Chaman

le symbolisme général de ceux-ci, qui est celui des anges, des états spirituels supérieurs. Il est, dans l'antiquité classique, l'oiseau de Zeus, à qui il lui arrive même de s'identifier ; son rôle de roi du ciel est également explicite chez les chamans sibériens. Son identification au soleil, source et rayonnement de la lumière, est essentielle pour les Amérindiens qui, portant des plumes d'aigle, s'identifient à ce rayonnent. Les plumes et le sifflet en os d'aigle sont utilisés dans la danse qui

Art de l'equateur La culture Jama Coaque On trouve dans l'iconographie divers personnages : des prêtres, des dignitaires, des chamans, dont l’importante parure est rendue avec un luxe de détails. Comme pour la culture précédente, on note parfois une forte frontalité, avec une symétrie bilatérale marquée, ou au contraire un penchant pour le naturalisme. Ainsi, on connaît une représentation d'un personnage assis en train de décoller des parasites de la plante de ses pieds. L' homme au poncho

[Texte intégral] Claire Beaudevin Aviad E. Raz, The Gene and the Genie [Texte intégral] Asie Catherine Choron-Baix Richard Pottier, Yû dî mî hèng, “être bien, avoir de la force” [Texte intégral] Bernard Formoso François Robinne, Prêtres et chamanes [Texte intégral] Europe Charlotte Poulet Ruth Finnegan, The Hidden Musicians [Texte intégral] Xabier Itçaina Jeremy MacClancy, Expressing Identities in the Basque Arena [Texte intégral] Yves Laberge Jérôme Garcin, ed., Nouvelles Mythologies

de la morphine, de l'alcool et de l'opium, ce qui, dans ce cas précis, s'avéra complètement faux et aggrava même l'état des patients. Elles furent également utilisées pour des rituels culturels ou religieux comme chez les druides, les grecs ou les chamanes. Au 19ème siècles, le rapport entre les hommes et la drogue se modifie énormément, et le commerce de ces substances psychotropes commence, banalisant ainsi leur utilisation. La preuve la plus flagrante de ce nouveau commerce furent les deux

vivants dans l’univers terrestre et cosmique. -> forme qu’on retrouve dans : cercle de la vie, l’alternance des saisons, Lune, Soleil etc. Animisme : Croyance que chaque élément de la nature possède un âme -> tous égaux Rêve : Contact avec un esprit Chaman : Celui qui interprète les rêves et interagit avec les esprits Manitous : Un esprit Moyen de transmission des histoires/connaissances : Tradition orale transmit par les Ainés

Elle était aussi le signe de bienvenue donné aux étrangers de la tribu par le Chef. L'accolade à deux mains sur les deux épaules était le signe de réception du nouveau guerrier chasseur ayant subi et réussi les épreuves initiatiques imposées par le Chaman et le Chef de la tribu. La grande majorité, voire la totalité des tribus européennes (Gaulois, Celtes, Romains, Goths, Vikings, etc...), avaient cette tradition d'accueil de la main droite sur épaule gauche. La main droite étant traditionnellement

chasse, de pêche, de cueillette et d’agriculture sur brûlis (le manioc). Ils étaient regroupés dans des villages et habitaient des carbets. Les hommes et les femmes se répartissaient les tâches. Il n’y a pas de système hiérarchique mais il existe un chaman (gardien de la tradition avec les vieillards) et un capitaine (les nations pouvaient se réunir sous son autorité en cas de guerre). Nous leur devons certains objets, des techniques agricoles et artisanales, la nourriture à base de manioc et aussi

l'intermédiaire de la main gauche. Si vous avez disposé d'autres bols à proximité, peu à peu ceux-ci vont aussi se mettre à chanter. C'est à cette technique que ces bols doivent leur nom de " bols chantants ", elle serait celle utilisée autrefois par les Chamans. Arrêtez le frottement. Le son va disparaître progressivement mais la vibration persistera quelques minutes encore.

narratifs mettant en scène une collectivité d'où émerge un héros souvent surhumain et qui cherche à surmonter des obstacles hors de l'ordinaire. L’épopée se rattache originellement à une tradition orale, transmise par des aèdes itinérants, griots, chamans, conteurs. Elle était certainement dite ou psalmodiée sur une musique monocorde, parfois chantée. D'abord retranscription de fragments récités, parfois à partir de sources différentes, elle devient par la suite un genre littéraire en soi, l’œuvre

signes pour communiquer . Beaucoup de langues amérindiennes sont aujourd'hui menacées de disparition. Les Amérindiens utilisent des tambours, qui permettent de communiquer à distance. Ainsi, en frappant sur un tambour, un chaman peut échanger des informations avec un autre chaman ou localiser le gibier. La musique amérindienne comprend la musique précolombienne, mais aussi celle que les Amérindiens ont continué de pratiquer après et malgré les premiers contacts. Elle se caractérise par une grande