Cendrillon Parodie

« Si nous parlions d'autre chose », buté « n'insistez pas », qui a peur d'endosser les responsabilités « Ce n'est pas moi en tout cas ». Son attitude inacceptable car irresponsable et puérile en devient grotesque. 3 - De plus, le recours à la parodie de la cérémonie funèbre et de tout le rituel de l'enterrement ôte à l'événement sa solennité. Tout se passe ici à l'envers de ce qui se pratique dans notre réalité : - c'est un camion rouge et sale qui tient de lieu de corbillard - le camion rouge

Tableau de confrontation des documents : Le carnaval Doc 1 | Doc 2 | Doc 3 | Doc 4 | Doc 5 | Idées fortes | Ecoles de samba regroupées en groupe de niveaux différent | On constate la présence de mendiants, laquais, les coupe-bourses, et écoliers… | Carnaval qui transforme la ville et envahit le quotidien des Bâlois | Ces troupes sont les premières à faire jouer des femmes, à une époque où celles-ci sont interdites de scène. | Tout le monde y participe et chacun se déguise selon le thème du jour

Etude de l’extrait, acte II, scène 2 Une scène de séduction Ah ! la belle personne => en six mois. Objectifs : Etudier la stratégie du séducteur Réviser le comique Revoir la méthodologie du commentaire composé Problématique : Quel séducteur est DJ ? Est-il à la hauteur de son discours sur le libertinage de l’acte I, scène 2 ; est-il aussi doué dans l’action qu’il l’a été pour la parole ? Introduction : Nous sommes à la scène 2 de l’acte II. Après la tension du premier acte marqué par

situation initiale avec des éléments typiques d'un conte traditionnel B. Les éléments typiques du conte C. L'éloge apparent du château et de ses habitants : en endroit merveilleux et harmonieux 2. La parodie d'un incipit de conte et la parodie du début de la Bible A. La parodie du conte B. La parodie de la Genèse 3. Critique de la noblesse, de l'optimisme et de la religion A. La critique des préjugés nobiliaires et de la noblesse comme d'une société renfermée sur elle-même, close, figée et

souvent dans les textes polémiques et dénonciateurs. Elle se manifeste par l’utilisation d’antiphrases, de litotes, d’exagérations, etc. - la parodie (le registre parodique) est une imitation moqueuse. On ne peut la reconnaître que si l’on connaît ce qui est imité (la fable d’Anouilh " La cigale " parodie celle de La Fontaine). Des cas particuliers de parodie sont le burlesque (on traite un sujet noble, héroïque, avec des personnages vulgaires et un style familier) et l’héroï-comique (on prête à des

Paludes cache des problématiques fondamentales sous son aspect satirique, voire cynique. Ainsi, délaissant Paludes pour l’œuvre littéraire en général, Gide compose une préface métapréfacielle, à la fois préface, préface déjouée, paragraphe critique, parodie d’article de littérateur, ébauche d’essai théorique. Une introduction métalittéraire à une œuvre qui n’existe (presque ?) que par sa dimension métalittéraire. [EXPOSE] (voir « Paludes » sur Wikipédia pour le reste de l’exposé) CONCLUSION

quoi le père Ubu et la mère Ubu sont-ils sympathiques/pas sympathiques Merci d'avance 27 mar 2010 à 19h18 par Anaïs :-) : TiTe GWeN, ton commentaire m'a bien aidé ! Merci :-) J'aimerai savoir si quelqu'un saurai en quoi cette pièce illustre une parodie extrème, un comique dur, sans finesse, excessif, et en quoi cette pièce évite la psychologie Merci a tous, et svp, répondez vite, c'est très urgent, c'est pour demain :) 15 mar 2010 à 21h22 par Red Knight : slt oui c de la merdre, mais j besoin

- « rat d’église » : avarice b. Les jeux phoniques - allitération en s : « trainassant ses pantoufles » - diminutifs péjoratifs : « grassouillette », « veillotte » c. L’ironie et la parodie - les mots en italique : « rourou » au lieu de « ronron » : satisfaction béate - « Mme Vauquer ressemble à toutes ces femmes qui ont eu des malheurs » : hypocrisie de Mme Vauquer - L’arrivée théâtrale

même situation, parole ou geste crée un effet mécanique. • L'exagération : la situation est amplifiée par rapport à la réalité. Comique de démesure. IV- LES FORMES DE COMIQUE • • • • Le burlesque : décalage de langage face à une situation. La parodie : imitation amusante d'une œuvre, d'un genre. La satire : caricature ou dénonciation d'une personne, d'une activité. La farce : représentation de situations simple où les stratagèmes mis en place (ruse, tromperie, mensonge) aboutissent à un renversement

« sentiment d’honneur » : Tabac vertu morale => PARADOXE ! *Tournures faussement savantes notamment la ref à Aristote : Absurde. Anachronisme (raisonnement en retard sur l’époque actuelle). Rythme ternaire dans l’éloge. Q° rhétorique l.6-10. Parodie de l’éloquence molle = Alexandrin blanc (phrase de 12 syllabes dans un texte prosaïque) : « Et qui vit sans tabac n’est pas digne de vivre ». II] Une tirade d’exposit° -> « In medias res » : au cœur des choses. a) Elvire. On apprend qu’E s’est