Castration

concepts nécessaires pour les besoins d’une interprétation des données de l’expérience). C’est ainsi que, toujours dans la deuxième partie, un concept dominant est invoqué pour chaque « cas » : pour le récit d’Hoffmann, la notion de complexe de castration ; pour le thème du double, celle de narcissisme ; pour le retour des mêmes événements, la notion 12 d’automatisme de répétition ; pour l’impression de « toutepuissance des pensées », celle d’animisme primitif. Ces concepts n’étant pas encore

opération de coupure qui relève d’un effet de sa prise dans la logique du signifiant. Le sujet n’entre dans le monde et dans le temps qu’à être marqué par la castration. Le trait unaire, c’est ce qui préfigure la castration, mais ce n’est pas la castration. Le trait unaire relève du « il y a », d’une affirmation. L’articulation de la castration vient nommer la division du sujet. Pour ces enfants qui n’entrent pas dans le squiggle game (mis à part des problématiques d’inhibition passagère), nous dirons

exemple une femme peut tomber … dans les bras d’un l’homme. Ce qui fait dire à Freud que la chute symbolise « le fait d’avoir accéder à une tentation érotique ». * Chez l'homme, tomber peut signifier "être avalé par un trou"... angoisse de castration assurée. L'interprétation jungienne accorde une moindre place à la sexualité. En effet, les rêves serviraient aussi à compenser les déficiences de la personnalité. Ceux qui "font des projets grandioses, sans rapports avec leurs capacités réelles

La relation d'objet A quoi sert le mythe « L'objet imaginaire de la castration, c'est bien entendu, le phallus. La mère symbolique devient réelle en tant qu'elle se manifeste dans son refus d'amour. L'objet de la satisfaction, le sein par exemple, devient lui-même symbolique de la frustration, refus d'objet d'amour. Le trou réel de la privation est justement une chose qui n'existe pas. Le réel étant plein de par sa nature, il faut, pour faire un trou dans le réel, y introduire un objet symbolique

dévoré ; angoisse qui se révèle être en réalité une pulsion agressive projetée sur les autres. Mais chez d’autres, la parole, clivée en bon objet pouvant susciter l’amitié en situation duelle, peut être vécue comme une castration orale (cassure avec la mère) amplifiant la castration phallique en groupe (mauvais objet). Cela signifie donc que la parole peut être une arme de destruction. Celui qui se met en retrait craint que l’on se jette sur sa parole (par projection) pour la disséquer. La raison

ne pas avoir, de cette privation, la femme n’en saura rien. » (p.160) La castration est symbolique et une des formes possibles de l’apparition du manque est le (-φ) en tant que support imaginaire de la castration. Mais cela n’est qu’une des avatars possibles du manque originel, du vice de structure. Par conséquent, pourquoi en analyse nous ne pouvons pas aller au-delà des termes freudiens du complexe de castration chez l’homme et de l’envie du pénis chez la femme ? pour viser le manque représentant

recherche instinctive du plaisir et surtout du plaisir sexuel. La psyché est l’ensemble des manifestations conscientes et inconscientes de la personnalité, de l’intellect. Le narcissisme est l’amour excessif de soi, de l’image de soi. La notion de castration en psychanalyse désigne le manque symbolique d’un objet imaginaire. La sublimation est la transposition d’une pulsion dans un sentiment supérieur suggérant la beauté, la grandeur, l’élévation de soi. La régression est un retour à un état psychique

psychanalyse Sigmund Freud et C. G. Jung, au début du siècle dernier, à se pencher sur ce phénomène d’un point de vue féminin. Cette tendance compulsive amenant la fille à se tourner vers le père ou une image paternelle, conséquence du complexe de castration pré-pubataire féminin, fut décrit pour la première fois par Jung sous le nom de « complexe d’Electre ». Il établissait alors sciemment une analogie avec le complexe d’Œdipe freudien. Durant cette phase, la fillette s’oriente vers le père et rivalise

dynamique Conflit et des défenses. o Aspect économique Investissement Puisque le symptôme est une production psychique, il s’inscrit dans le cadre d’une structure. Repérage de mécanisme de défense. Repérage des types d’angoisse. Si castration alors névrose. Si perte d’objet alors état limite. Si persécution et/ou morcellement alors psychose. Repérage des relations d’objet : orale, anal, génitale. Repérage de la problématique : œdipienne ou près œdipienne. Environ 20 mécanisme

médiatise cette privation sans changer la réalité, à condition qu’il soit en relation à quelqu’un & qu’il puisse dire son épreuve sans avoir de le mimer dans son corps » cf Cyrulnik et concept de résilience. * LES CASTRATIONS SYMBOLIGÈNES Développement de l’enfant = suite de « castrations » : ombilicale, orale, anale & œdipienne. —> à chaque étape, l’enfant doit rencontrer un interdit par rapport au plaisir focalisé sur la zone & cela lui permet de s’ouvrir à autre chose et donc lui permet