Celine Garçon

2043 joué à l’Eden Basé sur le roman black-out de Sam Mills et ayant été inspiré par 1984 de George Orwell. Cette pièce met en scène l'histoire de Stefan jeune garçon, rebel, curieux, persévérant de 16 ans ayant du mal à accepter certaines lois. Par de nombreuses épreuves pour trouver sa liberté d'expression. Il lutte contre le pouvoir en place, se retrouve en institution (sorte de centre correctionnel). À la fin de la pièce Stefan est confronté à un dilemme, que choisira-t-il? La conception et l'adaptation ont

était belle, cette femme ! Je vois encore cette prunelle ardente sous un sourcil noir se fixer sur moi comme un soleil. » Point de coup de foudre sans échange de regards. L’exclamation, d’abord, est simple et brève, certes, comme celle d’un jeune garçon ému par la vision de la beauté, mise ici en évidence par la virgule, semblable à un soupir amoureux. Mais le fait qu’il avoue la voir « encore » laisse soupçonner au lecteur que le topos du coup de foudre est moqué par l’écrivain, alors même qu’il

l'intégration, de la violence ou de la pauvreté sontdépeints avec des mots simples mais percutants, sans jamais tomber dans un misérabilisme déplacé. - Les Personnages : Azouz :Azouz est le personnage principal, c’est le narrateur. C’est un jeune garçon d’une dizaine d’années au début du roman. Il est sympathique, courageux, loyal.Il est le héros de l’histoire, il a neuf ans au début de celle-ci, en 1963 et est Français. Il habite le Chaâba, un Bidonville dans lequel il vit avec sa familles : Bouzid

pendant la guerre du Vietnam ce qui le rendu célèbre par cette photographie qui fit le tour du monde. III.Analyse de l’œuvre : 1) Je décris ce que je vois : La photographie de Nick Ut est d'un ordre figuratif. Au premier plan, on voit un garçon la bouche grande ouverte, les yeux fermés, courant de panique. Ensuite, au centre l'on peut voir une petite fille pleine de panique, complètement nue, brûlée au napalm, seule sur cette route, devancée et suivie par de jeunes enfants, sans leur parents

faut cultiver notre jardin » (l.15). Ensuite, confronté à l'obstination de philosophe, et renonçant a le convaincre, il édicte la sentence qui constitue l'ultime phrase du conte : « mais il faut cultiver notre jardin. »(l.35). Il n'est plus le jeune garçon du début, soumis à la pensée du maître : il a pris de l'assurance, acquis une sorte de certitude, un début de sagesse. II. Morales : La morale du conte est énigmatique, en effets on peut avoir des visions différentes sur la morale : « il faut

Emmanuel-Schmitt, "Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran" est une très poétique initiation à la vie et invitation au voyage qui est loin des "Fleurs du Mal".  À Paris dans les années soixante de la musique yéyé Moïse (Pierre Boulanger), un jeune garçon juif de 11 ans qui est en manque d’affection est à la recherche de son identité. Il  habite seul avec son père dépressif, sa mère ayant quitté le foyer depuis belle lurette. Il  est  livré à lui-même.Son père travaille dur pour lui mais ne lui témoigne

magique. Je ne savais plus où donner de la tête. Devant moi, je vis un cracheur de feu. Il soufflait très fort et chaque fois un petit oiseau de feu s’envolait pour disapraître dans des éclats de braises. Mais ce n’était pas tout. A droite un jeune garçon chantait une comptine qui animait un pot de terre devant lui. Une petite pousse d’arbre en sortit. Celle-ci devint de plus en plus grande pour devenir un arbre majestueux aux reflets argentés avec de petites lumières blanchâtres qui émanaient des

placée sous le signe de la bourgeoisie marchande du nord de l'Italie. Le jeune Boccace eut une jeunesse assez malheureuse à Florence. Son père n'avait aucune envie d'encourager son penchant pour les belles-lettres, et dès l'âge de quinze ans, le jeune garçon fut expédié à Naples dans une succursale des Bardi. Pendant plusieurs années, commis de finance, il s'initia encore à l'étude de la théologie, toujours sous la contrainte paternelle. Pourtant ses goûts littéraires triomphèrent. À Naples, ses occupations

rideau rouge, d’où un jeune garçon tendait à l’Infante un bâton de commandement. Sur cette première version, l’héritière royale occupait une position centrale dans la toile. Pourtant, quelque temps après que le tableau a été peint, naît un héritier mâle, Prospero, à qui revient tout naturellement la succession au trône de Philippe IV. Raison pour laquelle, sans doute, le roi a demandé à son peintre de modifier le tableau. Vélasquez s’est donc représenté à la place du jeune garçon, et quoi de plus naturel

villes de la côte est américaine : New York et la Philadelphie. Le phénomène aurait commencé lorsqu’un enfant en Pennsylvanie commença à écrire son surnom sur les murs de Philadelphie afin de séduire une jeune fille. Au même moment, un autre jeune garçon du nom de Taki originaire de Grèce, signalait son passage à travers les rues de New York en signant son nom suivi du numéro de sa rue sur les murs.2 En effet, l’Art urbain est à l’origine de simples signatures qui se sont développées avec le temps