Césure

d’assonances et d’allitérations dans le premier quatrain en [u] (ou) et en [Koer] montrant l’obsession du poète. * Les interrogations se trouvent dans le présent : adverbe « maintenant » accentué car placé après trois monosyllabes, sous l’accent et à la césure. Opposition avec le passé regretté. b) La douleur, la souffrance morale * Plainte exprimé de façon angoissée : rythme des questions, martèlement avec « ou » et avec le pronom démonstratif « ce ». * Présence de la souffrance vers 11 :

quatrain une énumération des richesses de paris avec des termes mélioratifs "savoir" v.5, "grandeur" v.6, "richesse" v.8, "nouveautés" v.9. Ces termes sont d'autant plus mis en valeur par leur position dans l'alexandrin puisqu'ils sont au niveau de la césure l'hémistiche. Du Bellay met ces comparaisons en valeur grâce a la construction de ce quatrain en chiasme, il donne ainsi un rythme à son poème. Les richesses de Paris sont aussi évoquées a travers le verbe "émerveiller" v.11 associer au groupe de

monuments. Vitruve écrit son traité d’architecture, le premier de l’histoire. • An –1000 : Antiquité Hellénistique. En 476 (chute de Rome) : Césure entre l’antiquité et les tps modernes. 313, Constantin instaure l’édit de Milan =liberté de culte =>culte chrétien libre. Les barbares sont attirés par le Christianisme. 2nde Césure vers 1850 : take off industriel (peu après la révolution industrielle). Développement des sciences dès le 18ème. Maîtrise de techniques, technologies

pour confident. La nature est source de consolation pour l’homme. Au vers 5, on note l’euphémisme « finir sa carrière », au lieu de « toucher à sa fin », renforcé par « à peine », qui montre que le poète n’accepte pas que le temps s’en aille. À la césure du vers 6, « chéris » est utilisé pour qualifier les flots. Or, on s’attendrait à ce qu’il qualifie la femme : le poète transpose sur la nature les sentiments qu’il éprouve pour Elvire. « Elle » est une diérèse qui met en valeur le pronom personnel

rimes, assimilation au Petit Poucet Terme « muse » (v3) évoque la poésie. Une muse est une déesse inspiratrice. Ici le ciel est la muse ( la poésie est inspiré par la nature. Apostrophe rhétorique, présenté avec une majuscule, il se situe à la césure. Référence à la « lyre » (v13), la lyre qui est un instrument de musique Il remet en cause la poésie traditionnelle en faisant plusieurs rejets Ce poème est un sonnet inspiré du modèle italien : 2 quatrains et un sizain ; rimes embrassées dans

ponctuation, la disposition des mots sur la page, etc. Les formes poétiques libres les plus connues : La chanson Le calligramme Le poème en prose À consulter : La rime La polysémie La prose Les vers La strophe L'émistiche et la césure L'enjambement, le rejet et le contre-rejet Les figures de style La symbolique Trucs pour lire un poème Trucs pour écrire un poème Les exercices Les références Introduction à la poésie Lire un texte poétique La versification Le vers

ne prononçant ainsi qu'une seule syllabe. Exemple : prononciation de "une liaison" En faisant la diérèse : une [li][ai]son -> 3 syllabes En faisant la synérèse : une [liai]son -> 2 syllabes 5.Hémistiche et césure : L'hémistiche est la moitié d'un vers. Il est marqué par une césure. Exemple : Qui n'a pu l'obtenir || ne le méritait pas (Pierre Corneille, Le Cid) L'allitération est la répétition d'une consonne ou d'un groupe de consonnes dans un vers (aboli bibelot). L'assonance est la

d’élucider que le poète utilise un rythme qui comporte plusieurs éléments : la césure, la coupe voire les accents… à la lumières de ces éléments, on va les appliquer dans un vers extrait du poème comme suit : (vers 12) accent mobile accent fixe accent mobile accent fixe Des lèvres’/ que la mort’// va fermer’/ pour jamais’ coupe césure coupe hémistiche 1 hémistiche

simple. Le Romantisme rejette le côté trop structuré de l'alexandrin classique, avec se césure automatique à la sixième syllabe. Césure : coupe centrale qui sépare un alexandrin en deux moitiés égales. Le Romantique disloque le vers en multipliant les coupes, en accumulant rejets et enjambements. Enjambement : effet produit lorqu'une phrase dans un poème ne s'arrête pas à la rime mais déborde jusqu'à la césure ou à la rime du vers suivant. Rejet : effet produit lorsque dans un poème en vers

de verbes conjugués à l’indicatif présent mais absence de mots de liaison qui crée encore effet de désorganisation + redondance du pronom personnel « je ». Description très vive de la course poursuite, qui s’enrichit en détails. Vers 1587 : pas de césure à la quatrième syllabe du vers et non à la 6e donc ne respecte pas ici l’alexandrin, crée effet de précipitation. Situation caractéristique des comédies burlesques : tombe dans la cheminée. Personnage dont les péripéties manquent tout à fait d’héroïsme