Cercueil

au seizième vers : « Alors nous croyons voir, ralentissant nos pas, A travers des jardins rouillés de feuilles morts, Pendant que le vent tord des crêpes à nos portes, Sortir de nos maisons, comme des cœurs en deuil, Notre cadavre enclos dans le cercueil. » Dans ce cas précis, le poète anticipe sa propre mort ; d'autres poètes, comme l'inclassable Victor Hugo, un des plus importants écrivains de la langue française du XIXème siècle, fait plus que l'anticiper dans son poème « Veni, vedi, vixi »

enterrement. Pendant le mariage, l'église est présentée comme avide d'argent. L'enterrement est l'opposé du mariage, car Colin alors n'a plus d'argent, on jette le cercueil par la fenêtre, les deux porteurs sont sales, le conducteur chante à tue-tête, les religieux font une courte apparition sans avoir pris la peine de s'habiller correctement, le cercueil est balancé dans la fosse. Le christ, dans l'église, s'anime et demande à Colin pourquoi il n'a pas donné plus d'argent pour l'enterrement. L'irréel : Bien

regarde le spectateur doit dans les yeux avec un regard presque effrayant. Par là il montre comment la guerre la transformé. Le panneau inférieur (ou prédelle) présente les représent un cercueil collectif contenant au moins 3 personnes. On peut noter que le panneau a les mêmes proportions que le cadre d’un cercueil et est aussi fait de bois. Comme on a pu le voir, Otto dix utilise une technique et un format qui sert traditionnellement à représenter des scènes de la religion chrétienne. Comme ce tableau

soldats. Il a un regard presque effrayant qui montre comment la guerre l'a transformé. Le prédelle représentes des soldats sans doute morts même si la question en droit de se poser. Il représente un cercueil collectif contenant trois personnes, on peut noter que le panneau a les mêmes proportion qu’un cercueil et est aussi faits de bois. Otto Dix utilise une technique et un format traditionnellement utilisé pour des œuvre religieuse, comme se tableau s'inspire notamment du « Christ mort » de Hans Hoblein

du soldat et regarde le spectateur droit dans les yeux avec un regard presque effrayant. Par là il montre comment la guerre la transformé. Le panneau inférieur (ou prédelle) présente un cercueil collectif contenant au moins 3 personnes. On peut noter que le panneau a les mêmes proportions que le cadre d’un cercueil et est aussi fait de bois. Quelles sont les couleurs utilisés par Otto Dix ? Dans cette œuvre Otto DIX utilise principalement des nuances de rouge et de brun. La couleur dominante est

l'expansion des entreprises œuvrant dans cette industrie due à leurs tarifs plus abordables. Les frais relatifs à un décès étant habituellement élevés, lorsque l'on tient compte des frais de cérémonie, d’exposition, de réception, de pierre tombale, de cercueil, etc. tout dépendamment du cas. C'est pourquoi on peut comprendre que les gens étant en charge de l’organisation relatif à un décès soient portés à magasiner les prix sans toutefois négliger la qualité. Donc, les coopératives sont un élément à ne

ne porte pas l’uniforme du soldat et regarde le spectateur doit dans les yeux avec un regard presque effrayant. Par là il montre comment la guerre la transformé. Le panneau inférieur montre un cercueil collectif contenant au moins 3 personnes. Le panneau a les mêmes proportions que le cadre d’un cercueil. Comme on a pu le voir, Otto Dix utilise une technique et un format qui sert traditionnellement à représenter des scènes de la religion chrétienne. Les couleurs de ce tableau sont le gris et le

tragique de la pièce et que la mort inonde la scène avec la présence d’image macabre. Ø Champ lexical de la mort : « trépassé », « perdu l’âme », « cercueil », « sang », « blêmi », « tué », « trépas », « meure »… · Le paysage apporte une connotation, elle renvoie à l’idée de la mort. Ø « le rocher s’est éclaté de deuil, pour m’ouvrir un cercueil » : L’idée que la mort lui a tout préparé pour son suicide. Ø « ce ruisseau fuit d’horreur » : le ruisseau fuit du crime qu’il a vu. Ø « ses rives sans

(principalement les moments dans le cercueil). La description, pour être aussi précise, est le fruit d’une documentation fournie de la part de l’auteur, ce qui correspond à une des caractéristiques du naturalisme. L’auteur crée dans un texte naturaliste un environnement autour du personnage principal et cherche méthodiquement, scientifiquement, à trouver la solution au problème du personnage comme dans La Mort d’Olivier Bécaille où le personnage se retrouve enfermé dans un cercueil et teste plusieurs moyens

de la mort avec notamment la couleur noir, « ténèbres, souffle froid de caveau » et celui de la décomposition « verdâtre, moisissure,… ». L’endroit ressemble à un cercueil à cause des minces planches de bois sur le mur et à cause du terme « sombre-trous ». Quand il évoque la vendeuse de bijoux faux il fait une allusion direct au cercueil « boîte en acajou et capitonné de velours », elle est ainsi comparé a une « morte vivante » tous comme la muraille couturée de lèpre et de cicatrice. Il y a une sorte