Cercueil

mort. -Une sensation « j’ai si froid », « a froid » on est à mi-chemin entre la vie et la mort car le mort est très froid mais pour ressentir le froid il faut être vivant. -Un euphémisme : « son lit étroit » qui désigne le cercueil donc la mort mais il ne dit pas cercueil mais lit qui est un mot de la vie. -Léopoldine s’exprime avec le discours direct : elle s’adresse à son père « est-ce que mon père… », « Viens ! » Grâce à tous ces arguments, on a une Léopoldine vivante à travers la mort car

pioche qui brille, La cloche, au loin, dans l’air, lançant son svelte trille, Le prêtre en blanc surplis, qui prie allègrement, L’enfant de chœur avec sa voix fraîche de fille, Et quand, au fond du trou, bien chaud, douillettement, S’installe le cercueil, le mol éboulement De la terre, édredon du défunt, heureux drille, Tout cela me paraît charmant, en vérité ! Et puis, tout rondelets, sous leur frac écourté, Les croque-morts au nez rougi par les pourboires, Et puis les beaux discours concis

qui s'attend alors à un tableau poétique, un blason plus ou moins stéréotypé. Ce poème s'annonce comme la célébration d'un éternel féminin, d'une Beauté divinisée. Or ces attentes sont bousculées dès le premier vers puisque la comparaison avec le cercueil associe une certaine morbidité à la survenue de Vénus. La conque cède la place à une « vieille baignoire » indigne de la divinité et laisse attendre l'avènement d'une femme nettement plus humble. Cet objet dénature le cadre de la vision et semble

ressentie par Mme Roland. Mais on trouve également le champ lexical de la souffrance avec les mots « pleurs », « triste » et « mal ». On trouve aussi une comparaison a un cercueil, comme s'il s'agissait là de leur dernière rencontre : « Une heure plus tard il était étendu dans son petit lit marin, étroit et long comme un cercueil. […] A force d’avoir souffert et fait souffrir les autres, sa douleur agressive et vengeresse s’était fatiguée, comme une lame émoussée. ». Pierre est usé par sa douleur

* « murs d’agate où se lustrent les lampes » : description de la galerie de « pierres » : ce ne sont pas de simples pierres, il y a de « l’agate », du « marbre jaune » * « tête nue et les mains lisses » : comme les cadavres allongés dans leur cercueil les mains posées, ils ne bougent plus * « livres dans leurs niches » = apparition des livres / niche : enfoncement pratiqué dans un mur pour y placer un objet > référence religieuse, on en trouve dans les tombeaux * « bandelettes », « bêtes

passé (hier soir). o I saw that film a long time ago. - J'ai vu ce film il y a longtemps. • raconter les événements dans une narration: o The vampire got out of his coffin and walked towards us. - Le vampire est sorti de son cercueil et s'est approché de nous. • S'il y a un lien avec le présent, il faut employer le Present Perfect. Past Progressive (or Continuous) Le Past Progressive (prétérit progressif ou continu) s'emploie pour: • parler d'une action qui était

totalité reprend l’énumération précédente + images conventionnelles de la déploration, du chœur des suppliantes. - Le deuil désigne autant le sentiment ressenti que le cortège funéraire lui-même. 26 Répétèrent, hélas ! autour de son cercueil. - Anachronisme du mot « cercueil » (erreur de Chénier ou impossibilité d’évoquer le catafalque dans la langue des grecs ?) - Circularité qui protège la défunte et annule la solitude, l’anonymat de la mort en mer. 27 « Hélas ! chez ton amant tu n'es point ramenée

1. Portrait de Gaston Maspero1.1. Biographie : Naissance, origine, scolarité 2. Carrière professionnelle2.1. Sa carrière en Égypte : Voyages, découvertes et fouilles entreprises 2.2. Sa carrière en France : L’archéologue laisse place au professeur écrivain3. Retour en Égypte de Gaston Maspero3.1. De nouvelles découvertes et de nouveaux projets mis en place3.2. Héritage laissé par Gaston Maspero1. Portrait de Gaston Maspero1.1. Biographie : Naissance, origine, scolarité Portrait

Ce jour la, les rues etaient tristes, il n'yavait point d'enfants qui jouait dehors. Et en arrivant a la cimitiere je vis cette masse noire de personnes reunies autour de ce petit cercueil, je me fondis dans la foule attendant l'arrivee du pretre. Le temps se prolengea alors je decidai de prendre la parole et derappeler ces gens qui etait gavroche, cet enfant dont son ame avait ete volee hier. J'avancai, montai pres du creux ou allais etre enterre gavroche et dit: "chers amis, nous allons aujourd'hui

négative C)Le sentiment de la mort description du lieu comme un lieu sépulcral: couleur noir comme un cimetière: "caveau", "air froid", "dalles descellées, "comme couverte d'une lèpre et toute couturés de cicatrices" (mort vivant), "forme bizarre". un cercueil: "sur un lit de velours, au fond d'une boite en acajou" exiguïté du lieu Conclusion: Le lieu décris dans cette incipit est totalement clos. Le passage est étroit sombre, comme muré par une épaisse muraille. C'est dans ce décors que ce déroulera