Cerf de Virginie

l’homme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l’on n’a jamais vu qu’à lui seul. » Citons également Paul et Virginie, les touchants et vertueux héros éponymes du roman de Bernardin de SaintPierre, disciple de J.-J. Rousseau, qui incarnent une humanité bonne et naturelle, dotée d’une saine beauté, qui a échappé à la perversion de la civilisation, vivant dans la

l’homme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l’on n’a jamais vu qu’à lui seul. » Citons également Paul et Virginie, les touchants et vertueux héros éponymes du roman de Bernardin de SaintPierre, disciple de J.-J. Rousseau, qui incarnent une humanité bonne et naturelle, dotée d’une saine beauté, qui a échappé à la perversion de la civilisation, vivant dans la

d’un ton d’officiant à l’autel : « La miséricorde de Dieu est infinie, récitez le Confiteor, mon enfant. VIII 158 Bel-Ami Vous l’avez peut-être oublié, je vais vous aider. Répétez avec moi : Confiteor Deo omnipotenti... Beatae Mariae semper virgini... » Il s’arrêtait de temps en temps pour permettre au moribond de le rattraper. Puis il dit : « Maintenant, confessez-vous... » La jeune femme et Duroy ne remuaient plus, saisis par un trouble singulier, émus d’une attente anxieuse. Le malade avait

d’un ton différent, d’un ton d’officiant à l’autel : « La miséricorde de Dieu est infinie, récitez le Confiteor, mon enfant. – Vous l’avez peut-être oublié, je vais vous aider. – Répétez avec moi : Confiteor Deo omnipotenti… Beatae Mariae semper virgini… » Il s’arrêtait de temps en temps pour permettre au moribond de le rattraper. Puis il dit : « Maintenant, confessez-vous… » - 217 - La jeune femme et Duroy ne remuaient plus, saisis par un trouble singulier, émus d’une attente anxieuse. Le

prononça, d'un ton différent, d'un ton d'officiant à l'autel : « La miséricorde de Dieu est infinie, récitez le Confiteor, mon enfant. Vous l'avez peut-être oublié, je vais vous aider. Répétez avec moi : Confiteor Deo omnipotenti... Beatae Mariae semper virgini... » Il s'arrêtait de temps en temps pour permettre au moribond de le rattraper. Puis il dit : « Maintenant, confessez-vous... » La jeune femme et Duroy ne remuaient plus, saisis par un trouble singulier, émus d'une attente anxieuse. Le malade avait

différent, d’un ton d’officiant à l’autel : 126 « La miséricorde de Dieu est infinie, récitez le Confiteor, mon enfant. – Vous l’avez peut-être oublié, je vais vous aider. – Répétez avec moi : Confiteor Deo omnipotenti… Beatae Mariae semper virgini… » Il s’arrêtait de temps en temps pour permettre au moribond de le rattraper. Puis il dit : « Maintenant, confessez-vous… » La jeune femme et Duroy ne remuaient plus, saisis par un trouble singulier, émus d’une attente anxieuse. Le malade avait

prononça, d'un ton différent, d'un ton d'officiant à l'autel: "La miséricorde de Dieu est infinie, récitez le Confiteor, mon enfant. Vous l'avez peut-être oublié, je vais vous aider. - Répétez avec moi: Confiteor Deo omnipotenti… Beatae Mariae semper virgini… " Il s'arrêtait de temps en temps pour permettre au moribond de le rattraper. Puis il dit: "Maintenant, confessez-vous… " La jeune femme et Duroy ne remuaient plus, saisis par un trouble singulier, émus d'une attente anxieuse. Le malade avait murmuré

prononça, d’un ton différent, d’un ton d’officiant à l’autel : « La miséricorde de Dieu est infinie, récitez le Confiteor, mon enfant. Vous l’avez peut-être oublié, je vais vous aider. Répétez avec moi : Confiteor Deo omnipotenti... Beatae Mariae semper virgini... » Il s’arrêtait de temps en temps pour permettre au moribond de le rattraper. Puis il dit : « Maintenant, confessez-vous... » La jeune femme et Duroy ne remuaient plus, saisis par un trouble singulier, émus d’une attente anxieuse. Le malade avait

prononça, d’un ton différent, d’un ton d’officiant à l’autel : « La miséricorde de Dieu est infinie, récitez le Confiteor, mon enfant. Vous l’avez peut-être oublié, je vais vous aider. Répétez avec moi : Confiteor Deo omnipotenti... Beatae Mariae semper virgini... » 336 Il s’arrêtait de temps en temps pour permettre au moribond de le rattraper. Puis il dit : « Maintenant, confessez-vous... » La jeune femme et Duroy ne remuaient plus, saisis par un trouble singulier, émus d’une attente anxieuse. Le malade

prononça, d’un ton différent, d’un ton d’officiant à l’autel : « La miséricorde de Dieu est infinie, récitez le Confiteor, mon enfant. Vous l’avez peut-être oublié, je vais vous aider. Répétez avec moi : Confiteor Deo omnipotenti... Beatae Mariae semper virgini... » 336 Il s’arrêtait de temps en temps pour permettre au moribond de le rattraper. Puis il dit : « Maintenant, confessez-vous... » La jeune femme et Duroy ne remuaient plus, saisis par un trouble singulier, émus d’une attente anxieuse. Le malade