Ce Qui Creve Mes Yeux

la nuit dernière. Ce qui est très bizarre, tu le déteste mais pourquoi se rêve ou tu l’embrasse et surtout ce que tu n’arrives pas à admettre c’est pourquoi tu as aimé çà ? Ton téléphone sonna en te sortant de tes pensées. -message- BF : j’ai la crève, aujourd’hui se sera sans moi Super alors là c’est encore mieux ! Tu aurais bien aimé rester chez toi mais jamais tes parents le voudrait alors tu partis au bahut complètement dépitée. C : hey salut ! Tu te retournas, carter était contre les casiers

en silence...» -p.66, 67: CASTELLAC: «C'est là que Barboni s'est mit à rire. D'un rire colossal. Il a hurlé quelques mots d'allemand que je ne comprenais pas et puis il s'est mis à rire. En disant qu'ils avaient déguerpi. Que tout le monde était crevé. Que ces salauds-là en avaient eu pour leur compte. Et il riait à gorge déployée. Mais cela avait des accents de cri de rage. Et lorsqu'il s'est arrêté, son visage était si convulsé que j'ai cru qu'il allait éclater en sanglots. Mais il n'en a rien

la suppression de la pause contribue à accélérer le rythme de la marche inexorable du destin : après dix-sept ans de bonheur fallacieux, soudain peste, révélation de l’identité du roi, de son inceste, suicide de Jocaste, mutilation d’Œdipe sous les yeux d’Antigone. Tous ces événements, qui constituent la trame d’Œdipe-Roi de Sophocle, surviennent en quelques pages, dont la brièveté contraste avec la longueur des trois actes précédents : le premier acte 1 ASSOCIATION DES PROFESSEURS DE LETTRES

Un oracle lui annonce qu'il tuera son père et épousera sa mère, il ignore ces conseils et pars, sur le chemin il tue son père et après avoir vaincu le Sphinx, épouse Jocaste, la reine (qui est en faite sa mère). Lorsqu'il le découvre, Oedipe se crève les yeux pour se punir. Clytemnestre est aussi un personnage de la mythologie grecque, lors de la guerre de Troie, son mari Agamemnon part à la guerre, pendant ce temps la, Clytemnestre entretient une relation avec Egisthe. Agamemnon revient de la

poignets avec. Il pointe ensuite l’ustensile en face de Céline en s’exclamant : « Je vous hais tous! Fous le camp de ma chambre et disparaît d’ici avant que je te crève les yeux ! ». Céline reste figée sans dire un mot. Quelconque s’avance vers elle, en pointant sa fourchette et en hurlant encore plus fort : « Je vais te crever les yeux, tu vas voir! ». Cette fois-ci, effrayée, Céline sort de la chambre en courant dans le corridor. Dans sa course, elle se cogne les orteils sur une porte ouverte. Elle

le voue à l’errance et à une déchéance inouïe. Abandonné de presque tous, sans abri et privé de raison, Lear devient le sujet d’une effroyable expérience : comme si le souverain médiéval, qui trônait au sommet d’un cosmos ordonné, était sous nos yeux précipité dans le chaos des temps modernes - mais aussi, hors de tout sens, à la rencontre d’une condition mortelle à laquelle rien n’aura jamais été promis. Lear est précipité dans ses maux par un acte libre dicté par son orgueil. Son châtiment,

suppression de la pause contribue à accélérer le rythme de la marche inexorable du destin : après dix-sept ans de bonheur fallacieux, soudain peste, révélation de l’identité du roi, de son inceste, suicide de Jocaste, mutilation d’Œdipe sous les yeux d’Antigone. Tous ces événements, qui constituent la trame d’Œdipe-Roi de Sophocle, surviennent en quelques pages, dont la brièveté contraste avec la longueur des trois actes précédents : le premier acte ASSOCIATION DES PROFESSEURS DE LETTRES 2

fragile, aux parois cristallines et craquelées sur toute leur surface? «CRACK» et «PSHH» me semble être des réponses plutôt raisonnable. Un homme tue ses deux enfants ; mon vase à moi craque et le Québec ajoute une autre fissure à son lot de tragédies crève-cœur. Ce même homme, suite à son procès, se voit jugé non criminellement responsable de ses actes ; mon vase est rempli à pleine capacité. Il n’y a plus d’espace pour rien d’autre. Quelques années plus tard, on apprend que l’homme en question est libéré

casting pendant une répétition en leurs faisant utilisée un vocabulaire très contradictoire par rapport a leur rôle notamment celui de la princesse qui dans la cas présent est jouée par Aline qui au plein milieu d'une de ces réplique dit : « … je crève de soif … » cela peut être drôle contenus du rôle jouer par celle-ci. Enfin La Comédie du langage tout est dit dans le titre en effet dans ce début d'extrait de « un mot pour un autre » sur chaque réplique un mot est remplacée par autre, on peut

moment de sa mort. C'est lui qui avait porté Œdipe enfant, le fils de Laïos et de Jocaste, sur le Cithéron et l'avait, par pitié, donné au Corinthien. Œdipe se précipite à l'intérieur du palais, découvre que Jocaste s'est pendue, et se crève les yeux avec sa broche. Il a compris que ce que lui avait destiné l'Oracle lorsqu'il était plus jeune s'est réalisé : "tu tueras ton père et tu épouseras ta mère" Créon reprend le pouvoir et Œdipe, s'appliquant à lui-même la punition qu'il avait