Castration

de ses parents dont il est exclu.  Sans pouvoir mettre de mots sur ce qu’il ressent, l’enfant va souvent refouler sa contrariété qui s’exprimera alors par des colères et des cauchemars, entre trois et cinq ans. Ce moment est appelé complexe de castration. Pour sortir de cette situation, progressivement, entre trois et sept ans, l’enfant, dans un processus nommé la résolution, va renoncer à prendre la place du parent de même sexe, en refoulant dans son inconscient ses émotions et ses passions.

propreté extrême.   Quatrième stade : Le stade phallique (3-5 ans) - La zone érogène est constituée par les organes génitaux. - L'activité principale est le passage à l'interaction avec l'hallo-sexuel. - La zone de conflit est l'angoisse de castration pour les garçons et l'envie du pénis pour les filles. - Vers trois, quatre ans l'enfant met en place une manipulation des organes génitaux. Il commence à s'intéresser à la différence entre le masculin et le féminin, au rôle du père à la naissance

l’héritier de l’Œdipe - Le conflit névrotique se situe en le Surmoi et les pulsions, il se joue dans le Moi. - Le Moi est complet mais peu être distordu selon le vécu de l’Œdipe et les fixations prégénitales - L’angoisse concerne la menace de castration et si celle-ci provoque une régression, elle concerna davantage la libido que le Moi et ne va jamais jusqu’au prégénital. - Défenses : refoulement, plus autres selon variétés névrotiques, mais jamais déni réalité (même si déformée) - Principe

résolution du conflit oedipien n’est pas dépassée, ce qui génère une angoisse latente chez l’individu en proie à la menace de castration. Pour lutter contre cette angoisse, le Moi se sépare en deux attitudes opposées : une partie du Moi reconnaît la différence des sexes et élabore des conduites appropriées pour lutter contre la castration, l’autre l’ignore. Il y a déni de la castration maternelle, donc déni de l’absence de pénis, donc déni de la différence des sexes. Le pervers ne peut renoncer à la puissance

faire-semblant devient possible, même si cela reste très fragile encore. Il ponctue souvent ses phrases de « c’est pas pour de vrai. . . ». Ce recours au « fétichisme » évoque une « solution » face à l’angoisse de castration : avec l’accès à la différence des sexes, apparaît une tentative de déni de la castration du registre phallique qui cédera le pas assez rapidement. Ce qui signera l’entrée dans l’œdipe en tant qu’organisateur. Et servira d’indicateur que le corps maintenant sera engagé dans la représentation

de castration comme nœud essentiel de l’étiologie de la maladie, il se démarque des psychanalystes emmenés par A. Adler et qui circonscrivent ledit complexe de castration à une « protestation virile » (autrement dit, la valorisation du pénis : angoisse de castration pour le garçon et envie de pénis pour la petite fille). Pour lui, le complexe de castration est à articuler autour d’une problématique narcissique. Dans sa recherche du destin de la pulsion du moi dans le complexe de castration, Freud

l'inconscient de l'enfant (p.2) Dire ou ne pas dire (p.2-3) Fonction positive des devoirs (p.3-4) La relation aux nouveaux partenaires des parents (p4) La relation à ses deux lignées, voire à ses deux ethnies (p.5) Le travail de la castration (p. 5-6) L'enfant et l'école (p.6) L'enfant face à la justice (p. 6-7 ) Conclusion (p7) Françoise Dolto, née Marette, est une pédiatre et psychanalyste née en 1908, décédée en 1988. Elle est issue d'une famille bourgeoise de conviction

de ses parents dont il est exclu. Sans pouvoir mettre de mots sur ce qu’il ressent, l’enfant va souvent refouler sa contrariété qui s’exprimera alors par des colères et des cauchemars, entre trois et cinq ans. Ce moment est appelé complexe de castration. Pour sortir de cette situation, progressivement, entre trois et sept ans, l’enfant, dans un processus nommé la résolution, va renoncer à prendre la place du parent de même sexe, en refoulant dans son inconscient ses émotions et ses passions.

psychoaffectif : LE STADE PHALLIQUE C’est une étape du développement primordial dans la construction et l’acceptation de l’identité sexuelle de l’enfant. C’est au cour de ces années qu’il apprend la différence des sexes. Il va se confronter à l’angoisse de castration et va devoir résoudre ce que Freud a appelé le complexe d’œdipe. Une nouvelle zone érogène s’éveil : la zone génitale. a) L’éveil à la différence sexuelle L’enfant fait preuve d’une curiosité sexuelle manifesté. Il pose de nombreuses questions

CHOIX DU STAGEJe m’appelle Lucie PIERREL, j’ai 15 ans et je suis en 3 -ème D ;Le but de mon stage a été de me faire découvrir le monde du travail. Il fallait que je choisisse une entreprise qui travaille dans un domaine qui me plaît, afin de me donner une idée sur le métier que je souhaiterai faire, et surtout confirmer ou infirmer mon choix.J’ai toujours aimé les animaux, je pratique l’équitation, je fais des concours de sauts d’obstacle, et aussi des concours d’agility avec mon chien.Il était