Cauchemar En Gris

(XX siècle). L’éditeur est Bernard Grasset et le roman a été publié la collection ‘Livre de Poche’. La couverture de l’édition de poche montre le tableau de Felice Casorati “Double Portrait” centré sur une femme. Celle-ci a la peau pale, des yeux gris et éteints et une bouche scellée. Ses cheveux tirés en arrière donnent une rigidité a son visage ne montre aucune émotion, aucune tendresse. Cette image est parfaite pour la couverture car elle nous donne une première impression de Folcoche, la mère

leur parler de rivages exotiques. Pour lui, c’était un moment de bonheur. Il vivait d’une très petite pension et, malgré ses maigres ressources, il aimait partager avec eux bonbons ou gâteaux qui lui étaient offerts. De taille moyenne, les cheveux gris, coiffé d’une casquette Pilote, il portait le plus souvent des bottes ou des sabots. Des tatouages de différentes couleurs couvraient ses bras. Il aimait les montrer, ils faisaient partie de lui, de sa vie. Sa vie, son passé, qu’étaient-ils ? C’était

de largeur et 3m 51 de hauteur. composition : Formes et lignes : On remarque les formes géométriques, qui inscrivent le tableau dans le mouvement du cubisme. Couleurs : Absence de couleurs. Picasso a seulement utilisé le noir, le blanc, le gris. Ces couleurs symbolisent la mort, le deuil interprétation symboles Le cheval: D’après Picasso lui-même, il symbolise le peuple républicain espagnol. C’est aussi le symbole du Pays Basque, la région où se situe Guernica. Sa gueule ouverte et sa

peintures cassées. Toute cette situation conduit Jacques à réfléchir si certainement était quelqu’un dans le manoir la nuit passé. En faisant une analyse minutieuse parmi les tessons sur le sol, il a vu quelque chose. Il était une feuille de couleur gris sur lequel était écrit quelque chose. Jacques trouvait difficilement de comprendre ce qui était écrit sur cette feuille, car on a été écrit seulement les initiales des mots: « E…, T., H……, D…, C…, M….., Q.., E…, M..., M….? » Toute la journée, il a

à deux mains et j'allumai la lumière ! Je faillis m'évanouir. Il était vraiment affreux, enfin je dis « il » mais je ne sais pas vraiment si c'était un garçon parce qu'il ne présentait aucun signe distinctif par rapport à une fille. Il était bleu-gris sombre. Un mélange très étrange entre le loup, l'ours et un animal marin. Il avait des palmes à la place des pieds, ses jambes, ou plutôt devrais-je dire « ses pattes » étaient cambrées vers l'intérieur et très poilues. Au niveau du ventre, sa peau

COULEURS Dans son triptyque, Otto Dix utilise principalement des nuances de rouge, de brun et de gris. Les couleurs utilisés sont tantôt froide ( noir, gris... ) tantôt chaude ( rouge... ) mais sont toutes associés à l'univers de la guerre. Le rouge représente le ciel tourmenté présent dans les trois panneaux principaux, le sang, les viscères et le feu du champ de bataille... Le gris marque les soldats, leur casques, leurs vêtements ainsi que leurs armes. Le brun, lui, est utilisé pour

huit personnes à table. Puis à ma droite se trouvait un salon où étaient installés deux canapés en mailles grises tout en long, une table basse bleu de forme ronde et un écran plat que toute grande famille se doit avoir, très lumineux puisque de grandes fenêtres laissaient pénétrées la lumière du soleil. Tout à droite on pouvait apercevoir un majestueux escalier en colimaçon de couleur gris, noir. La maison était très contemporaine et la maitresse de maison avait du goût pour la décoration...et pour

bouger, j’avais l’impression d’avoir un gros poids sur mes jambes ; Je pleurai mais personne ne m’entendait, je criai (du moins j’essayais) mais aucun son ne sortait de ma gorge ! La panique me prenait peu à peu… Que m’arrivait-il ? Etais-je dans un cauchemar ou étais-ce la triste réalité ? A force d’essayer de bouger, je fermai mes yeux très fort espérant que quand je les aurais ré-ouverts, tout rentrerai dans l’ordre. J’ouvris mes yeux après une minute, et oui, tout était revenu dans l’ordre, mais je

effrayant cauchemar de toute son existence. Il avait des sueurs froides, impossible pour lui de tuer, ni même d’agresser quelqu’un. Il n’en avait pas le courage mais peu à peu il se remémora tous les instants pénibles passés avec lui, notamment quand il l’avait blessé au genou mais en vain. Il se rendormit en allumant une veilleuse tellement ce cauchemar l’avait choqué. Le lendemain matin à son arrivée au manoir, il reçut vite l’ordre de repeindre les murs du séjour en gris. Sébastien

Résumé de la nuit du renard Personnages : Ronald Thompson : 19 ans, va mourir sur la chaise électrique Steven Peterson : rédacteur en chef du magazine L’Événement, 30 ans, cheveux cendrés, parsemés de fils gris, décoiffés, sourcils sombres, yeux bleu hivernal, POUR la peine de mort. Sharon Martin : journaliste, auteur Le Crime de la peine capitale, cheveux couleur miel, chignon lâche, pèse 60 kilos CONTRE la peine de mort. Nina : femme de Steven Thompson, assassiné étouffée, petite et menue