Champs Lexical De La Passante Poeme Baudelaire

: commentaire composé du poème “Les aveugles” extrait des Fleurs du Mal De Ch. Baudelaire (1821-1867) Au XIXe siècle, la poésie symboliste marque un tournant dans l'histoire de la poésie française. Ch. Baudelaire appartient à ce mouvement symboliste. C'est un grand poète, connu pour sa vie de bohème. Auteur tourmenté, il a publié de son vivant une seule Oeuvre Les Fleurs du Mal. C'est dans cette mouvance, qu'il convient de situer les Aveugles (1857), un poème extrait de ce célèbre recueil

Texte 3 : Les Fleurs du Mal de Baudelaire « A une passante » Explication de texte « rue assourdissante » v.1 Hyperbole Montre que la rue est très bruyante Ø Ce n’est pas un lieu paisible, propice aux rencontres Ø L’auteur semble perdu « rue […] hurlait » v.1 Personnification hyperbolique Ø Lieu agressif et sauvage Ø Agassement de la part de l’auteur « Longue, mince … l’ourlet » v.2-4 Enumération Ø Description de l’arrivée de la passante qui semble durer longtemps Ø Le temps

didascalies (« répond en chantant »)) 3) Pour exprimer des sentiments = une pièce lyrique (hyperbole = « recommencez cent fois, ne vous en lassez pas », répétitions = « plutôt, plutôt mourir » ; adjectifs qualificatifs appartenant aux champ lexical des sentiments : «  triste et mélancolique » )). II/ Qui exprime la vérité des sentiments de la pièce cadre sous couvert de la fiction (= ironie)1) La situation de la pièce cadre ( = récit à clés / le père = Argan ;

Le désir de peindre, Charles BAUDELAIRE Introduction - poème en prose : expression oxymore car au départ la poésie est en vers classiques codées - Baudelaire fait preuve d’originalité et lance réellement les poèmes en prose, accompagné pas Aloysius Bertrand qui y a aussi contribué - qui parle ? le locuteur poète  A qui ? destinataire externe : le lecteur -  pour Baudelaire, « la modernité, c’est le transitoire, le fugitif, le contingent, la moitié de l’art, dont l’autre moitié est l’éternel et l’immuable

Révision Référence au texte: Auteur: Charles Baudelaire Titre de l’œuvre: Les Fleurs du Mal Date de parution: 1857 Titre de l’extrait: « A Une Passante » Ressenti: Emotions, Sentiments: mélancolie, désespoir, nostalgie, mal-être, tristesse…   Hypothèse quant à l’intérêt littéraire du texte, sa singularité, son originalité quant à ce qui est dit (= fond) et quant à la manière de l’exprimer (= forme), les intentions de l’auteur: - Poème fait partie des tableaux parisiens (poèmes

Lycée Français Blaise Pascal Abidjan Classe de 1ère Méthodologie La question sur corpus Objet d’étude : « Ecriture poétique et quête du sens du Moyen-âge à nos jours » Corpus : « Poésie et lyrisme » (Louise Labé, Baudelaire, Verlaine). [Introduction] [Amorce] Le corpus de textes soumis à notre étude (ou, « Les textes du corpus que nous étudierons » ou « Trois poèmes composent le corpus à étudier ») est composé de trois sonnets lyriques qui proposent, chacun, une vision particulière de la

INTRODUCTION De Ronsard à Prévert, en passant par Chateaubriand, Baudelaire et Verlaine, l’automne a inspiré des générations de poètes. Né, quant à lui, sous le signe de la Vierge qui marque le début de l’automne, Apollinaire a fait de cette saison, associée souvent au temps qui passe, à la mort, aux souffrances de l’amour et, partant, aux fins des amours, sa saison privilégiée. Il s’écrit d’ailleurs : « Mon automne éternelle ô ma saison mentale ». Dans le poème « Signe », il rappelle cette idée :

admirable, comme l’or, et donc à révéler la beauté du monde. Ce thème a été souvent repris, par exemple par Baudelaire ou Tristan Corbière, mais aussi par Victor Hugo, célèbre poète romantique du XIXe siècle. Dans son texte « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie » issu des Contemplations publiées en 1856, l’auteur évoque son opinion au sujet de deux créatures mal aimées du peuple. Le poème, constitué de 7 quatrains qui alternent décasyllabes et pentasyllabes à rimes croisées, présente deux mouvements :

CONGÉ AU VENT À flancs de coteau du village bivouaquent des champs fournis de mimosas. À l'époque de la cueillette, il arrive que, loin de leur endroit, on fasse la rencontre extrêmement odorante d'une fille dont les bras se sont occupé durant la journée aux fragiles branches. Pareille à une lampe dont l'auréole de clarté serait le parfum, elle s'en va, le dos au soleil couchant. Il serait sacrilège de lui adresser la parole. L'espadrille foulant l'herbe, cédez0lui le pas du chemin

Le poème commence par une exclamation qui n'est enthousiaste qu'en apparence : Aujourd'hui l'espace est splendide ! Ce qui signifie qu'hier, il ne l'était pas splendide, l'espace, et que ce serait étonnant qu'il le fût demain. Quoi qu'il en soit, cela semble assez prometteur au poète pour s'autoriser une promenade à cheval : Sans mors, sans éperons, sans bride, Admirez l'exploit, belle jeunesse motorisée ! mais ce n'est pas tout, car ce n'est pas un cheval ordinaire que le poète aux cheveux