Cercueil

l’Angélus de Millet en 1938 (publié seulement en 1963) où il écrit que les paysans ne priaient pas seulement à cause de l’angélus, mais qu’ils se recueillaient devant un petit cercueil. En 1963, il insiste et obtient du Louvre que le tableau soit radiographié. Sous la peinture, au premier plan, est effectivement masqué le cercueil d’un enfant sous le panier de pommes de terre. Il est lacéré au Louvre par un déséquilibré en 1932, et est affecté au Musée d’Orsay en 1966

m'oublia seule, La terre m'apparaît vieille comme une aïeule Qui pleure ses enfants sous ses robes de deuil. Je n'aime des longs jours que l'heure des ténèbres, Je n'écoute des chants que ces strophes funèbres Que sanglote le prêtre en menant un cercueil. MOI Pourtant le soir qui tombe a des langueurs sereines Que la fin donne à tout, aux bonheurs comme aux peines; Le linceul même est tiède au cœur enseveli : On a vidé ses yeux de ses dernières larmes, L'âme à son désespoir trouve de tristes

L'ont, au cap du Zéphyr, déposé mollement. Puis de loin à grands cris appelant leurs compagnes, Et les Nymphes des bois, des sources, des montagnes, Toutes, frappant leur sein et traînant un long deuil, Répétèrent : Hélas ! Autour de son cercueil. Hélas ! Chez ton amant tu n'es point ramenée. Tu n'as point revêtu ta robe d'hyménée. L'or autour de tes bras n'a point serré de nœuds Les doux parfums n'ont point coulé sur tes cheveux.» Analyse Le sujet de ce petit tableau à

M. Gregory, son maître, était malade. Il a donc envoyé son apprenti régler un problème avec un éventreur qui est une créature de l’obscur qui suce le sang de ses victimes. P.20 à 30 Tom alla donc sur les lieux et donna les dimensions que le cercueil devait avoir à des ouvriers expérimentés. La personne qui était la victime de l’éventreur était un des frères de son maître. Un médecin arriva alors sur les lieux et dit à Tom que, pour le sauver, il faudrait lui amputer la jambe car l’éventreur

Pradelle et le chauffeur. Il décide de déterrer le cercueil et il l’emmène avec eux. Pendant tout le long à creuser Albert est stressé, sur quel corps allait-il tombé ? grand ? petit ? Chapitre 10 : on nous parle beaucoup du lieutenant Pradelle, Henri d’Aulnay- Pradelle. Il est patron de 3 sociétés dont une qui va lui rapporter énormément d’argent, il a créé la société Pradelle et Cie qui se charge de la production de cercueil et de la récupération des corps en putréfaction. Il

récits glorieux. 2. Le texte est dominé par des figures d’opposition, des antithèses qui s’expriment avec des mots de liaison d’opposition. Anaphore : Même construction de phrases. Antithèse : Opposition de deux mots contraires (ex : cercueil et berceau). Les oppositions de ce texte sont par exemple : -gloire / mort -joie / désolation - … On relève une anaphore avec « jamais », qui marque l’opposition, cette époque n’a jamais été vue avant

enterrement. Pendant le mariage, l'église est présentée comme avide d'argent. L'enterrement est l'opposé du mariage, car Colin alors n'a plus d'argent, on jette le cercueil par la fenêtre, les deux porteurs sont sales, le conducteur chante à tue-tête, les religieux font une courte apparition sans avoir pris la peine de s'habiller correctement, le cercueil est balancé dans la fosse. Le christ, dans l'église, s'anime et demande à Colin pourquoi il n'a pas donné plus d'argent pour l'enterrement. L'irréel : Bien

cérémonial avec musiques et lectures ; La ritualisation de certaines étapes en cas d’inhumation : - dans certaines communes rurales, l’assistance suit à pied la voiture funéraire d’un lieu de rassemblement jusqu’au cimetière ; - on peut porter le cercueil de l’entrée du cimetière à la tombe (pompiers ou amis d’un jeune défunt) ; - un dernier hommage peut être rendu devant la tombe ; - en cas d’obsèques civiles, il existe un cérémonial qui peut être organisé au cimetière, au funérarium ou dans une

principe de la métaphore et de la périphrase (coffre froid : cercueil, la mort mise sous forme de personne). Ainsi, il permet au lecteur de donner une vision moins directe des propos qu’il veut décrire. L’écrivain donne également l’impression qu’il veut atténuer ces lieux hostiles, désagréables et morbides car le personnage lui-même semble atténuer la situation dans laquelle il se trouve, comme si le fait de ce retrouvé dans un cercueil lui était égal « Et puis sans s‘émouvoir, il s’en alla s’étendre

poème 1 1) ? sonnet traditionnel en alexandrin. 2 2) ? Rime : ABAB CCDEED. 3 Ponctuation, et respect de la syntaxe. 4 5 B) La mort 6 1) Titre du poeme ? « Les gorges froides » ? froideur mortuere des cadavres. 7 2) Champ lexical de la mort : « cercueil »(v.3), « triste »(v.3), « meurs »(v.9), «  mort » (v.2), « sinistre »(v.7). 8 3) « lettre » (v.4), « Adieu » (v.12) ? envoie une lettre d'adieu a la femme aimee. Il va mourir. 9 10 C) L'amour 11 1) « Je vous aimai sans scrupule et sans ruse »