Cauchemar De Paul Verlaine

recherches a. biographie détaillée de Paul Verlaine : Sources : http://www.mag4.net/Verlaine/Biographie.html http://verlaineexplique.free.fr/verlindex.htm Paul Verlaine est né à Metz le 30 mars 1844, où son père, officier, se trouve en garnison. Les parents de Verlaine, longtemps restés sans enfants, ont adopté une nièce, Élisa. Elle sera pour leur fils une grande sœur pleine d'indulgence. Verlaine, enfant, est excessivement "gâté". En 1849, le père de Verlaine démissionne de l'armée après de nombreuses

Même j’ai retrouvé debout la Velléda,Dont le plâtre s’écaille au bout de l’avenue,- Grêle, parmi l’odeur fade du réséda. Paul Verlaine, Poèmes saturniens A une femme A vous ces vers de par la grâce consolanteDe vos grands yeux où rit et pleure un rêve doux,De par votre âme pure et toute bonne, à vousCes vers du fond de ma détresse violente. C’est qu’hélas ! le hideux cauchemar qui me hanteN’a pas de trêve et va furieux, fou, jaloux,Se multipliant comme un cortège de loupsEt se pendant après mon

tant par les métaphores utilisés pour décrire l'inconnu que par le contenus. Nous verrons donc d'abord a quoi rêve le poète puis comment le poète interprete son rève. Notre anthologie s'ouvrira sur un poême de Verlaine intitulé "Mon rêve familer" extrait du premier recueil de Paul Verlaine, Les poèmes saturniens, dans la section mélancholia, datant de 1886.Nous y verront comment le poête cherche dans ses rêve la femme qu'il aime. Nous poursuivrons notre étude avec "Brise Marine" de Mallarme extrait

BIOGRAPHIE : Paul Verlaine (1844-1896) : après le baccalauréat, il s’inscrit en droit puis y renonce et travaille pour une compagnie d’assurances puis comme expéditionnaire à l’Hôtel de Ville de Paris. En 1866, il publie les Poèmes saturniens et, en 1869, Fêtes galantes. Il épouse Mathilde Mauté en 1870. Le siège de Paris, les troubles de la Commune , et la rencontre de Rimbaud en 1871 le bouleversent : les deux poètes vivent une relation et partent en Angleterre et en Belgique (Verlaine écrit alors

d’emmener le lecteur, a l’aide d’une prise de conscience, dans un contexte qui n’est pas le sien. Nous pouvons citer également Cauchemar poème de Verlaine datant du XIX siècle. En effet dans son poème Paul Verlaine a comme thème principal la fantaisie qui lui permet de créer un univers différent : celui du subconscient lorsque l’on rêve. Dans ce poème romantique noir, Verlaine fait entrer le lecteur dans un monde noir peuplé de fantômes et de cavaliers. Nous retrouvons donc encore le voyage d’un monde

,Le cauchemar de Fussli (1741-1821) Le peintre Johann Heinrich Füssli, réalisa The Nightmare en 1781 . Il mesure 101,6 cm sur 127,7 cm , il conservé Detroit Institute of Arts Il en existe différentes versions : 3 tableaux ont été créés, tous sur la même base de ce cauchemar. Le premier fut peint en 1781, et les deux autres versions en 1790. Füssli est le premier peintre à s’intéressé au phénomène du cauchemar . Le tableau traite de l’interprétation des cauchemards. Le mot  » Cauchemar  » trouve

perdait rien… Et dans le boudoir où, sonore, Tintait son rire aérien, Brillaient quatre points de phosphore. Paul Verlaine, Poèmes saturniens A une femme A vous ces vers de par la grâce consolante De vos grands yeux où rit et pleure un rêve doux, De par votre âme pure et toute bonne, à vous Ces vers du fond de ma détresse violente. C’est qu’hélas ! le hideux cauchemar qui me hante N’a pas de trêve et va furieux, fou, jaloux, Se multipliant comme un cortège de loups Et se pendant

qu'hélas le hideux cauchemar qui me hante N'a pas de trêve et va furieux, fou, jaloux, Se multipliant comme un cortège de loups Et se pendant après mon sort qu'il ensanglante! Oh! je souffre, je souffre affreusement, si bien Que le gémissement premier du premier homme Chassé d'Eden n'est qu'une églogue au prix du mien! Et les soucis que vous pouvez avoir sont comme Des hirondelles sur un ciel d'après-midi, -Chère,- par un beau jour de septembre attiédi. Paul Verlaine. Stances Galantes

s’ennuie, Ô le chant de la pluie ! Il pleure sans raison Dans ce coeur qui s’écoeure. Quoi ! nulle trahison ?… Ce deuil est sans raison. C’est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine Mon coeur a tant de peine ! Paul Verlaine L’Ennemi Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage, Traversé çà et là par de brillants soleils ; Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Qu’il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. Voilà que j’ai touché l’automne des idées

la vieL’huile qui raffermit les muscles des lutteurs. En toi je tomberai, végétale ambroisie,Grain précieux jeté par l’éternel Semeur,Pour que de notre amour naisse la poésieQui jaillira vers Dieu comme une rare fleur !” Charles Baudelaire Paul Verlaine : A Charles Baudelaire Je ne t’ai pas connu, je ne t’ai pas aimé,Je ne te connais point et je t’aime encor moins :Je me chargerais mal de ton nom diffamé,Et si j’ai quelque droit d’être entre tes témoins, C’est que, d’abord, et c’est qu’ailleurs