Cavalerie légère

Armée était composée d’unités d’infanterie, de cavalerie et d’artillerie. Au sein de l’unité d’infanterie, on pouvait distinguer trois corps différents : l’infanterie de ligne qui constituait la majeure partie des troupes. Il y avait aussi l’infanterie légère destinée à opérer dans les terrains difficiles (bois, cours d’eau …). Le troisième corps d’infanterie était l’infanterie de la Garde Impériale, chargée de la protection de l’Empereur. La cavalerie quant à elle était utilisée pour percer les lignes

Multiplicité des partis (communistes, socialistes, radicaux) ainsi que divisions interne et manque de discipline | Pas de majorité stable | Ministériel | Choix de ministres partisans de la paix à tous prix par un chef du gouvernement tenant de la fermeté (Léger et Gamelin pour Blum, Bonnet pour Daladier) | Désaccorde sur la politique extérieur | Politique | Manque de clarté des étiquettes, tous ce réclament « de gauche », manque d’adhésion aux partis | Désintéressement des partis de gouvernement | Constitutionnel

Fauconneau Fauconneau en fonte (1691) dans la cour intérieure du château de Creuzburg, en Saxe (affût de 147 cm , calibre 8 cm).Le fauconneau ou bombarde allongée[1] est une pièce d'artillerie légère d'environ 2 m[1] tirant des boulets de taille moyenne allant de 500 g à 3 kg[1].Il fut essentiellement utilisé pendant le XIXe siècle, notamment par les Français.Son appellation est une analogie au petit du faucon. Le fauconneau est une pièce d'artillerie très anciennes, comme la plupart des pièces

pas l'Attique. Les plus riches servent dans l'infanterie lourde (hoplites équipés d'un bouclier, d'un casque, de cnémides comme protège-tibias, d'une lance et d'une épée courte) (guerrier 1, guerrier 2) et dans la cavalerie. Les plus pauvres des citoyens servaient dans l'infanterie légère, les corps auxiliaires (frondeurs, archers) ou la marine. Quand la démocratie perdra de son influence au IVème siècle, on fera appel de plus en plus à des mercenaires étrangers qui, s'offrant au plus offrant, pouvaient

au combat depuis Hector et Achille est la plus belle mort. Les plus riches servent dans l’infanterie lourde (hoplites équipés d’un bouclier, d’un casque, de cnémides, d’une lance et d’une épée courte) et dans la cavalerie. Les plus pauvres des citoyens servaient dans l’infanterie légère, les corps auxiliaries (frondeurs, archers) ou dans la marine. Dans la pratique, exercer son devoir de citoyen était naturellement plus facile pour les riches que pour les pauvres, pour les oisifs que pour les travailleurs

on commence à tirer couché (moins de fumé). Fusil à répétition. Le corps est très vulnérable. En plus il y a de nouvelles armes comme des mitrailleuses et des obus explosifs. Il y a beaucoup de morts enterrés à cause des explosions. Le temps des cavaleries (chevaux) sur le front est révolu. Corps impuissants corps niés : tout le prestige des uniformes disparait. Les qualités physiques et sportives ne servent plus à rien. Le combat est une boucherie absurde et hideuse. La mort est une sorte de loterie

Justice CHAPITRE XXI Finances romaines.- Fausse monnaie. - Banquiers. - Manieurs d’argent et usuriers. - Commerce et marine. - Accapareurs. - Industrie. - Agriculture. - Misère générale. - Délateurs. - L’armée. Recrutement. - Infanterie et cavalerie. - Science militaire. - Subsistances. - Généraux et soldats. Corruption universelle. - Indifférence. - La Rome nouvelle CHAPITRE XXII De 195 à 121 av. J.-C. - Caton le Réformateur. - Scipion Émilien. - Les stoïciens. - Révolte des esclaves en

d’un pays était lancée contre les populations voisines. L’arme noble par excellence, l’arme des beaux tournois à la manière de notre Iliade, la charrerie, commença à faire place à l’arme des attaques brusquées et des incursions en trombe, à la cavalerie proprement dite. Cette révolution dans l’art militaire fut entreprise en 307 avant J. -C. par un roi de l’État de Tchao, dans le nord de l’a ctuelle province de Chan-si. Ayant à lutter contre les Huns de la Mongolie, il s’était aperçu que ce qui

dont le duc de Valentinois fit mettre à mort Vitellozo Vitelli, Oliverotto da Fermo, le seigneur Pagolo et le duc de Gravina Orsini l'Art de la guerre (Extraits) I. Nécessité d'une armée nationale. II. Supériorité de l'infanterie sur la cavalerie. III. Pourquoi l'art militaire est négligé. IV. Pas de grand homme sans imagination. V. Les fautes des princes d'Italie. VI. Provision pour l'infanterie. L'Histoire de Florence (Extraits) I. L'histoire, science du détail, est l'honneur

fait son apparition au XIIème Siècle. Vers le début du XIVème Siècle, le masque facial devint mobile, permettant d’avoir le visage à découvert lors de moments critiques. Cette évolution fit apparaître le bassinet qui est plus confortable (car plus léger), plus pratique pour dévier les coups et sa visière pouvant être relevée pour dévier les coups. A la fin du XIème Siècle, le heaume à « tête de crapaud » fait son apparition. Il est fort utilisé lors de tournois et joutes (affrontement entre plusieurs