Cent ans de solitude

A cause de cela, Ronsard se fait beaucoup critiquer. Pour Ces poèmes, Ronsard reprends le principe des thèmes entremêlés (force et délicatesse par exemple). Les thèmes de cette œuvre sont la célébration (des rois,des poètes, des savants …) et la solitude. Amour me tue si je ne veux dire et un sonnet (deux quatrain suivi de 2 tercet). Les vers de ce poème sont des décasyllabes (10 syllabe) et les rimes sont elles, embrassées (ABBA). Dans Amour me tue si je ne veux, Ronsard parle de sa peur

que, puisque monsieur Micromégas, habitant du pays de Sirius, a de la tête aux pieds vingtquatre mille pas, qui font cent vingt mille pieds de roi, et que nous autres, citoyens de la terre, nous n'avons guère que cinq pieds, et que notre globe a neuf mille lieues de tour, ils trouveront, dis-je, qu'il faut absolument que le globe qui l'a produit ait au juste vingt-un millions six cent mille fois plus de circonférence que notre petite terre. Rien n'est plus simple et plus ordinaire dans la nature. Les

collection des « Cahiers rouges » de Grasset souligne la portée de ce « véritable guide spirituel », de ce « manuel de la vie créatrice de portée universelle ». Conseils d'un aîné [modifier]Franz Kappus n'a pas vingt ans lorsqu'il décide d'écrire à son aîné, auteur certes jeune (Rilke a 27 ans) mais jouissant déjà d'une certaine notoriété. Ce sont d'abord les doutes de ce jeune élève officier que l'on entend à travers cette correspondance. Le jeune épistolier s'adresse au poète comme à un confident susceptible

serein ! et vous, face dorée ! Ô beaux yeux de cristal ! ô grand bouche honorée, Qui d'un large repli retrousses tes deux bords ! Ô belles dents d'ébène ! ô précieux trésors, Qui faites d'un seul ris toute âme enamourée ! Ô gorge damasquine en cent plis figurée ! Et vous, beaux grands tétins, dignes d'un si beau corps ! Ô beaux ongles dorés ! ô main courte et grassette ! Ô cuisse délicate ! et vous, jambe grossette, Et ce que je ne puis honnêtement nommer ! Ô beau corps transparent ! ô beaux

Il n'y a pas d'économie à se coucher de bonne heure pour épargner la chandelle, s'il en résulte des jumeaux Il n'y a point de soleil pour les aveugles, ni de tonnerre pour les sourds, s'ils ne veulent pas croire les autres. Il n'y a point de rose de cent jours. Il n'y a que les fous et les Européens qui voyagent ! Il reste toujours un peu de parfum à la main qui donne des roses (Confucius : philosophe chinois) Il s'agit qu'un chien aboie après quelque chose pour que tous les autres chiens en fassent

petit village du Constantinois, près de Bône (Algérie). 1914 : Camus ne connaîtra pas son père, ouvrier caviste : Lucien Camus, mobilisé et blessé à la bataille de la Marne en septembre 1914, meurt à l'hôpital militaire de Saint-Brieuc à l'âge de 28 ans : de son père, il ne connaîtra qu'une photographie, et une anecdote significative : son dégoût devant le spectacle d'une exécution capitale. Albert Camus, élevé par sa mère mais surtout par une grand-mère autoritaire, et par un oncle boucher, lecteur

recueil de nouvelles : Les Filles du feu, publié en 1854. Il est mort à Paris le 26 janvier 1855. Pour Gérard de Nerval, les Odelettes sont des œuvres « d'où ressort une idée profonde et philosophique ». Gérard de Nerval évoque, dans ce poème, la solitude du prisonnier et la nostalgie de la liberté. Politique Gérard de Nerval Dans Sainte-Pélagie, Sous ce règne élargie, Où, rêveur et pensif, Je vis captif, Pas une herbe ne pousse Et pas un brin de mousse Le long des murs grillés Et frais taillés

histoire particulière l'histoire de toutes les femmes qui ressemblent à Jeanne Avant que d'observer de plus près le personnage de Jeanne, je la représente par deux "images" qui, me semble-t-il, résument assez bien la psychologie de cette femme qui a 40 ans est prématurément vieillie. JEANNE OU L'IMMOBILISME      JEANNE OU L'ECLIPSEE DU BONHEUR    Jeanne croyait que le lever de soleil qu'elle contemplait à son retour aux Peuples "C'était son soleil ! son aurore ! le commencement de sa vie" Mais les

------------------------------------------------- LE RAT QUI S’EST RETIRE DU MONDE - Livre VII, fable III Les Levantins en leur légende Disent qu'un certain Rat las des soins d'ici-bas, Dans un fromage de Hollande Se retira loin du tracas. La solitude était profonde, S'étendant partout à la ronde. Notre ermite nouveau subsistait là-dedans. Il fit tant de pieds et de dents Qu'en peu de jours il eut au fond de l'ermitage Le vivre et le couvert : que faut-il davantage ? Il devint gros et gras

p.251 Il est vrai qu’il le doit beaucoup à son père car ce goût pour la lecture va lui offrir des nouvelles excitations sensuelles à travers l’imagination qui vont le sauver de sa croissante puberté. De là il va tirer son goût pour la solitude: « Dans cette étrange situation, mon inquiète imagination prit un parti qui me sauva de moi-même et calma ma naissante sensualité ; ce fut de se nourrir des situations qui m’avaient intéressé dans mes lectures […] de mes les approprier tellement