Question sur corpus poésie rédigée
Abidjan
Classe de 1ère
Méthodologie
La question sur corpus
Objet d’étude : « Ecriture poétique et quête du sens du Moyen-âge à nos jours »
Corpus : « Poésie et lyrisme » (Louise Labé, Baudelaire, Verlaine).
[Introduction]
[Amorce] Le corpus de textes soumis à notre étude (ou, « Les textes du corpus que nous étudierons » ou « Trois poèmes composent le corpus à étudier ») est composé de trois sonnets lyriques qui proposent, chacun, une vision particulière de la femme.
[Présentation des textes] Louise Labé, poétesse humaniste du XVIème siècle, proche de l’Ecole de Lyon, publie Sonnets et Elégies en 1555 dont est extrait « Je vis, je meurs.. ». Elle est connue pour ses prises de position en faveur des femmes et des femmes écrivains, en particulier. Les poèmes de Baudelaire « A une passante », tiré des Fleurs du Mal (1857) et de Verlaine, « Mon rêve familier », extrait des Poèmes saturniens (1866) datent du XIXème siècle. Si Verlaine fait partie des poètes symbolistes comme Arthur Rimbaud, Baudelaire est beaucoup plus difficilement classable. Tous deux cependant renouvellent profondément le genre poétique et le lyrisme.
[Problématique] Quel regard sur la femme les poètes portent-ils dans ces textes ?
[Parcours de lecture (facultatif)] Nous montrerons comment à partir d’une forme fixe ancienne, les auteurs renouvellent le genre et proposent, chacun à leur manière, une conception de la femme.
………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
[Développement]
Les poèmes adoptent la même forme, celle du sonnet, traditionnellement utilisé dans la poésie lyrique et, en particulier, amoureuse, qui se distingue par sa brièveté et ses contraintes de versification. Tous évoquent également le sentiment amoureux dans ce qu’il peut avoir de passionné, comme chez Louise Labé, où nous pouvons relever… (Citations), de fulgurant, comme chez Baudelaire ; prenons en exemple les vers… qui expriment… (Citations) ou d’apaisant, comme chez