Cercueil

SUJET : Peut-on accepter de Meursault (L'étranger d'Albert Camus) qu'il fume devant le cercueil de sa mère? N'avez-vous jamais rencontré des personnes exécutant des actes que vous trouvez déplacés ou irrespectueux ? Comme par exemple une fille qui passerait devant vous avec une jupe au-dessus des genoux, vous trouvez cela choquant mais les gens qui vous entourent ne sont pas tous du même avis que vous. A partir de où la jupe est elle trop courte? Quelles sont les limites que la société nous impose

nouveaux travaux. C’est l’ingénieur Pierre de Montreuil qui en dessine les plans, souhaités par Saint Louis pour l’aménagement de la nécropole royale en 4 groupes de 4 gisants (son propre tombeau est ensuite installé au centre, avant l’installation d’un cercueil en or après sa canonisation, puis sa fonte pour financer la guerre de Cent Ans). *On voit bien l’évolution du style gothique : chœur transept croisée d’ogives épaisse et massive fine et légère colonnes monolithiques

la brume du matin, on distingue les soldats partir au font Au centre, nous voyons une terrible bataille, et ses victimes. A droite, on peut voir le soir avec des flammes en arrière-plan. La prédelle nous montre les victimes, enterrées dans un cercueil commun. La lumière nous donne quelques indices. On peut noter que la lumière est pale, elle ne parait pas naturelle tout comme le ciel. Le peintre nous montre une vision d’apocalypse et de désespoir. On peut également noter un contraste important

cette personne vient de creuser la fosse. Les numéros 1, 2, 3 et 4 sont les porteurs du cercueil. Ils portent des gants blancs et portent des tenues noires avec de grands chapeaux à bords ronds. On peut remarquer quelque chose de très intéressante... Les porteurs ne regardent pas le mort. Alors pourquoi, surement par signe de pitié. Les numéros 5, 6 et 7 se tiennent derrière le curé, à gauche du cercueil et sont vêtus de blanc. Ils sont reliés au ciel cette croix. Les numéros 8 et 9 sont les

lorsqu'il s'agit d'un deuil devient "chaude" et "douillette" (l 6). L'auteur utilise même la métaphrase comme "édredon" (l 8). Enfin, la forme pronominale utilisée par Verlaine dans "s'installe le cercueil" (l 7) et non la voie passive : le cercueil est installé donne une forme de vie au cercueil. Tous nous indique que nous assistons à une cérémonie festive. III) Une satire de la société A) Une forme irrégulière du sonnet Verlaine marque une rupture avec la poésie classique en utilisant

Connaissances, en rapport avec l’idée directrice Du XIème au XIIIème siècle, les chrétiens d’Occident croient au jugement dernier Jésus assis sur son trône, dans la partie supérieure du tympan, juge les morts ressuscités, qui sortent de leurs cercueils, dans la partie basse du tympan. A la fin des temps, retour de Jésus qui jugera les morts revenus à la vie. Jugement collectif qui doit confirmer le jugement particulier . C’est l’âme immortelle et non le corps périssable, qui est jugée. . 1ere

partir du premier vers et dans toute la première strophe, la description que nous fait l’auteur fait partie du champ lexical de la vieillesse ; « vieille baignoire », « ravaudés », « cercueil vert en fer blanc », «déficits ». Il compare la baignoire à un cercueil, comparaison quelque peu morbide, « naissance dans un cercueil » (association de la naissance et de la mort). Il indique également que cette baignoire est faite de fer blanc (matériel peu couteux) qui n’est donc pas destiné à une déesse

poètes sont très fébrile face à l’arrivée de l’hiver. De plus, Baudelaire et Saint-Denys Garneau expriment dans leur poème l’angoisse face la mort. En effet, Baudelaire utilise les mots « ténèbres » (v. 1), « adieu » (v. 2), « funèbres » (v. 3), « cercueil » (v. 14), appartenant au champ lexical de la mort, ces mots montrent que le personnage perd tout ce qu’il aime avec la venue de l’hiver. Tout ce qu’il aime est représenté dans l’été et tout ce dont il a peur, la mort, froide et sombre, représente

Après avoir creusé un trou et alors que sa fille est en route pour leur rendre visite, il se prépare. C’est après que l’on comprend que sa femme est morte car on la voit allongée dans un cercueil. Sa fille l’appelle, le téléphone sonne, mais il ne répond pas, il met du rouge à lèvre à sa femme. Il met le cercueil dans le trou qu’il a creusé, à coté il a prévu dans la remorque de son tracteur, un tas de terre pour la recouvrir. Il s’installe aux cotés de sa femme dans le trou alors que sa fille se

corbillards » (= cercueil, enfermement ultime) - Le « ciel » d'abord, comparé à un « couvercle » - Champ lexical de la prison: « cachot humide », « battant les murs », « cognant la tête », « plafonds pourris », « prisons », « barreaux ». - Enfin la prison ultime: les « corbillards ». A noter ici l'inversion du motif (Défile lentement dans mon âme: la prison ici est intérieure, par une sorte d'inversion – ce n'est plus le corps qui est enfermé dans le cercueil, mais le cercueil qui est enfermé dans