Cathéter

susceptible de développer l’infection (patient, personnels, visiteurs) Des micro-organismes pathogènes en nombre suffisant pour causer l’infection (bactéries, virus, parasites, prions, champignons et levures). Une porte d’entrée (sondes, drains, cathéters, plaies, escarres, terrains immunodéprimé) Réservoirs de germes : Sources humaines ; patients personnels, visiteurs (mains, nez, intestins, cheveux, bijoux, vêtements…) Source environnementales ; air, eau, nourritures, linge, matériel, déchets

à ponctionner au savon désinfection avec un antiseptique laisser en contact pendant 30 secondes repérer la veine mettre des gants à usage unique mettre le garrot introduire le cathéter dans la veine jeter l'aiguille dans le container connecter la perfusion purgée vérifier le retour veineux fixer le cathéter avec un pansement transparent régler le débit de la perfusion marquer la date sur l'opsite lavage des mains transmissions Ici, les antalgiques agiront plus vite. (délai d'action

fois par jour, 12 patients sont accueillis au sein du service. La répartition des patients se fait de la façon suivante au sein des locaux :  1 grande salle de 8 postes  1 box d’isolement pour les patients le nécessitant (patients porteurs de cathéter, BMR…)  1 salle de 3 postes  L’équipe de soins est composée de :  2 médecins  1 cadre de santé  12 infirmiers  5 aides-soignants  2 ASH  Professionnels de proximité : radiologue, diététicien, assistant social, secrétariat

grand pas vers la production industrielle de caoutchouc naturel à partir de cette plante. Le caoutchouc : omniprésent et menacé Environ 30.000 produits de la vie quotidienne contiennent du caoutchouc naturel. Les pneus de voiture, les tubes de cathéter et les gants en latex sont autant d’exemples de la variété des applications de cette substance naturelle. Une grande partie de la production mondiale se trouve en Asie du Sud-Est où les conditions climatiques tropicales se prêtent particulièrement

symptomatique des affections douloureuses et/ou fébriles) Surveillance De l’administration Horaire 1g 3 à 4 fois/j, dose max 4g/j chez l’enfant >33kg : 15mg/kg/perf Voie d’administration Perfusion IV Surveillance de la voie d’administration Surveillance du cathéter veineux. Présence de veinite Surveillance De l’efficacité Signes cliniques de l’amélioration de la pathologie Signes d’amélioration de la pathologie Disparition de la douleur. Signes cliniques de l’amélioration de l’état général Résultat des

Médication sur sonde Lavement APPAREIL NEUROLOGIQUE Surveillance état de conscience, pupilles PL EEG au lit du malade VOIES VEINEUSES Pose d’un cathéter court périph. - surveillance Perfusion Préparation - pose Transfusion - CAT Pose de plasma - CAT Cathéter central : Préparation du matériel Rôle de l’IDE pour la pose Surveillance Ablation du cathéter Pousse-seringue UTILISATION DE DROGUES : Dopamine Dobutrex Héparine Hypnovel Injections IVD Préparation des bons pour prélèvement sanguin

l’évolution est positive, les constantes de Mme F correspondent aux normes. Mme F peut prendre son petit-déjeuner servi en chambre et son traitement du matin. Auparavant je la déperfuse et laisse le cathéter en place puisqu’il a été placé ce jour par l’infirmier de nuit (d’après les règles de bonne pratique le cathéter peut rester en place jusqu’à 72 h s’il n’y a pas de signes d’inflammation, d’irritation, de douleur...). Pour le déjeuner elle est descendue au self de la clinique car elle se sentait bien

regroupés dans une liste de 43 actes infirmiers dont voici quelques exemples : - Mise en place et ablation d’un cathéter court ou d’une aiguille pour perfusion dans une veine superficielle des membres ou dans une veine épicrânienne - Pose de sonde gastrique en vue de tubage, d’aspiration, de lavage ou d’alimentation gastrique - Prélèvements de sang par ponction veineuse ou capillaire ou par cathéter veineux L’infirmière dans le monde USA Le rôle des infirmières aux Etats-Unis est similaire qu’à

Viennent ensuite les années 70 : les considérations sur les maladies mentales évoluent, l’infirmière reçoit une formation spécifique en psychiatrie. Dans les années 80, la profession bénéficie des avancées technologiques (notamment avec l’arrivée des cathéters centraux) et voit ses compétences multipliées. Les années 90 poursuivent la modernisation des soins et constatent ses conséquences sur les pratiques, les coûts, mais aussi sur la formation de l’infirmière qui se spécifie en autre dans les blocs

PIC D'une manière large toutes les agressions cérébrales responsable d'un CGS < ou = à 8 Trauma cranien Hémorragie méningée Hhématome intra cérébral Abcè cérébral ..On peut mesurer la PIC avec une mesure intra vetriculaire à l'aide d'un cathéter (ce n'est pasA l'infirmiere qui le fait) Mesure intra parenchymateuse à l'aide d'une fibre LA PIC rend compte de la variation des 3 composants de la boîte cranienne - Parenchyme cérébral -Volume sanguin cérébral - Liquide céphalo rachidien