Celine Garçon

bousculait chaque fois qu'il descendait quelqu'un. Ce jeune homme décharné était porteur d'un chapeau ridicule. Cela se passa sur la plate-forme d'un S complet ce midi-là. Surprises. Ce que nous étions serrés sur cette plate-forme d'autobus ! Et ce que ce garçon pouvait avoir l'air bête et ridicule ! Et que fait-il ? Ne le voilà-t-il pas qui se met à vouloir se quereller avec un bonhomme qui - prétendait-il ! ce damoiseau ! le bousculait ! Et ensuite il ne trouve rien de mieux à faire que d'aller vite occuper

« Évidemment. » Philippe Dumas et Boris Moissard (2007). Contes à l’envers : La Belle au doigt bruyant (P43 à 52), Paris : Neuf de l’école des loisirs. Il était une fois un Prince Charmant qui habitait Rouen dans la Seine-Maritime. C’était un jeune garçon tout ce qu’il y a de sympathique et que sa mère adorait, c’est elle qui répétait à tout bout de champ que c’était « un vrai petit prince » (il faut reconnaître qu’il n’était pas mal de sa personne). A treize ans, son père lui offrit un vélo demi-course :

fiction personnelle du spectateur. Boy est une œuvre qui présente un jeune garçon surdimensionné en bermuda. Il est accroupi, son corps semble contraint dans l'espace d'exposition. Toutefois, l'artiste traite de manière hyper-réaliste le personnage, ce qui déstabilise le spectateur. Ce corps, à l'échelle démesurée paraît à la fois fort et fragile. Le système veineux transparaît derrière la peau laiteuse de garçon. Un traitement minutieux est accordé également au système pileux, aux plis et aux

femme à la beauté fascinante. Il se souvient alors qu'enfant, dix-huit ans auparavant, il les voyait sur le trajet qu'il parcourait du lycée à sa maison ; qu'un jour, la petite fille fut seule, mais que, trop lâche, ligoté par sa réserve de petit garçon de bonne famille, il ne sut pas répondre à son invite, eut peur de cet amour, de cette passion. Aussi, aujourd'hui, passe-t-elle près de lui sans s'arrêter, son visage portant «une expression cruelle de dédain et de colère». Analyse Intérêt de

Fiche pédagogique Le Garçon en pyjama rayé, de John Boyne S O MMAI RE Introduction Fiche élève 1 › Fiche élève 2 › Fiche élève 3 › Fiche élève 4 › Le lancement du récit L’histoire d’un enfant Comme une enquête L’histoire de deux peuples p. 1 p. 2 p. 5 p. 7 p. 9 › La pagination fait référence à l’édition Folio Junior 2008. Introduction L’histoire Bruno et sa sœur, Gretel, doivent quitter Berlin, où ils ont une vie très agréable, pour Hoche-Vite où leur père a été nommé. Bruno a du mal à se faire

esclaves ». Deux lieux : l'Afrique (le royaume) et Marseille (l'exil). Deux époques : les années 1909-1912 (massacre des hommes bleus du désert par les Chrétiens) et le temps présent (celui de la misère des immigrés). Deux enfants-héros : un jeune garçon, Nour, et une jeune fille, Lalla. Cette structure très claire, presque didactique, traduit la volonté de l'auteur d'engager plus résolument son écriture dans les voies démonstratives de la parabole. 2. Analyse thématique (15 min.) + Biographie et

lui. Le médecin appelé à son chevetdiagnostique une jaunisse. (Chapitres 3 et 4) Remis de sa maladie, le jeune garçon effectue une visite au domicile de l’inconnue avec un bouquet de fleurs. Il apprend qu’elle se nomme Mme Schmitz. Elle le faitentrer puis, lorsqu’il se lève pour partir, lui demande de l’attendre. Elle se change dans la cuisine mais la porte est entrebâillée… Le jeune garçon ne peut s’empêcher de la détailler. Elle surprendson regard et il s’enfuit. (Chapitres 5 et 6) Huit jours plus

dernières nouvelles, un jeune garçon est porté disparu. J'ai repensé à la nuit dernière et je me suis mise à angoisser et encore angoisser. De quoi perdre la tête. La journée avait été très longue. Beaucoup de questions filaient à toutes vitesses dans ma tête. Benjamin était-il un meurtrier? Où est ce garçon? Pourquoi aurait-il fait ça? Un vrai supplice. Au coucher, le sommeil fut difficile à trouver. Quand je suis arrivé à m'endormir, j'entendis une voie de garçon. Cette vois venait de notre cave

Le narrateur et personnage principal de l’œuvre a le même prénom que l’auteur. Simple coïncidence ? Quoi qu’il en soit, le petit garçon de 12 ans est incontestablement un personnage attachant, et très aimable. On peut le sentir à la compréhension dont il fait preuve vis-à-vis de ses parents quand ces derniers se retrouvent au chômage, à l’affection qu’il porte à sa chienne Stella, ainsi qu’au vieux Kensuké. Sur l’île, c’est un nouvel aspect de sa personnalité qui transparaît, car il fait preuve

heures en suivant le rythme des vagues. De l’autre côté de la mer, se trouvait un autre gamin du nom de Max. Il était le fils d’un célèbre peintre très riche. Son père passait tout son temps à peindre et Max s’ennuyait beaucoup. Le jeune garçon, qui était souvent seul, aimait marcher sur le bord de l’eau. Ce jour-là, lors de sa promenade, il trouva un ballon. Max le prit et remarqua qu’il y avait un nom écrit dessus. C’était celui de Pablo… Pendant ce temps, Pablo et ses amis marchaient