Castration

Professeur : Mme Lachgar Ibtissam Lorsque le pré pubère commet un délit, c’est un symptôme en réponse à des frustrations, des échecs du sevrage, l’angoisse de castration sur le plan psychique. Concrètement on voit apparaître des attitudes d’agression et de culpabilité. A l’adolescence, il y a apparition de trois aspects généraux représentant des changements : * Découverte de la génitalité : représente un conflit

maîtres, un esclave instruit est un esclave dangereux. Les maîtres pouvaient à tout moment infliger à leurs esclaves des punitions atroces et diverses s'ils le considéraient juste ou simplement par excès de mauvaise humeur. Ça allait du fouet à la castration en passant par la mutilation. Ainsi un esclave pouvait se voir couper les deux jambes pour avoir fui un travail au-dessus de ces forces.

pulsions (Ca). stade phallique (3 à 5 ans) Le phallus est la représentation du pénis, donc celle de la « toute-puissance ». C’est le déni partiel de la castration. D’après Freud, l’enfant est un « pervers polymorphe ». complexe d’Œdipe (5 à 7 ans) C’est le désir du garçon pour sa mère, et de la fille pour son père. C’est la menace de la castration qui permet à l’enfant d’intégrer les interdits, dont celui de ne pas désirer son parent. période de latence (période de l’école primaire) C’est la

semble même avoir une image trompeuse des femmes qui le pousse à s’en méfier; “J’avais longtemps cru que les rapport entre amants sont choses compliquées, que les femmes sont dangereuses.” Toutes ces allégations induisent l'existence d’un complexe de castration irrésolu et latent. Là encore nous constatons que le passé d’un sujet peut affecter son inconscient et par conséquent affecter sa manière d’aimer. Dans l'oeuvre Before she met me de Julian Barnes, le cas de jalousie délirante auquel nous assistons

s’il n’exige pas une nouvelle économie psychique (névrose, psychose ou perversion ne suffisant pas à faire cohabiter le concept de sujet et le capitalisme) puisque dans le capitalisme la fonction paternelle est suspendue en quelque sorte, et que la castration est forclose4. Le mécanisme de cette promesse fera l’objet de notre seconde partie. Au travers de la publicité, outil de « la marque » dont le capitaliste à fait son faire-valoir, que l’on peut considérer comme l’archétype du discours manifeste

jeune étudiante avec son professeur âgé de 37 ans, le philosophe Abélard (PIERRE ESBAILLART) représentent l'épisode de leurs vies qui les a fait passer à la postérité (la jalousie criminelle de l'oncle Fulbert les a poursuivis et la tragédie de la castration les a séparés peu de temps après leur mariage); BURIDAN (JEAN), philosophe vécu au XIVe siècle: la légende veut que dans sa jeunesse il ait été introduit dans la tour de Nesle, où la reine de Navarre Marguerite de Bourgogne, femme du futur Louis

| | |signification des faits étudiés : rôle central de la testostérone pour la reproduction. | | |ouverture vers d'autres aspects, scientifiques, humains. sociaux; castration... | | |référence à d'autres aspects du thème scientifique, formulation éventuelle de nouveaux problèmes : | | |hormones sexuelles chez la femme.

curiosité sexuelle infantile », cela consiste par une prise de conscience de la différence des sexes. Cela consiste à la prise de conscience de la présence ou non-du pénis tant chez les filles que les garçons. Chez les garçons cela va passer par nié la castration par la négation de sexe féminin ou bien par la croyance d'une mère pourvue de pénis alors que les filles vont manifester son envie d'avoir un pénis et la possibilité que le clitoris grandisse et également par des attitudes « d'ambition phallique

cuisses par exemple. C’est à cet âge que le petit garçon prend conscience de l'absence de pénis chez sa mère. Il commence d'abord par nier l'évidence et puis lorsqu'il accepte cette idée, par contre il a peur de perdre le sien : c'est l'"angoisse de castration". C’est sans compter que beaucoup de parents interdisent à leur petit garçon de se toucher le pénis ou vont tout au plus l’en dissuader. L’enfant va donc avoir peur d’une punition qui consisterait à lui couper son la verge. La petite fille, quant

reflet de son bouclier, qui lui sert donc de miroir. Il est ainsi confronté à l’image de l’objet Méduse, à l’objet interne, plutôt qu’à l’objet externe (c’est mon interprétation) et peut ainsi s’en approcher suffisamment pour lui couper la tête (castration, d’après Freud, 1923). Tant d’après Lacan que Racamier, la résolution de ce complexe est constitutive du moi. On se souviendra que chez Freud, le moi (dirigé par le principe de réalité) est une « Spaltung » du ça (dirigé par le principe de plaisir)