Cène

nécessaires . DICTEE (5 points) Le jour du spectacle arriva. Je pouvais prévoir tout ce qui alla it s e passer. J’étais dans l’indifférence la plus complète jus qu’au m oment où j’entrai dans ma loge ; alors m on coeur se mit à battre. En s cène, je fus s urpris par l’ extraordinaire s olennité, le calm e et l’ordre qui y régnaient. Après l’obscurité des coulisses , les feux de la rampe et les projecteurs m ’éblouiss aient. J’étais complètement aveuglé. Cons tantin STANISLAVSKI, La form

substituée la célébration de la Cène, le dernier repas que Jésus partage avec ses disciples, la veille de son arrestation. C'est devenu le principal rite chrétien. Pendant le repas, il prit du pain, et après avoir prononcé la bénédiction, il le rompit, le leur donna et dit: "prenez, ceci est mon corps". Puis il prit une coupe, et après avoir rendu grâce, il la leur donna et ils en burent tous. Et il leur a dit: "ceci est mon sang, le sang de l'alliance..." (Marc XIV, 22) Cette cène est avant tout une allégorie

doctrinal, les protestants ne reconnaissent que deux sacrements, les catholiques sept (en plus mariage, ordination...). Les deux sacrements sont le baptême et l’eucharistie (le dogme de la transsubstantiation). Mais seuls les Luthériens retiennent la Cène, les calvinistes ne s’accordant que sur le principe de la transformation en pain et en vin. L’idée est qu’en ingérant le pain et le vin bénis, le fidèle reçoit en quelque sorte une part de divinité (critiques souvent de cette religion « anthropophage

pratiqué dans l'Eglise romaine.". la troisième chose c'est que les Cathares ne croient pas aux paroles du Christ ni au symbole de la croix ,"L'Eglise disait aussi que le pain posé sur l'autel et béni des paroles meme dont le Christ les benit au jour ou le Cène avec ses apôtres n'etait pas le vrai corp Christ." et pour les Cathares, la croix est symbole de souffrance, mort, et honte. Le dogme, la communion, l'eucharistie sont aussi inutile pour les Cathares. L'Eglise est contre les Cathares car ils critiquent

Les 3 artistes de génie de la renaissance sont : -Léonard de Vinci : La Joconde, La Cène, L’homme de Vitruve... -Michel-Ange : David, Les fresques des voutes de la chapelle Sixtine à Rome... -Raphael : L’école d’Athènes, le Mariage de la vierge...

des humanistes sur des textes bibliques et des manuscrits grecs retrouvés depuis peu il a remis en cause la théologie de l’Eglise catholique. Ainsi Luther découvre que seuls deux sacrements sont reconnus par les anciens textes : le baptême et la cène, que ceux qui prêchent la religion comme les prêtres ne sont pas obligés de faire vœu de chasteté mais qu’ils ont le droit de se marier s’il le veulent. Mais Luther trouve aussi dans les écrits anciens qu’il n’y a pas de cultes des Saints (forme de

mort en 1519. Il commença par peindre des portraits et des tableaux religieux et connu très vite la gloire, les plus grandes familles Italiennes ou encore François Ier s’attachèrent à ses services. Ses tableaux les plus célèbres sont La Joconde et La Cène. ►Contexte : La Mona Lisa (La Joconde en Italien) fut peinte entre 1503 et 1506 à Florence durant l’Ancien Régime sous le règne de Louis XII. ►Description générale : Cette oeuvre est une peinture sous forme de portrait. Elle a été réalisé avec de

culture dite hybride. De nouvelles campagnes de christianisation ont abouti à une population au centre d’un syncrétisme. Les Indiens ont intégré des éléments de leur culture à la culture chrétienne dans des peintures. Dans les représentations de la Cène, c’est un cochon d’inde, plat de fête péruvien, qui trône dans l’assiette, des couleurs chaudes sont associées à la vierge en deuil qui lève la tête vers le ciel (la Pieta). Parallèlement, des éléments de la culture chrétienne intègrent les tableaux

Mathias reste incertaine, cet artiste s’appelait en réalité Matthias Gothardt Pictor ou Mathis Nithart. Ce nom lui fut donné, de manière assez arbitraire, par Joachim von Sandrart (1606–1688), « le Giorgio Vasari allemand », Ces œuvres : • La Cène, sainte Dorothée et sainte Agnès, v. 1500 • Retable de Lindenhardt, v. 1502 • Crucifixion v. 1502, Kunstmuseum Bâle • La Dérision du Christ, 1504, Alte Pinakothek de Munich • (quatre volets en grisaille du) Retable Heller, 1509–1510, Musée

perfectionne sa technique du sfumato (embrumé) qui adoucit les contrastes et améliore le réalisme des paysages ou des portraits. En 1481, il s'installe à Milan au service du duc Ludovic Sforza. Ses activités sont alors multiples. Il est peintre (La Cène est réalisée à cette époque) mais aussi sculpteur, ordonnateur des spectacles et ingénieur. Il travaille sur différents projets techniques, du métier à tisser à l'amélioration des horloges et s'intéresse aux mathématiques. On le retrouve également