Causes De La Conference De Berlin 1884 1885

l’Autriche confinée dans leurs querelles continentales. La première tentative d’ordonnancement du monde aura à peine duré 20 ans. Reste que l’Europe va tenter une seconde fois de s’organiser d’une manière un peu plus cohérente. B) Les congrès de Berlin L’échec autrichien à la bataille de Sadowa en 1867 puis l’échec de la France à Sedan en 1870 vont faire de la Prusse qui devient l’empire allemand au traité de Versailles en 1871, le nouvel arbitre de l’Europe. C’est Bismarck, le chancelier prussien

et références 10.1 Notes 10.2 Références 11 Annexes 11.1 Bibliographie 11.2 Filmographie sélective 11.3 Musique 11.4 Télévision 11.5 Documentaire radiophonique 11.6 Articles connexes 11.7 Liens externes Déclenchement Article détaillé : Causes de la Première Guerre mondiale. Si la Première Guerre mondiale est déclenchée par l'assassinat, à Sarajevo, de l'archiduc François-Ferdinand, héritier du trône d’Autriche-Hongrie, et de son épouse, cet évènement ne fait que pousser au paroxysme des

l’Espagne. En 1609 : les Pays-Bas deviennent la Hollande. En 1613 en Russie se crée un nouvel Etat sous la dynastie des Romanov. Au centre de l’Europe et en Italie l’évolution est plus lente car situations instables non propice à la création d’un Etat (causes : l’empereur). Paradoxalement, c’est en Italie où il n’y a pas d’Etat qu’est inventé le mot « Etat » par Machiavel (Le Prince 1513) b) les éléments constitutifs de l'Etat moderne : Territoire ; possession du sol (héritage du M-A), on parle d'Etat

délits et des peines et la réalité des faits quotidiens. De là est née l'école criminelle positive dont l'objet essentiel consiste à étudier la genèse naturelle du délit, soit chez le délinquant, soit dans le milieu où il vit, pour approprier aux causes différentes des remèdes différents. Cette école criminelle positive constitue désormais une branche distincte et vigoureuse de la sociologie générale, sous le nom même de Sociologie criminelle, que je lui ai donné en 1882, afin d'y faire entrer les

2- L’intervention désordonnée des puissances européennes Nicolas 1er, nouveau tsar russe en 1825, laisse entendre qu’il n’a pas besoin d’un accord pr intervenir et qu’il va libérer les grecs. 1er ministre britannique réunit à Londres une conférence en juil 1827, réclame l’autonomie de la Grèce en échange d’un tribu annuel payé par la Grèce à Istanbul. Le sultan rejette cet ultimatum, les puissances européennes interviennent contre la flotte turque battue dans la bataille de Navarin le 20 coctobre

allemande. La France impose ces mesures par les armes. Mais dans le même temps, les peuples réfléchissent : pourquoi sont-ce des étrangers qui créent nos systèmes politiques ? Napo est l’accoucheur de l’Europe et de la modernité. 1807 : Fichte : alors que Berlin est occupé par les troupes françaises, prononce son premier discours à la Nation All. Cette idée de la nation All est précipitée par les Français. Des peuples prennent les armes parce que la Grande Armée les occupe. 1808 : Napo tombe sur un os en

territoire de l'empire ottoman). Cependant, la Grande-Bretagne et l'Autriche-Hongrie ont trouvé que cet accord donna trop de pouvoir à la Russie. Ainsi, le chancelier allemand Bismarck, en médiateur, proposa d'organiser un congrès international à Berlin (1878). Le traité qui en découle limita les gains territoriaux de la Russie ; la Serbie, le Monténégro et la Roumanie devinrent indépendants et la Bosnie-Herzégovine fut placée uniquement sous le contrôle administratif de l'Autriche-Hongrie. La Bulgarie

nègres en laisse. On présente aussi des danses (noirs déguisés comme pour une fête foraine). On décontextualise les rituels des nègres pour en faire un spectacle. Il y a des tensions très fortes entre les différents empires européens : conférence de Berlin (1884-1885) qui va bouleverser définitivement le destin de l’Afrique. On affirme vouloir civiliser les populations indigènes. « Toutes les puissances exerçant des droits de souveraineté ou une influence dans lesdits territoires s’engagent à veiller

tête d’une coalition de pays européens (sauf la France) pour une opération militaire (bombardement de Beyrouth, blocus maritime) qui montre la puissance navale britannique. La France n’est pas invitée à la conférence de Londres. Thiers est remplacé par Guizot, plus anglophile. La deuxième conférence de Londres en 1841 vient confirmer la première : Mehmet Ali doit renoncer à son contrôle de la Syrie, du Liban, de la Palestine, mais il obtient que le caractère héréditaire de son statut lui soit confié

CASSAGNE Agrégée d’histoire, professeur au lycée Branly, Nogent-sur-Marne André KASPI Agrégé d’histoire, professeur d’Histoire de l’Amérique du Nord à l’université Paris I - Sorbonne Marie-Anne MATARD-BONUCCI Agrégée d’histoire, maître de conférences à l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines Hélène SADOWSKI Agrégée d’histoire, professeur au lycée Couffignal, Strasbourg Jean-François SIRINELLI Agrégé d’histoire, professeur à l’Institut d’études politiques de Paris Marcel SPISSER