Cercueil

narrateur au château du comte Dracula. CHAPITRE 2 : portrait effrayant du comte ; première nuit ; épisode du miroir. CHAPITRE 3 : les lettres ; le comte en lézard ; les trois femmes vampires. CHAPITRE 4 : réveil douloureux ; le dernier jour ; le cercueil ; tentative d’assassinat. CHAPITRE 5 : Lucy : trois propositions de mariage. CHAPITRE 6 : Mina : inquiétudes/Jonathan, crises de somnambulisme de Lucie. CHAPITRE 7 : Résumé : coupure du Dailygraf racontant qu’un navire est arrivé au port

comme le montre le tétramètre « Ouvre tombeau » (v.28). L’idée d’une vie marquée par le deuil est soutenue par le champ lexical de la mort : « glas » (v.4), « cercueil » (v.12), « tombeau » (v.28), mais aussi par une allitération en « r » : « Je dormais entres mes deux frères […] Leurs deux berceaux », « Je t’ai perdu, ô fille chère […] cercueil ». Enfin, Hugo universalise son poème. Il reste vague, son récit manque de détails pour ne pas cibler et rester très général : « père », « mère » (v.1), « premier

officiants entraine vers l'univers spirituel de la cérémonie, le reste de son corps tourné vers fosse entraine réalité. 4 porteurs : gants blancs, tenues noires et gd chapeaux. Prtend cercueil entouré d'un drap blanc + croix de la franc macconerie. 5 sacristains : tiennent a l'arrièere du curé a gauche du cercueil sous la croix 2 enfants de choeur : 1er léve tete vers porteur, le 2nd porte eau bénite 2 bedeaux : employés laiques de l'église -> assurent bn déroulement de la cérémonie 2 révolutionnaires

____________________________________________________________ ______________ www.ccdmd.qc.ca/fr 5. Énoncé problématique La répétition de l’expression « cage d’os » (v. 2, 4 et 14) et du mot « mort » (v. 5 et 14) associe la cage à un squelette d’os et la cage est comme un cercueil de mort. Nouvel énoncé clair ____________________________________________________________ ____________________________________________________________ ______________ ____________________________________________________________ _____

personnage vivant et le seul ou on voit son visage. On voit que Otto fixe le spectateur il a un regard froid et effrayant comme si il nous disais que la guerre est sans pitié. Enfin le panneau inférieur représente un cercueil contenant au moins 3 corps on peut remarquer que le cercueil est fait de bois. Conclusion Peuvent C’est œuvre démontre bien les horreurs de la guerre sans aucune pitié les soldats compter que sur les uns les autres .

personnage qui aurait pu s'effondrer après une telle épreuve. Par ailleurs, la mort est également le lien entre les deux pays. En effet, les seuls échanges officiels qui apparaissent dans ce film sont les échanges de cercueils, scènes en échos dans les deux premières parties : le cercueil de Yeter rejoint la Turquie alors que celui de Lotte part en Allemagne. A notre sens, Fatih Akin utilise la mort pour célébrer la vie, les rencontres, les échanges. Ce sont des morts accidentelles, qui organisent

la « boue » en « or ». Comme le poème charogne de Baudelaire.1) « baignoire » // « cercueil » : compa. qui rapproche la « baignoire » dont sort la femme d’un « cercueil ». elle fait écho au coquillage dont sort Vénus, chez Botticelli par exemple, dans la tradit° picturale qui représente Vénus anadyomène. renverse les codes, puisqu’il évoque la mort avec le cercueil alors qu’il s’agit d’évoquer la naissance de Vénus dans le titre du poème. Annonce un renversement des valeurs

Dialogue avec lui-même ou le lecteur. - « - Avez-vous observé que maints cercueils de vielles Sont presque aussi petit que celui d’un enfant ? » (v.21 à 22) → PRONOM PERSONNEL + QUESTION : Le poète hostile entre à nouveau avec un portrait esthétisé de ses petites vielles qu’il rapproche à leur taille à des enfants. - « S’en va […] berceau » (v.28) → MÉTAPHORE : La mort devient une renaissance par la métaphore du cercueil qui devient un nouveau berceau. (Il oscille donc entre cet aspect esthétisé/positif

Venez à votre père qui a été si bon pour vous et qui souffre ! " Rien, personne. Mourrai- je donc comme un chien ? Voilà ma récompense, l’abandon. Ce sont des infâmes, des scélérates ; je les abomine, je les maudis ; je me relèverai, la nuit, de mon cercueil pour les remaudire, car, enfin, mes amis, ai- je tort ? Elles se conduisent bien mal ! Hein ? Qu’est- ce que je dis ? Ne m’avez- vous pas averti que Delphine est là ? C’est la meilleure des deux. Vous êtes mon fils, Eugène, vous ! Aimez- la, soyez

représente un autoportrait d’Otto Dix seul personnage vivant dont on voit le visage. C’est le seul à avoir son humanité. II C : Analyse panneau par panneau Le panneau inférieur : présente un cercueil collectif contenant au moins 3 personnes. On peut noter que le panneau a les mêmes proportions que le cadre d’un cercueil et est aussi fait de bois. Synthèse • Cette œuvre est forte mais aussi très riche qui dénonce les atrocités de la guerre. Otto dix dresse un portrait à la fois très crue et réaliste mais