Catulle

être utile ou vertueux, son seul but est d'être beau, toute sa finalité réside dans l'esthétique et rien d'autre. Parmi les auteurs du Parnasse les plus célèbres on peut citer Leconte de Lisle considéré comme la tête de file du mouvement ou encore Catulle Mendès ; des grands poètes ont aussi adhéré au mouvement tels que Stéphane Mallarmé, Paul Verlaine et Charles Baudelaire. On observe donc encore une différente vision de l'impact d'une œuvre d'art, qui montre bien la pluralité des avis et des convictions

|1549) et du Livre des Vers Lyriques. Il est un admirateur et ami | |meilleurs élèves à la culture gréco-latine  - en passant par | |de Maurice de Scève. Il est le poète qui marque la transition | |Pindare, Horace, Virgile, Catulle, Properce, Ovide et Tibulle - | |entre le groupe lyonnais et la Pléiade.  | |ainsi qu'aux poètes néo-latins. Il est aussi l'auteur - en 1586 -| |

joute verbale sur les mérites de la science. Scène 4 Julien, valet de Vadius, apporte à Philaminte une lettre de son maître dans laquelle ce dernier lui affirme que Trissotin n'en veut qu'à ses richesses, et les œuvres d'Horace, Virgile, Térence et Catulle, dans lesquelles Vadius a noté en marge tous les endroits pillés par son rival. Mais elle décide de faire venir le notaire pour conclure immédiatement le mariage d'Henriette et de Trissotin. Scène 5 Averti des projets de Philaminte, Chrysale décide

s'exiler en Grèce. Là, il achète un terrain où se trouvaient les ruines de la maison d'EPICURE. Peu respectueux envers le maître, il voulut tout faire raser pour construire de nouveaux édifices. Il aimait la littérature grecque et protégeait le poète CATULLE, dont la poétique était opposée à celle de LUCRÈCE. Pourquoi notre poète s'adresse-t-il à un être aussi peu prédisposé à la philosophie épicurienne ' On peut conjecturer que, de même que PASCAL dans ses PENSÉES vise les esprits forts, de même LUCRÈCE

Alphonse Ier d'Este il réalise Offrande à Vénus, Bacchanale du Prado et Bacchus et Ariane. Le peintre y prouve sa capacité à faire revivre les mythes antiques et d'y adhérer en imagination. Il utilise comme sources littéraires Philostrate, Ovide, Catulle, ne recherchant, cependant, nullement l'érudition humaniste, mais plutôt le moyen d'évoquer le monde antique selon une tonalité plus dionysiaque. En 1526, il traite de manière triomphaliste un thème religieux la Pala Pesaro13. La Vierge se trouve

l’influence de Pétrarque, Pindare et des métamorphoses si présentes dans ces  premiers recueils.  Dans ​ La nouvelle continuation des amours​  il formule lui­même  sa nouvelle esthétique qui mêle désormais «  Tibulle, l’ingénieux Ovide et le  docte Catulle ».  Dans ​ les Amours​  d’Ovide, il trouve un ton plus personnel et plus sensuel. Le  sonnet «  Mignonne allons voir si la rose… » Associe le Carpe Diem d’Horace au  souvenir de la forme qu’Ovide a donné au même thème dans son ​ art d’aimer​  :    

mouvement à la limite du symbolisme, motivé par un rejet du naturalisme de Zola et des frères Goncourt. Charles Baudelaire est souvent reconnu comme une sorte de précurseur de ce mouvement. On peut considérer comme typiques de ce mouvement les romans de Catulle Mendès, allant jusqu'à mettre en scène dans ses œuvres des intrigues amoureuses incestueuses et homosexuelles à la fois. Le roman décadent se caractérise notamment par une crise du roman, rempli de distorsions et d'anachronismes, et une crise du personnage

longtemps ressassé, de sa rencontre avec le poète anglais, a finalement porté ses fruits. En mars 1876, après un séjour à Antibes où la côte le séduit considérablement, il utilisera un autre pseudonyme pour faire publier dans La République des lettres de Catulle Mendès le poème Au bord de l’eau. A Paris, dans un restaurant du quartier de Saint-Lazare, le 16 avril 1877, se réunissent Maupassant, Flaubert, Zola, Céard, Hennique et Huysmanns autour d’un repas qui marque le début du naturalisme. A la fin de l’année

pour bien peu. Tout, avant lui, avait préparé cette floraison (Catulle). De grands poètes naquirent (Virgile, Ovide, Horace, etc.). Les poètes de ce siècle ne sont pas de la même idéologie que l’empereur. Ce ne sont pas non plus des poètes courtisans. Il existait deux cercles d’artistes. Celui de Messala, qui rassemblait Tibulle, Sulpicia, Ovide. Dans ce cercle on se souciait bien peu de politique, on y continuait la tradition de Catulle, celle d’un lyrisme ‘gratuit’. Le deuxième cercle était celui

nuit » au vers 4 ou comme le montre le vouvoiement et l’apostrophe : « Madame » au vers 1. Remarque : On retrouve également une analogie entre les poèmes de la Pléiade et les poèmes de l’Antiquité, en effet, on peut comparer ce poème à que Catulle écrit à sa bien aimé Lesbie, où Hélène est l’analogue de cette pénultième sus-évoquée. III. LE ROMANTISME Le romantisme est un mouvement littéraire et culturel européen dominant la première moitié du XIXème siècle, le romantisme montre la puissance