Cauchemar

1 Un rêve troublant Makao se leva en sursaut, la sorcière qui l’avait attaqué quelques secondes plus tôt l’avait effrayé. Effrayé au point de sentir des gouttes de sueur perler sur son front. Son cauchemar avait été terrible, comme les autres. Encore une fois, il avait rêvé qu’il se trouvait au beau milieu du pont de la rivière des pluies, et comme si le temps s’était arrangé pour s’accorder à l’endroit, il pleuvait, si fort que Makao avait du mal à percevoir le paysage autour de lui, tout

j’atteignais bientôt le plafond. Je fus pris de tremblements incontrôlables et aucun son ne put sortir de ma bouche. Des cris des plus étranges s’élevaient de dehors et à mesure que le sol montait ces cris devenaient plus proches. Etait-ce qu’un cauchemar ? Non cela était impossible, c’était bien trop réel pour n’être que le fruit de mon imagination. Et ensuite… Non c’est beaucoup trop épouvantable, trop douloureux à dire mais pourtant il faut que je me libère de cet horrible fardeau. Ma tête touchait

basculer entièrement dans l’eau sombre, je me débattais tant bien que mal, l’eau s’infiltrait en moi, me volait mon oxygène, j’allais finir par… Et là je me suis réveillée mon cher journal, suante et tremblante, mais ce n’étais qu’un cauchemar, qu’un simple cauchemar, dans quelques années j’en rirais.

finalement du rêve à travers le fantastique, on pourra premièrement dire que Laurent et Thérèse ont, à partir de la mort de Camille des cauchemars le mettant en scène par exemple au chapitre 17 : « Sa rêverie avait une lucidité étonnante. […]Pendant une heure, Laurent vécut dans cette suite de cauchemar sans cesse répété et sans cesse imprévus » Mais en plus des cauchemars qu’il subit la nuit, Laurent est également sujet à des hallucinations en plein jour comme il est dit dans cet extrait du chapitre 17

son vieil ami, l'abbé Maucombe. La nuit, le baron Xavier fait un affreux cauchemar : Un prêtre, coiffé de son tricorne, lui tend un grand manteau noir en fixant les yeux blûlants sur le baron. Le lendemain, il doit repartir à Paris à cause de ses affaires. Comme il avait oublié son manteau, l'abbé lui prête le sien sur le chemin de la gare. Le baron s'effraie de la conformité de cette scène avec celle du cauchemar. Quelques jours plus tard, il apprend que l'abbé, enveloppé dans son manteau

vrai. Lorsque l'on fait un cauchemar, à ce moment c'est très dur de faire la différence entre réalité et rêve puisque l'émotion ressentit est très forte, souvent ça se termine par un choc puis l'on se réveil en sursautant. À cet instant, je sais que je ne suis pas dans un rêve, car je me souviens de m'être réveiller. Or, je n'ai jamais rêvé que je me réveillais. Par ailleur, je sens l'effet que ça fait d'être éveillé et l'effet que ça fait de rêver, mais dans un cauchemar cette distinction disparaît

nuages Ce qui fait qu’on se ressemble c’est qu’on est différent Le soleil se lèvera, avec ou sans toi. La vie continue Je marcherai toujours les yeux fixés sur mes pensées Etre heureux ne veux pas dire que tout est parfait La réalité est un cauchemar pour ceux qui rêvent L'honneur personne ne te le donne mais personne ne pourra t'le reprendre L'amour nous tue à coup de haine, a coup de je t'aime Il me reproche d'avoir fait des erreurs, c'est vrai, je l'inclus dedans Son regard me manque…

A une femme". A une femme A vous ces vers de par la grâce consolante  De vos grands yeux où rit et pleure un rêve doux, De par votre âme pure et toute bonne, à vous  Ces vers du fond de ma détresse violente. C'est qu'hélas ! le hideux cauchemar qui me hante  N'a pas de trêve et va furieux, fou, jaloux,  Se multipliant comme un cortège de loups  Et se pendant après mon sort qu'il ensanglante ! Oh ! je souffre, je souffre affreusement, si bien Que le gémissement premier du premier

mignon bambin confiant sous le toit de son père. Puis vient le jour des révélations de l'Apocalypse, où l'on comprend qu'on est maudit, et misérable, et pauvre, et aveugle, et nu ; et alors, fantôme funeste et dolent, il ne reste qu'à traverser le cauchemar de cette vie en claquant des dents. Je suis sorti chancelant, égaré. Je ne savais plus ce que je faisais. Je ne voyais du matin qu'une blancheur, une blancheur de linceul. Je mourais littéralement de faim. […] Pour trouver des calories, il ne me

qui est une notion que l'on peut qualifié d'abstrete, est basé sur des valeurs concrète comme le travail et la prospérité mais aussi des valeurs moral qui servent a guidé le rêve vers le bien. Malheureusement ce rêve va pour certain tourner au cauchemar notamment sur Ellis Island ou des milliers de personnes vont ce voir refuser leur droit d’accès et donc leur droit d'accès a leur projet d'avenir.Et ceux ayant réussi a intégrer l'Amérique vont s'apercevoir qu'il ont quitter une misère pour en retrouver