Chaise Rietveld

considéré comme l'un des grands dramaturges français du xxe siècle. Représentant du théâtre de l'absurde, il écrit de nombreuses œuvres dont les plus connues sont La Cantatrice chauve, (1950) pièce qui se joue sans interruption plus de vingt ans, Les Chaises (1951) ou bien encore Rhinocéros. Derrière chaque histoire absurde, Ionesco souhaite faire passer un message au lecteur. Résumé: L'histoire débute sur une place dans un village, on apprend à connaître Bérenger et Jean qui sont les personnages

sens où les défauts de chacun sont mis au grand jour. Prenons l’exemple de Madeleine et Léon GOULINEC et leur « mini-guerre » de la chaise. Le soir, ils mettent tous les deux leurs vêtements sur leur chaise. Seulement un désordre règne sur les deux chaises et cela agace Madeleine et Léon. Ceci entraîne une petite scène tous les soirs. Pour Léon, si sa chaise n’est pas rangé c’est parce qu’il estime que c’est à sa femme de le faire : « J’estime que ce n’est pas à moi de ranger !». Madeleine, elle

de meubles (table, chaises, fauteuils, canapés) qui ne le structurent pas vraiment. Les différents îlots ainsi créés n’inscrivent pourtant pas l’espace dans une logique narrative : on aurait pu attendre que les différents recoins du plateau distinguent différents espaces, mais les limites s’avèrent plus poreuses et fluctuantes. On devine l’université autour de la table de répétition, le salon de Graham sur l’avant-scène gauche et la chambre de Nagui autour de son unique chaise apportée au début au

: la vaste maison familiale pleine de recoins, de petits escaliers... la « salle », comme on les appelait dans les maisons de la vieille Russie, avec un grand piano à queue, des glaces partout, des parquets luisants, et tout le long des murs des chaises couvertes de housses blanches... La longue table de la salle à manger où à chacun des bouts sont assis, se faisant face, se parlant de loin, se souriant, le père et la mère, entre leurs quatre enfants, deux garçons et deux filles... 1. objurgations

des intérieurs. C'est ainsi que du génial créateur artistique Philippe Starck résulte la chaise « Louis Ghost » (Louis le fantôme), fruit d'un savant mélange entre technologie et esthétisme. Un petit fauteuil bien confortable, fait en polycarbonate transparent ou bien coloré. Jaune, orange, vert, fumé ou noir, c'est suivant l'envie de chacun ou de chacune. Dans le prolongement du design Louis XVI, cette chaise est l’exemple même du baroque revisité pour étonner, émouvoir voire même fasciner par sa

avant et après la sieste, est composée de toilettes, urinoirs et place handicapée. Les lavabos, pour une question d’hygiène, se trouvent en dehors. La tisanière, petite salle entre le dortoir et les toilettes, comporte des rangements, une table, une chaise, un réfrigérateur. Elle est réservée aux ATSEM, qui au besoin peuvent actionner une sonnette. Le couloir, vitré jusqu’à la classe rouge, est large et comporte quelques barres le long du mur. Face au porte manteau, on trouve les consignes d’évacuation

un dramaturge et écrivain roumain et français. Il passe la majeure partie de sa vie à voyager entre la France et la Roumanie. Représentant du théâtre de l'absurde, il écrit de nombreuses œuvres dont les plus connues sont La Cantatrice chauve, Les Chaises ou bien encore Rhinocéros. presentation du livre Rhinocéros d'Eugène Ionesco est une pièce de théâtre en quatre tableaux pour trois actes (le deuxième est divisé en deux tableaux), en prose, créée dans une traduction allemande au Schauspielhaus

deux sont seuls dans la photo, on voit à mi-chemin une table et des chaises vides. Leur solitude est palpable. l’homme est derrière et la femme devant, il la tient des deux mains et elle s’incline vers lui, en se cachant la figure dans son épaule. Donc on ne voit que la figure de l’homme. Il a les yeux fermés. Ils semblent se consoler. Une valise et un sac sont par terre devant les chaises et un sac à main est accroché à la chaise de la femme, ce qui laisse supposer un voyage. Doisneau prenait plusieurs

Dans la pénombre de la salle de café le patron dispose les tables et les chaises, les cendriers, les siphons d'eau gazeuse ; il est six heures du matin, II n'a pas besoin de voir clair, il ne sait même pas ce qu'il fait. Il dort encore. De très anciennes lois règlent le détail de ses gestes, sauvés pour une fois du flottement des intentions humaines ; chaque seconde marque un pur mouvement : un pas de côté, la chaise à trente centimètres, trois coups de torchon, demi-tour à droite, deux pas

victorias bourrées de monde, quelque garçon, assis sur les pieds des autres, laissait pendre en dehors ses deux jambes. De grands coupés à siège de drap promenaient des douairières qui sommeillaient; ou bien un stepper magnifique passait, emportant une chaise, simple et coquette comme l'habit noir d'un dandy. L'averse cependant redoublait. On tirait les parapluies, les parasols, les mackintosh; on se criait de loin : «Bonjour! -- Ca va bien? -- Oui! -- Non! -- A tantôt!» et les figures se succédaient dans