Celimene

ce qui rend nécessaire des procédés. - où les anomalies n’ont pas de conséquences graves (la fin est plutôt heureuse ; par exemple, la fin du « Misanthrope » p. 167 : le départ d’Alceste, le fait qu’il se retire du monde après le refus de Célimène ne remet pas en cause l’ordre du monde). Le spectacle[3] Le texte de théâtre ne vit que quand il est porté par la voix de l’acteur et est mis en relation avec le public. Pour incarner des êtres fictifs sur scène, il fallait : - triompher du

couardise et la compromission. Mais il aime pourtant Célimène, coquette et médisante. Le vertueux Alceste se lance ainsi dans des combats perdus d'avance qui l'acculent à la fuite... Molière critique les mœurs de la cour, l'hypocrisie qui règne dans cette société du paraître, où les comportements frisent la parodie. Alceste (le misanthrope) hait l'humanité tout entière, y dénonce l'hypocrisie, la couardise et la compromission. Mais il aime pourtant Célimène, coquette et médisante. Le vertueux Alceste se

caractère ; l’action en est fort mince. Le pauvre Alceste, l’ennemi du genre humain, lui qui ne peut souffrir l’hypocrisie universelle qui fait la société, est tombé amoureux de Célimène, une coquette qui est tout au contraire l’amie des salons, des médisances spirituelles et de la société. Au premier acte, il attend Célimène. Aux deux actes qui suivent, il ne peut lui parler, car elle fait salon. À l’acte IV enfin, il éclate contre elle, contre son goût pour les mondanités et lui déclare son amour

de la duchesse, son comportement, sa façon d’agir, sa ressemblance parfois avec Mme de Merteuil de Laclos. Comme Célimène, un être cynique, dominant, railleur, cruel qui rabaisse son amant et finit par le détruire… 3- Mais une femme victime de sa classe et de son éducation, une femme qui agit ainsi par esprit de liberté, et surtout une femme qui s’éloigne grandement de la Célimène de Molière dans le sens ou elle est plus profonde, plus complexe et va être rachetée à la fin du roman et accéder au

l'instabilité du monde, de la vie → refus des règles - Le classicisme → codification de la langue, du théâtre → traduire l'harmonie du monde ordre/ raison Thèmes  → L'hypocrisie : société aristocrate hypocrite (dénonciation?) → La manipulation : (Célimène) pouvoir/volonté d'attirer l'attention, vanité, orgueil démesuré, narcissisme → autres personnages : orgueil = entrave à la relation avec autrui. - L'amour / l'amitié : passion amoureue => fatalité → attirance des contraintes ( C/A) => douloureux

1666 Acte V, scène 4 Alceste, personnage tragique Alceste. Hé bien ! Je me suis tu, malgré ce que je vois, et j' ai laissé parler tout le monde avant moi : ai-je pris sur moi-même un assez long empire, et puis-je maintenant... ? Célimène. Oui, vous pouvez tout dire : vous en êtes en droit, lorsque vous vous plaindrez, et de me reprocher tout ce que vous voudrez. J’ai tort, je le confesse, et mon âme confuse ne cherche à vous payer d’aucune vaine excuse. J’ai des autres ici

Le 27 novembre dernier, alors que plus de 600 étudiants, enseignants et personnels administratifs, réunis au Grand Amphi du campus de Schoelcher (Martinique) fustigeaient les pratiques financières du CEREGMIA, groupe de recherches dirigé par Fred Célimène, ce dernier organisait une conférence de presse au sein de sa faculté afin de tenter de se défendre. Rappelons que deux rapports de la Cour des comptes à dix ans d’intervalle ont pointé du doigt le fonctionnement mafieux du CEREGMIA sans que la justice

Jourdain), Laura Morante (Elmire), Edouard Baer (Dorante), Ludivine Sagnier (Célimène) Genre: biographie romancée - comédie Synopsis 1644. Molière n'a que 22 ans. Doué pour la comédie, il s'entête à jouer des tragédies, s'endette et se retrouve emprisonné par des créanciers impatients. Il est tiré de sa geôle par un mystérieux inconnu, Monsieur Jourdain, richissime marchand cherchant désespérément à séduire la légère Célimène. Il fait appel à Molière pour lui enseigner l'art du théâtre et, afin de

relation secrète entre Horace et sa bien-aimé Agnès. Les pièces sont centrées sur les femmes qui font toutes deux tourner la tête de leurs prétendants. Il est aussi question de tromperie dans les deux histoires : Agnès trompe Arnolphe avec Horace, et Célimène trompe Alceste avec Oronte, Acaste et Clitandre. La fin des pièces nous laisse perplexe puisque nous ne savons pas ce que deviennent les personnages principaux masculins. Dans le Misanthrope, il n’est pas dit si Alceste partira à Paris et si Philinte

Acte 1explique à son soitArceste et son ne soit disant Ami philintequi lui expliqué qu'il faut être sincere et nen êtrekypocrite c'est à dire parler avec le colur maisPhilinte essaye de le tromper en disant qu'il le fautleben fonctionnement de la société. Cette premierePar cettpoursline nous presente donc lepersonnage principal quiest Alceste qui est contre l'hypocrisket is qui n'aimepas grand monde. Ilenprofileest amoureux de aliméne une veuve.aussi pour dire qu'ilAprèsVoite qu'arrievecrontearient