Celimene

révélateur de l’intention du poète de peindre les travers d’un certain mode de vie sociale. On peut considérer qu’il a conçu pour chaque sexe un personnage modèle, Éliante et Philinte, auquel correspondent deux sortes de déformations, pourrait-on dire, Célimène et Arsinoé, dans le premier cas, Alceste et Oronte dans le second. Alceste est bien dans la ligne des héros moliéresques vivant une contradiction intime — bien que misanthrope, il est amoureux d’une coquette —, mais il n’en est pas moins singulier

d’Alceste (comique de geste) -Constatation générale « on », « nous » -Propos prétendument adressés à une autre personne. -Alceste reste un gentilhomme qui ne veut pas blesser l’amour-propre d’autrui Acte 2, scène 1 : Un double portrait ? -Célimène = Femme de la cour dont Alceste est amoureux. = Epicurienne ( qui ne veut pas de contraintes ) Ier AXE : Le portrait d’un homme à la mode -Clitandre = un mannequin, un être inanimé. -Voix = seule partie témoin d’une vie.

le héros ridicule en distinguant deux plans : les rieurs et le personnage ridicule. Le Bourgeois Gentilhomme est clairement livré au rire des spectateurs. De même, dans Le Misanthrope, Alceste est la cible des railleries de la part du cercle de Célimène, tous rient de lui. Le dramaturge nous le désigne clairement comme cible. Dans George Dandin, pas de rieurs, c’est la pastorale qui apporte le contrepoint, tout comme les réflexions sur lui-même de George Dandin. Difficile d’avoir de la pitié pour

convictions comme Alceste est toujours d'actualité . Nous pourrions le jouer dans le loft de Célimène; il serait spacieux avec deux grandes baies vitrées séparées par un immense miroir doré de style ancien. A côté, un paravent pour différencier le premier salon, le petit, où se déroulerait la pièce et le deuxième salon, le grand, dans lequel il aurait une fête donnant une raison aux personnages d'être chez Célimène. Ce paravent symboliserait le fait que les murs ont des oreilles, que dans cette classe

le héros ridicule en distinguant deux plans : les rieurs et le personnage ridicule. Le Bourgeois Gentilhomme est clairement livré au rire des spectateurs. De même, dans Le Misanthrope, Alceste est la cible des railleries de la part du cercle de Célimène, tous rient de lui. Le dramaturge nous le désigne clairement comme cible. Dans George Dandin, pas de rieurs, c’est la pastorale qui apporte le contrepoint, tout comme les réflexions sur lui-même de George Dandin. Difficile d’avoir de la pitié pour

littéraire : Comédie Registre: comique, pathétique 1ère publication : 1666 Liste des personnages : ALCESTE, amant de Célimène PHILINTE, ami d’Alceste ORONTE, amant de Célimène CELIMENE, amante d’Alceste ELIANTE, cousine de Célimène ARSINOE, amie de Célimène ACASTE, CLITANDRE, marquis BASQUE, valet de Célimène DU BOIS, valet d’Alceste Résumé : Dans le salon de Célimène, Alceste reproche à son ami Philinte sa complaisance et l'amabilité artificielle qu'il témoigne à tous ceux qu'il rencontre

de personnage. Les critiques de personnages permettent à l’auteur de mettre en évidence les défauts des hommes ou de la société mais également de les corriger par le rire « Castigat Ridendo Mores ». La pièce de Molière Le Misanthrope met en scène Célimène qui dresse le portrait de trois personnages de la cour, Adraste, Cléon et Damis en mettant en évidence leurs défauts. Le texte de Musset pour sa part, comporte le portrait élogieux du fils du Seigneur, Perdican, par Masser Blezius. Quant au texte

caractère ; l’action en est fort mince. Le pauvre Alceste, l’ennemi du genre humain, lui qui ne peut souffrir l’hypocrisie universelle qui fait la société, est tombé amoureux de Célimène, une coquette qui est tout au contraire l’amie des salons, des médisances spirituelles et de la société. Au premier acte, il attend Célimène. Aux deux actes qui suivent, il ne peut lui parler, car elle fait salon. À l’acte IV enfin, il éclate contre elle, contre son goût pour les mondanités et lui déclare son amour

Premièrement, il s'agit d'étudier le type de personnages mis en scène dans les deux extraits. Dans le texte de Molière, Célimène dresse un portrait péjoratif des courtisans, en les caractérisant de "gens extravagants"(l.2), "toujours affairé" (l. 19), "ennuyeux" (l.29), " pauvre esprit" (l. 40)... Les quatre parents du deuxième document peuvent être classifiés dans le même type que Célimène, même en laissant transparaitre quelques différences: les parents se critiquent les uns aux autres plus discrètement

par le costume, le corps et le visage ainsi que la voix de l'acteur. On retrouve ce genre de comique à la fin du film, lorsque Molière convainquit M. Jourdain de surprendre sa belle Célimène pour savoir ce qu'elle pense de lui. M. Jourdain se déguisera alors en femme et surprendra toutes les dames y compris Célimène, c'est alors qu'il comprendra qu'elle le mène en bateau. Cette situation plutôt gênante pour M. Jourdain sèmera l'hilarité, car M. Jourdain s'est encore fait berner. Le Comique de Situation