Cécile de Volanges

21: un exploit de V (la charité) (V à M) 34 : fonctions de la lettre (V à M) 48 : le « pupitre » partie 2 63 : le triomphe de mme de Merteuil 81 : Merteuil se raconte partie 4 125 : la victoire Valmont 175 : moralité (Mme de Volanges) 6°/ Travaux écrits et tests : 1. résumé d’un texte argumentatif : Préface du rédacteur : 2p 26/09 2. dissertation : « une mythologie de la volonté » ? 3p 17/10 3. commentaire composé (maison)

présente comme un recueil de lettres, issues principalement de la correspondance entre deux libertins : Merteuil et Valmont. Les deux libertins, Madame de Merteuil et le vicomte de Valmont, s’engagent dans trois affaires : séduire la jeune Cécile Volanges qui doit épouser un ancien amant de Merteuil ; conquérir la Présidente de Tourvel, une prude que Valmont s’est promis de faire céder ; reprendre ensemble une liaison qui serait la récompense de la première affaire. En parfaite intelligence les

première lettre est envoyée le 4 août 17**et la toute dernière du 14 janvier 17**). L’action est donc bel et bien commencée puisque nous sommes au moment, où juste avant, Mme de Merteuil a dénoncée la relation qu’entretenait Danceny avec Cécile, à Mme de Volanges sa mère. Dans cette lettre 70, Valmont y décrit un diner passer en la compagnie de Prévan. Cette lettre, et par conséquence Valmont, est l’élément déclencheur, l’insertion du personnage de Prévan dans le roman de Laclos. De plus cette lettre

personnages principaux, en l'occurrence le Vicomte de Valmont. Celui-ci, dont la réputation de séducteur n'est plus à faire, décide de séduire la Présidente de Tourvel. Pour ce faire, il doit d'abord ôter de l'esprit de celle-ci les réticences que Mme de Volanges a pu y mettre. C'est pourquoi, et notamment à l'aide de Mme de Tourvel qui le fait surveiller, il décide de faire une bonne action consistant à aider financièrement des pauvres gens. Il est donc possible de voir quel est l'intérêt de cet épisode

débauché qui agira sans se compromettre et donc manipuler à distance. Les lettres échangées entre les 2 protagonistes principaux, Mme de Merteuil et Valmont, se concentrent sur l’exécution des projets pervers des libertins notamment la corruption de Cécile et la séduction de Mme de Tourvel. Les émotions et les intentions des personnages sont décris de façon cru à travers leurs lettres ce qui a certainement contribuer au scandale entourant les liaisons dangereuses. Dès la seconde lettre, qui fait

personnage de Cécile Nous remarquons que le personnage de Cécile Volange est placé comme la principale victime de la société libertine du XVIIIème siècle tant dans le film que dans le roman. Comment le personnage de Cécile est montré comme victime du libertinage dans les deux œuvres ? Dans un premier temps nous verrons l’innocence de Cécile et enfin nous étudierons l’aspect comique et l’aspect tragique de ce personnage. En analysant l’innocence du personnage de Cécile, nous notons tout

Lettre 1 Après la préface qui annonçait une oeuvre provocatrice, on se retrouve un peu déstabilisé en lisant la première lettre. En effet, celle-ci est écrite par une jeune fille naïve (Cécile de Volanges) à une amie et semble tout à fait innocente... On y retrouve les règles convenant à une jeune fille de cette époque et rien ne paraît choquant à première vue. Cependant, on découvre, en lisant plus en profondeur, que l’auteur introduit les premières failles de cette façade vertueuse (abordées dans

Lettre I De Cécile Volanges à Sophie Carnay aux Ursulines de… Tu vois, ma bonne amie, que je te tiens parole, et que les bonnets et les pompons ne prennent pas tout mon temps ; il m’en restera toujours pour toi. J’ai pourtant vu plus de parures dans cette seule journée que dans les quatre ans que nous avons passés ensemble ; et je crois que la superbe Tanville aura plus de chagrin à ma première visite, où je compte bien la demander, qu’elle n’a cru nous en faire toutes les fois qu’elle est venue

soi-même, on déteste les autres ; on pleure, on gémit, on crie, on sent les approches du désespoir. » Denis Diderot, La Religieuse Tel est le terrible destin auquel est vouée Cécile Volanges. Pour elle, les plaisirs du monde ne durent que quelques mois, avant qu’elle ne regagne pour jamais sa cellule. Madame de Volanges, sa mère, en est bien consciente, et oppose des réserves inquiètes au choix de postulante désiré par sa fille. Elle en fait part à Madame de Rosemonde dans la lettre 170 : « Quelque

Vicompte de Valmont, en réponse à une lettre de la Comptesse, expose son refus quand à la requête qu’elle l’implore d’accomplir. En effet, venant d’apprendre que son ancien amant, le Conte de Gercours, avait pour projet d’épouser la jeune et prude, Cécile de Volange, la Marquise projette en cette union une parfaite occasion de vengeance. C’est pourquoi, elle s’adressa à Valmont, le sollicitant de séduire la jeune fille afin de corrompre la réputation instaurée par son éducation au couvent et pour, de la