Cercueil

pouvons la mettre dans la terre noire. » Ils fabriquèrent un cercueil de verre transparent où on pouvait la voir de tous les côtés, l’y installèrent et écrivirent dessus son nom en lettres d’or, en ajoutant qu’elle était fille de roi. Ils portèrent c 2009, rue des écoles - Il était une histoire 7 Blanche-Neige le cercueil en haut de la montagne et l’un d’eux monta la garde auprès de lui. Longtemps Blanche-Neige resta ainsi dans son cercueil, toujours aussi jolie. Il arriva qu’un jour un prince qui

secours !" . Le narrateur, son ami, conduit son corps dans le village normand où il sera enterré. Mais en creusant la tombe pour y mettre la sépulture, on trouve un autre cercueil. Cercueil dans lequel un affreux cadavre séparé de sa main se situe. Et le mystère reste entier puisque personne ne prête attention à cet étrange cercueil, le referme, et change de lieu la sépulture de Louis B.

attend l'arrivée du cercueil et pose un genou au sol. Si son regard, à mi-hauteur de la toile, tourné vers le groupe des "officiants de l'au-delà" et de la haute croix, nous entraîne vers l'univers spirituel de la cérémonie, le reste de son corps tourné vers la fosse nous attire vers le "monde d'en bas" et sa réalité : l'ensevelissement du cadavre. Les quatre porteurs : ils sont munis de gants blancs, de tenues noires et de grands chapeaux à bords ronds. Ils soutiennent le cercueil entouré d'un drap

secours !" . Le narrateur, son ami, conduit son corps dans le village normand où il sera enterré. Mais en creusant la tombe pour y mettre la sépulture, on trouve un autre cercueil. Cercueil dans lequel un affreux cadavre séparé de sa main se situe. Et le mystère reste entier puisque personne ne prête attention à cet étrange cercueil, le referme, et change de lieu la sépulture de Louis B. Cette nouvelle appartient au registre fantastique. En effet, la terreur et la peur (thèmes typiquement fantastiques)

simultanés, le personnage au premier plan porte un cercueil d’enfant. Les personnages ont la bouche couverte. Il fait référence a une grande épidémie ayant atteint l’Europe au début du 18eme siècle 2) Quel est le micro-organisme responsable de cette tragédie? Quelle est le nom de la maladie? C’est une bactérie : bacille Yersinia pestis, qui cause la peste 3) Comment l'artiste met-il en évidence cette épidémie? Le nombre important de cercueil montre le nombre important de victimes 4) Quel

ses généraux et leur communiqua ses dernières volontés, ses trois ultimes exigences : 1 - Que son cercueil soit transporté à bras d'homme par les meilleurs médecins de l'époque. 2 - Que les trésors qu'il avait acquis (argent, or, pierres précieuses...), soient dispersés tout le long du chemin jusqu'à sa tombe, et... 3 - Que ses mains restent à l'air libre se balançant en dehors du cercueil à la vue de tous. L'un de ses généraux, étonné de ces requêtes insolites, demanda à Alexandre quelles

de la fosse. ■ Le fossoyeur (13) : Antoine Joseph Cassard, fils de cordonnier et paysan pauvre, a posé sa veste et son bonnet de laine sur les bords de la fosse qu'il vient de creuser comme l'indique la couleur de la terre. Il attend l'arrivée du cercueil et pose un genou au sol. Si son regard, à mi-hauteur de la toile, tourné vers le groupe des "officiants de l'au-delà" et de la haute croix, nous entraîne vers l'univers spirituel de la cérémonie, le reste de son corps tourné vers la fosse nous attire

médecin une babka-povetyxa, elle s'en occupé d'accouchement, elle était assez âgé, déjà passé par accouchement , on considérait qu'elle avait des force surnaturels. Cours n 2 si la femme en-sante confronté dans la rue un cercueil on lui faisait le tour de ce cercueil trois fois sans rien dire. Dans les villages il avait un docteur mais les gens faisaient plus confiance aux babki. Babka était une sorte sorcière, elle faisait tout pour que les gens croient en elle. Elle n'était pas médecin

spiritualité grâce au Christ (près duquel demeure l'esprit du mort selon la religion chrétienne), s'opposent à la terre et à la fosse ou le corps physique va être enterré. • Ensuite, le cercueil est incliné selon la diagonale du rectangle formé par la ligne d'horizon et le bord inférieur de la toile (en jaune). Le cercueil est penché avec la même inclinaison que la branche horizontale du crucifix et si l'on prolonge la diagonale, on découvre qu'il « plonge » vers le fossoyeur, et dans la fosse ou il se

scène réaliste d'enterrement. On peut remarquer le champs lexical de l'enterrement : «fossoyeur»; «sa pioche»; «du trou»; «le cercueil»; «défunt»; «les croque-morts». Verlaine nous d'écrit bien une scène d'enterrement, tout d'abord le fossoyeur muni de «sa pioche» qui creuse le trou pour le cercueil puis le prêtre qui «prie allégrement».Les enfants de cœur chantent puis le cercueil est installé au fond du trou. Et enfin, il est recouvert de terre par les croque-morts et les héritier font des discourt