Champ Lexical

verbes àl'imparfait, temps caractéristique de la description, « la riviere emportait des debris de toute sorte » « les larges prairies semblaient farouches ».On observe un champ lexical de la nature : « la riviere,les larges prairies, leurs grands arbres »mais cette nature semble subir avec douleur la guerre.On note un champ lexical de la souffrance et du malheur: « leurs grands arbres isolés, leurs rideaux depeupliers qui les tachaient d'ombre », des hyperboles; « violence inouie » « gemissement suprême

a froid » + les répétitions : « vieux.. vielle.. » Le champ lexical de la souffrance domine : « froid, faim, malheur, pauvre » Dans la suite du poème, P. Eluard veut redonner de l'espoir aux gens, qui le pays soit enfin libéré, pour cela il utilise encore des procédés comme: Il s'adresse aux parisiens par métonymie (figure de style qui remplace un substantif par un autre) à partir du vers n°8, c'est le champ lexical positif de l'espoir qui apparaît : « air pur, feu, bonté, beauté

Plan du commentaire 1-Recit d'une éducation A- Une auto-éducation Le champ lexical de l'éducation est toujours accompagné d'une marque de la première personne : "règles" suivi de "me" l.2 "mes principes"l.2, "mes profondes réflexions"l.5 Elle fonctionne en autonomie: à la fois sujet et objet des verbes appartenant au champ lexical de l'éducation : "je me suis prescrites"l.2 "je suis mon ouvrage"l.5 "je me suis travaillée"l.16. Elle se construit, elle se forme, au sens premier du terme :"

fragment de phrase « leur bruit est celui de la mer à l'assaut des falaises » v.14 qui compare la révolte de ces cœurs à une vague qui emporte tout. Pour cet appel à la révolte le champ lexical de la guerre est utilisé: «combat» v.1, «bataille» v.1, «haine» v.5, «assaut» v.14, «révolte» v. 16. Puis, le champ lexical du bruit qui rappelle les bruits sourds de la guerre: «rythme» v.2, «tel bruit» v.6, «répande» v.7, «son d'une cloche» v.9, «échos» v.10. Finalement, ce n'est plus un cri de guerre individuel

français filer (au sens de poursuivre une œuvre, un processus) est une figure de style constituée d'une suite de métaphores sur le même thème. La première métaphore en engendre d'autres, construites à partir du même comparant, et développant un champ lexical dans la suite du texte. Bien que distincte, on rapproche la métaphore filée de l’allégorie. Sommaire 1 Exemples 2 Définition 2.1 Définition linguistique 2.2 Définition stylistique 2.3 Genres concernés

que des champs lexicaux, comme celui qui évoque le fête grâce aux verbes au participe présent («chantant» v. 5, «jouant» v.3, «dansant» v.3), il utilise aussi une énumération «Jouant du luth et dansant et quasi» v.3. Cela permet au poète de montrer à son interlocuteur que la scène se passe dans une fête. La répétition de «clair de lune» dans le titre et au vers 8, permet à Paul Verlaine ….. Le poète indique également que la fête est un bal masqué. Pour ceci, le poète emploi un champs lexical de la

étape : tableau (types, tons, thèmes) réflexion axéeentre|sur comparaison 2 thèmes|monologue|élégie| mer (concret)|amour (abstrait)||| champ lexical eau"mer" (6 fois)"eau (x)" ( 4 fois)|champ lexicalamour et feu"amour" (8 fois)"aimer" (1 fois)"amoureux" (1 fois)relayé par métaphore précieuse du "feu" (3 fois) et des mots appartenant au même champ lexical : "enflammer", "brasier", "brûle", "éteint son feu"|locuteur "je" --->destinataireêtre aimé, non nommé, non caractérisé, mais

II- La nature 1) Une nature omniprésente 2) Une nature immuable 3) Une nature ayant 2 visages 1) La nature est un des grands thèmes du romantisme. Dans ce poème, on retrouve très souvent le champs lexical de la nature: «  Soleil, eaux, nuées… » La nature est omniprésente car on voit les 3 constituant d’une planète  : la terre  « forets », l’eau « mers » et l’air « les nuées ». Le poème commence par « le soleil » ce qui nous montre la grandeur ainsi que la présence de la nature

petites éminences », « des petits », « il y a peu de jours », « autres traces », « rase la surface », « très longues », « moins creuses », « un peu boiteuse ». Explication Le champ lexical de verbe de perception suivant : « Vu », « aperçu », « remarqué », montre la précision de son regard à l’égard de milieu. Le champ lexical de la nuance : « Petit chien », « sillon léger et long », « petites éminences », « des petits », « il y a peu de jours », « autres traces », « rase la surface », « très longues

cœur » pourtant : « la nature nous oblige » champ lexical du plaisir : « passion », « charmer », « beauté » (répété 2 fois), plaisir... Ca montre que pour lui être infidèle ça le rend heureux, il prend du plaisir à être infidèle C'est pas sa faute, il la rejette sur les femmes : « toutes les belles ont droit de nous charmer » Il les désigne par « elles » et « toutes » La femme est comme un objet à conquérir, il utilise un champ lexical de combat pour séduire les femmes : « douce violence'