Ce Qui Creve Mes Yeux

poutre et s'est nouée avec, à l'aide de sa broche. ?dipe arrive sur les lieux du drame, fou de douleur, s'enferme dans la chambre et décroche Jocaste qui était déjà morte. Il pris la broche de Jocaste qui était accrochée à son écharpe et se crève les yeux avec. Car, pour lui, s'était à cause de lui que celle qui fut à la fois sa mère et son épouse s'est tuée. ?dipe sort de la chambre de Jocaste, aveugle. Les gardes: Pour quelle raison avez-vous fait cela? ?dipe: Je suis coupable du suicide

écrit une lettre que je posa sur sa table de nuit. Il ne restait plus qu'à partir. Sur le chemin, je me retourna une dernière fois vers la maison ou j'ai grandit et d'un geste de la main je lui adieu... Je m'en allais les poings dans mes poches crevée. Au cour de mon voyage, je découvris le monde, la nature, je me sentais libre. Je dormais sous la Grande Ourse. Je m'asseyais de temps en temps au bord de la route et j'écrivais des rimes. Cela faisait trois semaines que j'étais partis, de plus

reproche à Molière la satire des médecins « l.34 jouer= se moquer » par argument d’autorité : « l.33 honnêtes gens , l.37 personnes vénérables »(-l40-52 colère d’Argan devenu vulgaire « par la mort non de diable, crève ! » )CONCL :Comme Beralde n’a pas réussit de convaincre Argan d’ouvrir ses yeux et de voir l’illusion dans qu’elle il vit il lui reste donc plus , pour obtenir le mariage d’Angélique, que le recours à l’illusion (Avec le mascarade de Toinette et le ballet final des faux médecins )

Alors, je ne sais pas pourquoi, il y a quelque chose qui a crevé en moi. Je me suis mis à crier à plein gosier et je l'ai insulté et je lui ai dit de ne pas prier. Je l'avais pris par le collet de sa soutane. Je déversais sur lui tout le fond de mon cœur avec des bondissements mêlés de joie et de colère. Il avait l'air si certain, n'est-ce pas ? Pourtant, aucune de ses certitudes ne valait un cheveu de femme. Il n'était même pas sûr d'être en vie puisqu'il vivait comme un mort. Moi, j'avais l'air

le champ lexical de la fille durant la rencontre : «elle est fraîche», «belle», «grands yeux» (ligne 1941), «caressée», «embrassée» (ligne 1947). (TRANS.)(I.S.2)En plus d’aimer sa fille, le condamné ressent aussi un amour déçu ce qui le rend dans une grande déception. (EXPL.) Du fait que sa fille ne le reconnaît pas et qu’elle pense que son père est mort produit chez le condamné une consternation, comme un crève-cœur, cependant sa fille semble aimer son père parce qu’elle fait des prières pour lui

recherches, il découvre qu'il est lui-même le meurtrier, que c'est son véritable père qu'il a tué, et qu'il a en outre épousé sa mère. Selon les textes, le sort des personnages varie alors. Dans la plupart des cas, Œdipe se crève lui-même les yeux pour ne plus voir ses crimes. Parfois il reste à Thèbes définitivement (Odyssée), mais le plus souvent il part en exil, soit avant (Œdipe roi, Œdipe à Colone), soit après la mort de ses deux fils (les Phéniciennes). Dans l'Œdipe à Colone,

petite sotte est plus heureuse que nous. Elle est riche. Il y a bien d'autres maris qui portent du poil et des cornes. FELICIE: Elle crève d'orgueil. ADELAIDE: Tranquillise-toi. J'ai la tête sur les épaules. Soyons très aimables et on verra [Plus tard. Dans la cuisine] FELICIE: Nous nous frotterons les yeux avec des oignons et Nous pleurerons. ADELAIDE: Elle sentira cette ignoble odeur. FELICIE: La souillon est bien

le meurtrier de son père. Jocaste, malheureusement, apprend bientôt la nouvelle et se suicide de désespoir par la pendaison. Quant à Œdipe, il comprend que leurs enfants, Étéocle, Polynice, Antigone et Ismène sont maudits. De désespoir, il se crève les yeux avec la broche de son épouse et mère Jocaste et renonce à la royauté. Pour cette raison, il est chassé de Thèbes quelques années plus tard. Après avoir longtemps erré avec Antigone sa fille qui lui était utile comme guide, il arrive dans un

la purgation des passions par le moyen de la représentation dramatique : en assistant à un spectacle théâtral, l'être humain se libère de ses pulsions, angoisses ou fantasmes en les vivant à travers le héros ou les situations représentées sous ses yeux. Pour Aristote, le terme est surtout médical, mais il sera interprété ensuite comme une purification morale. En s'identifiant à des personnages dont les passions sont punies par le destin, le spectateur de la tragédie se voit délivré, purgé des sentiments

inconsciente » . Ici , le cadavre de Camille y est décrit avec les champs lexicaux de la décomposition sa « chairs dissoutes » donne l’illusion de « pourriture » et son corps est en « putréfaction » , et celui de l’anatomie sa « bouche » , ses « yeux » et ses « cheveux » . Ainsi l’imparfait est utilisé dans ce passage comme «souffrait » , « éprouvait » car il représente la pause descriptive du cadavre. B- Un narrateur présent Dans l’extrait le lexique évaluatif est péjoratif la