Cavalerie lourde

préparer son offensive car les Romains ne pouvaient pas traverser le Sinni. La nuit tomba et les Romains envoyèrent une partie de leur cavalerie pour flanquer l'armée de Pyrrhus. Le matin venu, les Romains commencèrent a traverser la rivière au même temps que leur cavalerie attaquer les flancs de Pyrrhus. Celui-ci, voyant qu'il se faisait attaquer envoya sa cavalerie lourde contre les troupes des Romains, qui réussirent a désordonner les légions romains. Pendant la confrontation, un Romain vit Pyrrhus

plutôt que fusants. Cavalerie[modifier | modifier le code] La guerre franco-allemande (contrairement à la guerre de sécession qui avait vu une remarquable utilisation de la cavalerie) marque le déclin irrémédiable de cette arme en Europe qui avait dominé les champs de bataille pendant 150 ans. Au début de la campagne de 1870, l'armée française compte 63 régiments de cavalerie, répartis en cavalerie légère (chasseurs et hussards), cavalerie de ligne (dragons et lanciers) et cavalerie de réserve (cuirassiers

|Conclusion et remerciements | B 3 : 1 page maximum. |C | |Annexes | BACcalauréat PROFESSIONNEL RESTAURATION |Lycée : |Francis de Croisset 34 Chemin de la Cavalerie 06130 Grasse ( : 04.92.42.48.60 | |Elève : |DOUANE rAPHAEL (1bre)

L’année 52 av. J-C et la Bataille d’Alésia Les Gaulois forment un ensemble de peuples, plus de soixante, reconnus pour leurs capacités au combat, notamment dans le domaine de la cavalerie. Ces peuples étaient néanmoins divisés et se faisait régulièrement la guerre. César profita de ces discordes pour s’immiscer dans ces conflits, faisant naturellement front commun avec les factions favorables à l’entente avec Rome, gagnant ainsi des territoires après la conquête de la Gaule transalpine. La bataille

manque mme de peu de faire prisonnier Blcher et tout son tat-major. Ne disposant pas de cavalerie, les Franais ne peuvent toutefois exploiter la victoire et les Prusso-russes se replient pour faire leur jonction avec les Autrichiens la Rothire. Malgr lcrasante supriorit numrique des coaliss (45.000 franais contre plus de 150.000 coaliss), lEmpereur dcide de les y attaquer (1er fvrier). Cest un chec cuisant et lourd en pertes (6.000 hommes et 60 canons, mme si les coaliss perdent 8.000 hommes) et, larme

stabilisé par des mottes de gazon. L’infanterie lourde creuse (3000 hommes), pendant que les troupes légères et la cavalerie montent la garde entre l'ennemi et le camp. Ces gardes débroussaillent également le glacis, de façon à empêcher une approche masquée de l’ennemi. Les branchages sont utilisés pour en faire des cervis, des pieux d’arrêt disposés sur le glacis, le fossé ou le talus. Au fur et à mesure, l'infanterie lourde entre, suivie de la cavalerie lorsque la palissade (vallum) coté ennemi est

lire dans plusieurs écrits que la cavalerie normande était une des plus importantes de l'histoire du Moyen-âge. Toutefois, il était impossible pour une armée de pouvoir compter uniquement sur sa cavalerie pour défaire une armée aussi importante que celle des Anglais. En fait, des deux côtés, on comptait semblablement le même nombre de militaires. Là où on voyait une différence, c'est au niveau du type de militaire. Les Anglais ne comptaient pas sur une cavalerie aussi importante que celle des Normands

certain confort matériel. Elle doit justifier sur le champ de bataille son statut social : l’adversaire doit être vaincu face à face dans un corps à corps héroïque. L’armée est donc structurée autour de la chevalerie la plus puissante d’Europe, cavalerie lourde combattant de front, au corps à corps[10]. Cette volonté de briller sur les champs de bataille est accrue par l’habitude de l’époque de faire des prisonniers et de monnayer leur libération contre rançon. La guerre devient donc très lucrative

hautes températures ou encore sûreté de pied en terrain montagneux), et surtout l'élevage sélectif puis les croisements opérés par l'homme sur le cheval domestique. Certains traits tels la rapidité, la capacité de portage ou encore celle à tracter de lourdes charges, ont été privilégiés24. Les races sont généralement divisées en trois grandes catégories : les chevaux de trait destinés à la traction, les chevaux de selle destinés à être montés (y compris chevaux de sport pour le haut niveau) et les poneys

à pied en opposition à la cavalerie. Parmi eux nous avons les “hoplites” que l'on distingue à la ligne 9. Dans la Grèce antique, un hoplite est un soldat de l’infanterie lourde. Ils sont fortement armés comme on peut le voir sur le diaporama. L'armement complet comprend le bouclier rond ou ovale, le casque de métal, la cuirasse, les jambières en métal, l'épée dans le baudrier et la lance, et aussi le cimier, la anse et l’oreillère).  Après, nous avons la cavalerie, nous pouvons voir sur le