Chancelier impérial

imprègne les individus dès l'enfance. La période sur laquelle notre étude porte, 1871 à 1914, voit une transition dans le sentiment national allemand. La naissance de l'empire en 1871 engendre un sentiment d'appartenance dynastique. Ce «patrotisme impérial» n'est pas revendicateur. Cependant, la fierté de la réussite allemande va permettre le développement de la doctrine pangermaniste. Elle vise l'unité de tout les germanophones d'Europe dans une même nation : une «grande Allemagne». Elle s'enracine

enseigna ensuite dans cette ville, puis à Pise. En novembre 1150, Le pape, Eugène III l'appela à la curie et le nomma cardinal. Puis, en 1153, il est nommé chancelier de l'Église romaine. Il conserva ce poste sous les pontificats d'Anastase IV (1153-1154) et d'Adrien IV (1154-1159). Il devint alors l'un des principaux inspirateurs du clan anti-impérial à la curie. De sa jeunesse, nous ne savons pas énormément de chose sur cet homme. Les informations commencent à être abondante dés le début de

ne possède pas de réels pouvoirs. L’empereur allemand est le chef de l’armée et de la marine. De plus, il promulgue les lois et dirige la diplomatie. L’empereur désigne un chancelier, Reichskanzler, qui ne dépend pas du parlement élu. Le chancelier est responsable uniquement devant l’empereur. Il dirige l’administration impériale et le gouvernement. Il dirige ainsi l’orientation politique et propose à l’empereur les nominations et les révocations des hauts fonctionnaires ainsi que des secrétaires d’Etat

peuplement allemandes au xviie siècle, notamment en Afrique[note 1], la véritable naissance de l'Empire colonial allemand se situe après l'unification de 1871[1]. Elle fut avant tout le fruit d'initiatives privées qui reçurent l'appui officiel du chancelier Otto von Bismarck. Aussitôt après la victoire sur la France en 1871, quelques journaux réclamèrent l'annexion de certaines colonies françaises, mais Bismarck jugea alors prématuré de se lancer dans une politique coloniale qui eût éveillé la méfiance

détaillé : Grande dépression (1873-1896). Le chancelier Otto von Bismarck grand ordonnateur de la politique coloniale allemande photographié ici en 1886. Même s'il y eut bien quelques implantations de colonies allemandes de peuplement auxviie siècle, notamment en Afriquenote 1, la véritable naissance de l'Empire colonial allemand se situe après l'unification de 18711. Elle fut avant tout le fruit d'initiatives privées qui reçurent l'appui officiel du chancelier Otto von Bismarck. Aussitôt après lavictoire

Petit retour en arrière. L’Europe de 1914 est divisée en deux « blocs ». Le premier, englobait l’empire allemand, l’empire austro-hongrois, et l’Italie liés entre eux par un système d’accords : la « triplice ». L’alliance avait été pensée par le chancelier Bismarck dès les années 1870, après la défaite allemande. Le deuxième «bloc» réunit la France, la Russie tsariste et le Royaume-Unis dans la triple entente. Dans chacun de ces ensembles, des accords prévoient l'entrée en guerre des alliés en cas

Fier de sa victoire, le chancelier Otto Von Bismarck célèbre l'unification allemande dans la galerie de Glaces de Versailles le 18 Janvier 1871: l'Allemagne impose sa domination l'Europe. Le peuple français endeuillé de ses "deux filles", l'Alsace et la Moselle, cultive dès lors une profonde rancœur envers le voisin rhénan. Cette amertume conditionne les nouvelles générations françaises, l'idéal de la citoyenneté républicaine se trouvant de fait opposé à la monarchie impériale nouvellement créée. Intégrant ainsi les

G.M., défaite allemande 1918 : Fin de l’Empire allemand , début de la République de Weimar 1929 : Crise économique des EtatsUnis, touchant l’Europe en 1930 1923 : Tentative de coup d’Etat par HITLER (le putsch de Munich) 01/1933 : HITLER chancelier, le NSDAP domine au Reichstag 03/1933 : pleins pouvoirs à HITLER 1934 : « Nuit des longs couteaux » 1934 : HITLER Reichsführer 1935 : Lois de Nuremberg 1938 : « Nuit de cristal » 1938-39 : Anschluss ; annexion des Sudètes, Bohème-Moravie

la monarchie et partisan de la monarchie prussienne de Fréderic Guillaume IV. D’abord ministre-président de Prusse de 1862 à 1890 puis chancelier allemand de 1871 à 1890, il acquiert des pouvoirs très larges à la tête d’un empire grandissant, l’Empire allemand. L’Allemagne n’étant qu’une mosaïque d’Etats sous domination prussienne ou autrichienne, le « Chancelier de Fer », surnom donné à Bismarck par les historiens, va alors œuvrer pour l’unification de la nation allemande sur le territoire de l’Empire

(1875-1918) 1) La fondation du parti socialiste allemand En 1875, au congrès de Gotha, le Parti socialiste des allemands (SAP) est créé. C’est le premier grand parti socialiste européen. Pour combattre l’influence du SAP auprès des ouvriers, le chancelier Bismarck fait voter, en 1878, la « loi antisocialiste ». Celle-ci interdit toute association ou manifestation, autorisant seulement la participation des socialistes aux élections. Pour désamorcer les revendications ouvrières, Bismarck fait d’importantes