Cette folle jeunesse

que son père l’avait acheté en cachette pour ne pas offenser sa majesté. Un jour la mère de Anastasia rentra dans la chambre de sa fille et lui dit la bonne nouvelle qu’elle avait décidé pour l’avenir de sa fille. C’était bien le mariage, Anastasia folle de rage ne comprenait pas elle était encore jeune pourquoi l’obliger à se marier à un si jeune âge. Sa mère lui expliqua que c’était la vie et que de toute manière les prétendants venaient la voir. Les demoiselles d’Anastasia la fit belle et lui

Les réécritures du Petit Chaperon rougeSéquence proposée par Mme Florence CHARRAVIN, professeure agrégée au Lycée Aubanel ( Avignon), pour ses élèves de 1ère L Objet d’étude : les réécritures, du XVIIème siècle jusqu’à nos jours (1ère L)L’objet d’étude « les réécritures » est organisé en deux groupements distincts afin de proposer aux élèves plusieurs approches de la question. L’étude qui suit correspond au groupement sur le conte de fées. (Le second groupement est consacré au mythe d’Œdipe.) Les

cuivre jaune » dans les cheveux ; ainsi que le physique (« ses cheveux noirs », « ses yeux de flamme », « le front brun »). Mais elle fascine surtout par sa légèreté et sa grâce : elle est qualifiée de « mince, frêle et vive comme une guêpe » ou de « folle jeune fille » : on peut remarquer dans ces expressions le nombre de monosyllabes ainsi que la répétition des consonnes [f] et [v], sorte d’harmonie imitative de sa vivacité ou du bruit de sa jupe de danseuse… De même, la première phrase du texte

toujours la même personne et que le dévouement ne fait pas partie des aptitudes des grands de ce monde . Comme nous il est démontré par les métaphores à partir de la strophe 47 : " …de s’ensevelir pour toujours dans une passion, et d’être mort dès sa jeunesse à toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux ".Si le changement, le mouvement sont ces qualités, il ne cherche guère la continuité. Et pourquoi n’aurait-il le droit de s’offrir à toutes les gracieuses qui passent devant ses yeux

moitié bien et ça a fini tout a fait mal maman Regarde ce qu'ils ont fait à ma chanson   Regarde ce qu'ils ont fait à mon génie maman Regarde ce qu'ils ont fait à mon génie Ils y ont pioché comme sur un pilon Et je pense que je suis à moitié folle maman Regarde ce qu'ils ont fait à ma chanson   Si seulement je pouvais trouver un bon livre pour y vivre Si seulement je pouvais trouver un bon livre Si seulement je pouvais trouver un vrai bon livre Je n'aurais pas à sortir pour voir Ce qu'ils

principaux de la pièce INTRODUCTION Cet extrait est issu de la scène d’exposition de la pièce d’Alfred de Musset : les caprices de Marianne écrite en 1833 et jouée en 1851. Nous nous situons en plein période romantique qui est le reflet d’une jeunesse en déshérence (on peut noter les journées insurrectionnelles de juillet 1830 Cette pièce). Cette pièce est sous titrée comédie et entretient en effet certaines résonnances de la commedia DeIl Arte. Dans cette scène d’exposition, nous trouvons les

cette union contre nature, est né le Minotaure (demi-frère de Phèdre !). Deuxième malédiction réalisée : Phèdre s’éprend, quelque temps après son mariage avec Thésée, du fils de son époux, fils dont elle ignorait l’existence, et dont la beauté et la jeunesse éclatantes frappent douloureusement Phèdre qui reconnaît aussitôt la machination de la déesse de l’amour : « Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, / D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables » (I,3). Phèdre est donc consciente du fait

supérieur au sien. C. Le mépris des femmes : -Don Juan misogyne ? : femmes = instruments au service de ses désirs * IV, 2 Charlotte qu’ il examine de façon indécente comme si elle était une jument *attitude odieuse face à Elvire I,2 « Est-elle folle de n’avoir pas changé d’habit et de venir en ce lieu-ci avec son équipage de campagne ? ». Dans la scène suivante il daigne à peine tourner son visage vers elle et a la grossièreté de laisser à son valet le soin de répondre à sa place, puis il se montre

d'hydrocarbures moirées arc-en-ciel qui auréolent les eaux, et les plaques de métal taillées en triangle qui festonnent le bordé de la pirogue, rutilant dans la lumière, dessinent une mâchoire ouverte." Ce livre part d'une ambition à la fois simple et folle : raconter la construction d'un pont suspendu quelque part dans une Californie imaginaire à partir des destins croisés d'une dizaine d'hommes et femmes, tous employés du gigantesque chantier. Un roman-fleuve, "à l'américaine", qui brasse des sensations

tombe amoureux, Rimbaud nous fait part des émotions légères jugées un peu futiles dans leur ton tandis que Blaise Cendrars à travers son poème évoque une adolescence violente et passionnée dont il est fier («car mon adolescence était si ardente et si folle » v.6), il parle à la première personne du singulier pour montrer qu'il est maître de son récit, il montre toute l'originalité de son expédition en compagnie d'une jeune Parisienne. René Char, de son côté écarte toute responsabilité face à l'humiliation