce que, les contrats, soit qu'ils soient nommés ou

Principes généraux du droit intéressant les droits des citoyens [modifier] Règles de fond [modifier] Principes fondés sur la liberté [modifier] • Liberté du commerce et de l'industrie : CE, Ass., 22 juin 1951, Daudignac ; CE Sect., 13 mai 1994, Président de l'Assemblée territoriale de la Polynésie Française Principes fondés sur l'égalité [modifier] • Égalité des usagers devant le service public : CE, Sect, 9 mars 1951, Société des concerts du conservatoire, Leb. p. 151

ressortiront à la compétence du juge administratif pour l’essentiel (sauf certaines activités soumises au droit privé en vertu par exemple de dispositions législatives spéciales comme pour les dommages causés par les véhicules en vertu de la loi du 31 décembre 1957). I – LES FONDEMENTS DE LA RESPONSABILITE A – La responsabilité pour faute La faute est « un manquement à une obligation préexistante » pour reprendre la formule du civiliste Planiol. Il convient de distinguer illégalité et faute ; si

exceptions). C) La force obligatoire du contrat Les parties sont libres de s’engager mais si elles s’engagent, elles doivent se tenir à leur engagement, la loi y contribuant en conférant une force à l’engagement valablement formé (art. 1134 al 1er - Les conventions légalement formées [« une brèves histoire politique des interprétations de l’article 1134 du code civil » Dalloz 2002, partie chroniques p. 901] tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites). Ceci a pour conséquence que seules les

mariage dit contrat de mariage, donc il faut choisir un régime. Pourquoi a-t-on créé un régime légal et quelle est son origine ? Jusqu'en 1965, donc à partir du 1er janvier 1966 le régime légal était celui de la communauté des meubles et acquêts. 2 grandes réformes : − − - Loi de 1965 : Jean Carbonnier et l'approche sociologique Loi du 23 décembre 1985 : Statu quo sur le régime matrimonial : réforme qui parfait les relations entre hommes et femmes Loi de 1999 instaurant le PACS sur une base séparatiste

des droits sur le patrimoine de sa mère équivalents à ceux dont jouissent son frère et de sa sœur – qualifiés, eux, d’enfants « légitimes » puisque issus dudit mariage. Peu après que sa filiation à l’égard de sa mère ait été juridiquement établie en 1983, cet enfant adultérin a initié une première procédure afin de s’opposer à une donation-partage. Cet acte, réalisé en 1970 par sa mère et l’époux de celle-ci, bénéficia uniquement aux deux enfants légitimes. Or il emporte des conséquences successorales

n°1 ! LA NOTION DE DROIT ! ! ! I/. E : ’ C ! Répondez aux questions suivantes en utilisant votre Code civil : ! XERCICE DE MÉTHODOLOGIE L UTILISATION DU ODE CIVIL 1) Combien d’alinéas comporte l’article 1er du Code civil ? et de quand date cet article ? 2) A quoi correspond le point 13 qui figure sous l’article 1101 du Code civil ? 3) Quelle règle énonce l’article 515-5 alinéa 2 du Code civil ? 4) Le Code civil contient-il des dispositions sur les clauses abusives d’un contrat ? 5) La question

autres conventions. Les contrats se distinguent de cette autre catégorie par le fait qu’ils visent à créer des obligations. Les autres n’ont pas cet objectif. C’est le contrat qui est l’essence même des actes créateurs d’obligations. L’article 1101 C. civ dispose : « Le contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent envers une ou plusieurs autres à donner, à faire ou à ne pas faire quelque chose » (convention génératrice d’obligations (d’après Malinvaud)). I Le contrat

est un outil intellectuel. C’est ce qu’on veut exprimer lorsqu’on dit que la norme est une signification. Exemple : L’article 1134 du Code civil dispose que « Les conventions légalement formées tiennent lieu de lois à ceux qui les ont faites » (al. 1er). Cela signifie que lorsqu’un contrat a été valablement conclu par deux personnes, elles sont tenues de le respecter, autrement dit, en 11 principe, de l’exécuter comme convenu. Cela signifie que le droit offrira des moyens (exécution forcée en nature