Cavalerie lourde

leurs cheveux, courts derrière et longs devant, sont d'une blondeur admirable ; leur vêtement est si court qu'ils ne leur couvre même pas le genoux, et si serré qu'il laisse voir la forme de leur corps ; ils portent une large ceinture où pend une lourde épée, très tranchante ». Au XIXe siècle, Chateaubriand dans son sixième chant des Martyrs se plaît à imaginer leur aspect : « Parés de la dépouille des ours, des veaux marins, des aurochs et des sangliers, les Francs se montraient au loin comme un

une grande partie de son récit à la guerre entre Guillaume et Harold et donc il y a beaucoup de combats. Elle ne permet pas de comprendre les stratégies militaires de l’époque, mais elle montre que la force principale des conquérants était une cavalerie lourde alors que les Anglais étaient des fantassins. Les seules armes défensives qui apparaissent sont le casque, le haubert et le bouclier. Les casques présents sur quasiment tous les combattants provoquent l’étonnement car ils devaient être à l’époque

n’apparurent qu’avec la démocratie, et que leur importance date des mesures par lesquelles Éphialte priva l’Aréopage de la plus grande partie de ses attributions. Hippeis : ceux qui pouvaient entretenir un cheval et de ce fait servaient dans la cavalerie. Hoplites : fantassin lourdement armé qui combat au sein de la phalange. L’équipement de l’hoplite : casque à cimier, cuirasse de bronze, ceinture, jambières, lance d’estoc et bouclier à double poignée.Liturgies : Certaines fonctions étaient remplies

germaniques. On lui attribue 4 épouses, nombreuses concubines, environ 17 enfants. (Tentative d’assassinat contre Charlemagne mené par un fils Bâtard Pépin le Bossu soutenu par une partie des grandes familles qui voulaient se libérer de la trop lourde poigne du souverain en 792.) Il rétablit l’usage du serment d’allégeance, tous ses sujets de plus de douze ans devait faire le serment de fidélité. Il construit Aix la Chapelle (par Eudes de Metz architecte), réuni autour de lui une cour de lettrés

libre. Aller à : Navigation, rechercher Adoubement de Lancelot, enluminure du XVe siècle.Le mot chevalerie est un dérivé du mot cheval, lui-même du bas latin caballus, « mauvais cheval » (à distinguer du latin classique equus), dont les mots « cavalerie » et « cavalier » sont aussi dérivés. Le terme sous-entend une forte distinction entre les chevaliers, combattants professionnels d'élite montés à cheval, et les paysans et les bourgeois, souvent considérés comme médiocres combattants, qui fournissaient

pour lui la meilleure. A ce moment du conflit, César peut toujours compter sur un instrument militaire intact. En effet, il dispose de l’armée la plus performante de l’époque avec une douzaine de légions auxquelles il faut ajouter la redoutable cavalerie germanique assez nombreuse pour mettre en pièce celle de Vercingétorix. Jamais dans l’histoire romaine, de telles forces ont été réunies pour mener un conflit. César, à la tête de ses troupes, se retire donc en bon ordre, en passant par le plateau

on améliora la rotation des terres en jachère et surtout, on découvrit la charrue, qui non seulement de scarifier la terre (comme le fait l'araire) la retourne et l'aère. On peut aussi voir des charrues lourde avec un socle métallique qui permet de mieux creuser et surtout retourner la terre lourde. Ainsi cette découverte permis de rendre cultivable les terres dites grasses (présentes dans le nord de l'Europe surtout) et de multiplier les fronts pionniers agricoles à travers toute l’Europe.

porta ses efforts sur la Catalogne qu'il envahit après l'avoir assiégé à trois reprises en 1640, en 1641 et en 1642 et finalement prit la forteresse de Salses. Mais l'échec des tercios espagnols s'ajouta à la bataille de Rocroi en 1643 où, si la cavalerie pouvait s'enfuir, l'infanterie était capturée et pouvait même être massacrée. À nouveau vaincu, en particulier à la bataille des Dunes en 1658, Philippe IV fut poussé à la paix. Sur la période 1635-1648, la France s'est attaqué aux forces espagnoles

corps comprend deux à quatre divisions d'infanterie (avec quinze à vingt pour cent de voltigeurs), une brigade ou une division de cavalerie légère (éclaireurs, chasseurs), de l'artillerie divisionnaire et de réserve, du génie et des services. Même les différentes composantes de la réserve générale finissent par former des corps d'armée : corps d'infanterie, de cavalerie (de ligne - dragons - et de bataille - cuirassiers) ; corps de la Garde, ultime réserve interarmes qui protège la réserve d'artillerie

connus, les gaulois utilisaient de simples galets, ainsi que des balles ovoïdes en terre cuite d’un diamètre allant jusqu’à 10 cm. Le javelot : C’est l’arme de jet par excellence des troupes légères que l’on retrouve dans la cavalerie ou l’infanterie. Sa fonction, à l’instar du pilum romain, n’est pas nécessairement de porter un tir fatal à l’ennemi mais de le harceler. L’action des tirailleurs va être avant tout de déstabiliser les lignes ennemies, de fragiliser ou d’entraver