Cette Fille Au Doux Front Victor Hugo

* « Lettre à Chloé » de Juliette Boué * « J’attends que tu me reviennes » d’Eugénie Cottu * « Nuit et Brouillard » de Jean Ferrat * « Demain dès l’aube » de Victor Hugo * « Heureux qui comme Ulysse » de Joachim du Bellay * « Mort » d’Anonyme * « A quoi je songe ? –Hélas !... » de Victor Hugo * « Le Déserteur » de Boris Vian * « Le Chat» de Charles Baudelaire * « Adieu !» d’Alfred de Musset Lettre à Cholé Toi mon amie de toujours Je pense à toi

(1851-1920) QUE TRISTE TOMBE UN SOIR DE NOVEMBRE (paradis des albatros) La Bougie rayonne dans la chambre. Je rêve, et mon cœur n’y est pour rien : Vraiment, ah ! vraiment, ce n’est pas bien. Ni joie autour de nous, ni souffrance ; Sur le front pas l’aile d’une Espérance ! Suis-je mort ? Je n’entends ni ne vois. Nul écho de la plus charmante voix. La flamme s’allonge, et tremblote. Dans la chambre un novembre triste Flotte. Qui donc crois-je entendre par instants Dans

CHANSON Quand on perd, par triste occurrence,
 Son espérance et sa gaîté,
 Le remède au mélancolique
 C’est la musique et la beauté. Plus oblige et peut davantage
 Un beau visage qu’un homme armé,
 Et rien n’est meilleur que d’entendre
 Air doux et tendre jadis aimé ! Poésie nouvelles, Alfred de Musset L'agonie Vous qui m'aiderez dans mon agonie,
 Ne me dites rien ;
 Faites que j'entende un peu d'harmonie,
 Et je mourrai bien.
 
La musique apaise, enchante et délie
 Des choses

rougissez ? il faut que je me joue.Vous souriez : avez-vous . point ouïQuelque doux mot qui vous ait réjoui ?Je vous disais que la main j'allais mettreSur votre sein : le voulez-vous permettre ?Ne fuyez pas sans parler : je vois bienA vos regards que vous le voulez bien.Je vous connais en voyant votre mine.Je jure Amour que vous êtes si fine,Que pour mourir, de bouche ne diriezQu'on vous baisât, bien que le désiriez ;Car toute fille, encor' qu'elle ait envieDu jeu d'aimer, désire être ravie.Témoin en est

Leurs hymnes solennels emportés par le vent. Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde, Je verrai l'atelier qui chante et qui bavarde; Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité, Et les grands ciels qui font rêver d'éternité. Il est doux, à travers les brumes, de voir naître L'étoile dans l'azur, la lampe à la fenêtre, Les fleuves de charbon monter au firmament Et la lune verser son pâle enchantement. Je verrai les printemps, les étés, les automnes; Et quand viendra l'hiver aux

prochain poème est une fable de Jean de LA FONTAINE « Le lion amoureux ». Ce poète appartenait au classicisme, qui est une réponse à l'exagération baroque. Cette fable est destinée à Mademoiselle de Sévigné afin de lui montrer que le lion peut se faire doux si bon lui semble, le lion étant il me semble le roi de l'époque. Le siècle suivant est le siècle des lumières qui n'a pas été un siècle très élogieux envers les poètes. André CHENIER a écrit à cette époque « L'amour et le berger » où il situe sa déclaration

Verlaine………………………………………………………………………………..6 Assieds-toi sur le bord d’une ondante rivière de Jean-Baptiste Chassignet..........................…..6 Le pont Mirabeau de Guillaume Apollinaire ……………………………………………………………………….7 Soleil couchant de Victor Hugo……………………………………………………….…………………………………8 Quand je suis vingt ou trente moi de Pierre de Ronsard………………………..……………………………9 L’horloge de Charles Baudelaire…………………………………………………………………………………….10 Vers écrits d’Alphonse Lamartine ....

 Interview de victor Hugo J: bonjour Monsieur Hugo, merci de nous accorder cette interview. VH: bonjour, tout le plaisir est pour moi. J: Alors, dites moi quels ont été les debuts de votre carrière? VH: j'ai fait mes débuts très jeune sous la restauration. A 17ans, mes frères et moi avons fondé un journal anarchiste, le Conservateur littéraire. En 1822, les Odes furent publiées J: Que pouvez vous nous dire de Chateaubriand?Vous a-t-il inspiré? VH: Je l'admirais autant

Je suis impatiente de voir si j'apprécie se site « TORQUEMADA ET LES AUTRES » La place de Victor Hugo dans l’évolution de la figure du Grand Inquisiteur au XIXème siècle. La littérature du XIXème siècle a créé une figure originale, on pourrait même dire un mythe : le personnage du Grand Inquisiteur. Certes, celle-ci s’inspire sur certains points des traditions précédentes, en particulier la critique anticléricale des Philosophes des Lumières et du roman gothique anglais ; mais, établissant

Lycée Françoise Cabrini, Noisy Le Grand. 2011/2012 Anthologie poétique. La Contestation d’autant et d’aujourd’hui. ROUX Bastien, 1STGA. Sommaire: -Préface. -Textes : *Le mendiant, Victor Hugo. *Souvenir de la nuit du 4, Victor Hugo. *Le legs, Robert Desnos. *Liberté, Paul Eluard. *Strophes pour se souvenir, Louis Aragon. *Le dormeur du val, Arthur Rimbaud. *gangsta’s paradise, Coolio. *Elle est belle la France, Ministère des Affaires Populaires. *Poème contre le racisme