Centre-ville

peut le déduire après une étude sur les ménages disposant de toilettes à domicile. Les métropoles comme Delhi, Hyderabad, Bangalore ou Bombay abritent à la fois des « slums » ( bidonvilles ) comme des quartiers d'affaires. Plus on s'approche du centre ville plus on trouve de quartiers aisés ; les bidonvilles se situent à la périphérie. Toutes ces inégalités entraînent les Indiens à migrer pour certains, par exemple, vers le Golfe Persique ou pour d'autre dans des pays très développés. Certains

BOMBAY, VILLE MONDIALE ? Bombay, oficiellement appellée Mumbai depuis 1995, fût à l’origine un fort portugais, puis anglais en 1687, la East India Company y transferre son quartier général. La populaton est alors de 60000 habitants. En 1847, les sept îles qui constituaient la « ville » jusqu’alors sont fusionnées en un ensembles de 453 km2. En 1853, le première liaison ferrovière d’Inde est établi, reliant Bombay à Thana. En 1869, l’ouverture du canal de Suez fait de Bombay le port le plus important

proximité de la mer ou de la montagne. A l’inverse, dans les régions du Nord du pays de la Normandie à la Lorraine, à l’exception des métropoles parisienne et lilloise, de nombreuses agglomérations stagnent ou reculent, ainsi qu’une partie des villes du centre de la France. Cette tendance à la baisse s’explique par une reconversion économique inachevée : l’implantation d’activités industrielles et tertiaires nouvelles n’a pas encore compensé les pertes d’emplois dans les industries qui ont disparu ou décliné

Maintenir une législation spécifique à l’urbanisme commercial sur la base de critères rénovés. L’objectif est de répondre aux objectifs de maintien d’une concurrence effective, d’aménagement du territoire, d’équilibre social et urbain, entre centre-ville et périphérie, entre zones urbaines et rurales, d’environnement et de qualité de l’urbanisme, et de satisfaction des besoins des consommateurs. Cette législation conserverait le même champ d’application que la procédure actuelle : « les

plain-pied, au centre de la parcelle et en retrait des voies. Durant les années 80 ce phénomène s'est généralement ralenti, sauf dans les grandes agglomérations qui ont continuées leurs expansions dans un processus de métropolisation3. C'est la conséquence directe de la concentration des emplois dans les grandes villes, et les flux de migration qui en a résulté. Ensuite, et depuis le début des années 90, la périurbanisation commençait à s'essouffler, rattrapée par un regain des centres ville et un déclin

grande densités, ont fortement progressés ces dernières années en termes de popº Quels sont les zones de faible densité Diagonale du vide (SO->NE), qui part du NE des Ardennes, Massif Central, Pyrénées. A cela il faut ajouter les Alpes + le centre de la Corse. Toutes ces zones de faible densité sont montagneuses et/ou rurales b) Mouvements de popº -démographiques (cned pg 135) Nous montre que la popº fçs a fortement augmenté après la 2GM explication : natalité soutenue encore aujourd'hui

d’architecture et d’urbanisme) “L’image de la ville, “refuge des libertés ” et “havre de paix ”, image encore proposée par des auteurs complaisants qui refusent de considérer ces désordres et ces drames de la guerre civile, est sans doute l’une des plus flagrantes impostures de l’histoire de nos sociétés d’Occident.” En faisant la part des choses, cette appréciation de l’historien Jacques Heers, en conclusion de sa magistrale étude sur la ville médiévale (Heers J, 1990), semble pouvoir être transposée

rurale. La population rurale, provenant des campagnes, se rendent en ville pour devenir urbaine. Aujourd'hui encore, cette exode continu, mais a moins forte échelle. Cet exode massif est crée par la population campagnarde qui cherchent du travail dans les grandes villes. Pour se faire, il prennent tout ce qui leur appartient et qui est transportable, et migrent vers elles. Arrivé la-bas les gens s'installent autour des centres-villes, cherchent mais ne trouvant pas toujours du travail, produit par

Bidonvillisation des territoires La ville post-apartheid : Johannesburg et Soweto Photo : Elisabeth Deliry-Antheaume SOMMAIRE INTRODUCTION 3 I Eléments clés pour la compréhension de la ville sud-africaine 4 A. Un urbanisme fondé sur l'exclusion 4 B. L'apartheid ou le « développement séparé » 5 C. Les années 1990 : redéfinition de la politique urbaine 6 II Johannesburg post-apartheid : de la ségrégation raciale à la ségrégation sociale? 7 A. La déségrégation

responsable des espaces, qu'ils soient naturels, ruraux, ou urbains. Cette organisation se fait toujours dans le respect de l'intérêt général (comme en administratifs), et dans la recherche de l’équilibre territorial. L'espace public, le quartier, la ville, l'agglomération, l'îlot constituent les différentes échelles de l'urbanisme et s'inscrivent dans l'aménagement du territoire et du développement durable. L'urbanisme étudie tous les enjeux, cela dans la durée et propose une organisation spatiale