Chant D Automne

sensuelle : A- Présence des 5 sens B- Les 4 éléments I -A- -moment de la rêverie et de la situation : v.1 et v.2. Ils sont construits sur des sonorités douces et de longs alexandrins font rentrer le lecteur dans la rêverie. Moment entre été et automne, en début de soirée, au lit avec sa maîtresse. L’odeur de sa peau provoque la rêverie, intimité amoureuse. C’est un rêve éveillé. -la femme = le plaisir mais aussi la sécurité : elle est érotique et maternelle = image de la mère - le 1er quatrain

l'opportunité à tous les enfants de Dieu. Que la nation ne tienne pas compte de l'urgence du moment, qu'elle sous-estime la détermination des Noirs, lui serait fatal. Cet été étouffant du mécontentement légitime des Noirs ne prendra fin qu'à l'arrivée d'un automne vivifiant qui amènera liberté et égalité. L'année 1963 n'est pas une fin, mais un début. Ceux qui veulent croire que les Noirs seront satisfaits seulement de s'exprimer avec force auront un fâcheux réveil si la nation revient aux affaires habituelles

transfigurer la réalité, pour ne pas l'affronter. → Remède au Spleen. Hémisphère Dans Une Chevelure La Chambre Double Le Confiteor De L’ Artiste Les Projets 1) Confiteor de l'artiste Le paysage idéal: (source du rêve= Nature) Automne : saison de la méditation (spleen) → s'évader : -monde naturel (privé de toute sophistication) et inaccessible : ciel, mer, azur, horizon -représentation artistique de ce monde : musicalement, pittoresquement -monde d'ordre/harmonie au-delà du

courtoise et la chanson de geste. La chanson de geste apparaît dès le XIe siècle et prends fin environ à la fin du Moyen-Age. Le nom du courant vient du mot « geste » qui est une action d’éclat de caractère militaire ou fantastique. La chanson de geste chante donc souvent les exploits de chevaliers (réels ou tirés de légendes) sur le champ de bataille. La poésie courtoise dure elle aussi du milieu de Moyen-Âge environ (Xe-XIe siècle) à la fin de celui-ci. Contexte Le régime politique à cette époque était

« ton sein » ce qui rend le poème plus intime. Ce cadre intime et renforcé par plusieurs conditions : la chaleur « chaud », le moment propice à l’endormissement et la rêverie « soir », les « yeux fermés » et la saison faisant appel a la nostalgie « automne ».Le rapprochement des corps est assez érotique : « je respire l’odeur de ton sein chaleureux », bien que l’image du sein connote également la figure maternelle et le bonheur de l’enfance. Baudelaire va ensuite donner libre cours a la rêverie d’un

rocher solide de la fraternité. Que la nation ne tienne pas compte de l'urgence du moment, qu'elle sous-estime la détermination des Noirs, lui serait fatal. Cet été étouffant du mécontentement légitime des Noirs ne prendra fin qu'à l'arrivée d’un automne vivifiante qui amènera liberté et égalité. L'année 1963 n'est pas une fin, mais un début. Ceux qui veulent croire que les Noirs seront satisfaits seulement de s'exprimer avec force auront un fâcheux réveil si la nation revient aux affaires habituelles

refusant la modernité. C’est dans « Zone » qu’il évoque le plus de termes concernant le nouveau Paris, mais on retrouve souvent dans le recueil des références à des moyens de transport moderne, notamment le train, par exemple avec les derniers vers d’ « Automne », dont le rythme imite même le bruit d’un train qui roule. L’un des autres indices de modernité est justement le thème du voyage et de l’attirance pour l’ailleurs : le recueil emmène le lecteur en Allemagne avec la section des “Rhénanes”, en Angleterre

par une femme. Analyse Premier quatrain : Le vers 1 est une métaphore de la femme. Baudelaire la compare à « un beau ciel d’automne, clair et rose ». Le point d’exclamation marque la stupéfaction face à la beauté. Néanmoins l’antithèse entre « automne », qui est une saison détestée par Baudelaire et assimilée au Spleen, et « beau ciel […] clair et rose » annonce que l’on n’est pas dans l’idéal. ‘Il y a un problème’ avec cette femme. Au vers 2, le « mais » introduit l’idée du Spleen plus clairement

Mai Tout conjugue le verbe aimer. Voici les roses. Je ne suis pas en train de parler d'autres choses; Premier mai! l'amour gai, triste, brûlant, jaloux, Fait soupirer les bois, les nids, les fleurs, les loups; L'arbre où j'ai, l'autre automne, écrit une devise, La redit pour son compte, et croit qu'il l'improvise; Les vieux antres pensifs, dont rit le geai moqueur, Clignent leurs gros sourcils et font la bouche en coeur; L'atmosphère, embaumée et tendre, semble pleine, Des déclarations

passante », « Chant d’automne », Les Fleurs du mal. Nerval, « Une allée du Luxembourg ». Apollinaire, « Automne », Alcools, Gainsbourg, « Je suis venu te dire que je m’en vais… », 1973. « M. Prudhomme visitant les ateliers de l’exposition de peinture », publié dans Le Charivari, 1855 « Les Poires », transformation caricaturale de Louis-Philippe, parue dans La Caricature, 1831 Tableaux impressionnistes de Sisley « La neige à Louveciennes », Monet « Automne à Argenteuil