Chapitre 4 La Globalisation Financiere

Laila « Crises financières internationales et risque systémique » Jean-Marie LEPAGE Sommaire 1-Présentation de l’ouvrage 2-Présentation de l’auteur 3-Problématique 4-Le mode de démonstration 5-Résumé de l’ouvrage Partie 1 : Déséquilibres macroéconomiques et globalisation financière Chapitre 1 : la fragilité du système économique mondial Chapitre 2 : La réalité de la globalisation financière Partie 2 : Les crises d’un

les moyens : Le recours au financement indirect, par intermédiaire d’une banque, et au financement externe direct en faisant appel au marché financier. Le marché financier primaire : -Permet aux entreprises et à l’Etat de trouver des ressources financières nécessaires à leur activité économique -Rend possible le financement, en totalité ou en partie, des investissements nécessaires à l’amélioration de leur compétitivité. III. Le marché financier secondaire Le marché des titres d’occasion permettant

CHAPITRE 4 : La Globalisation Financière I) Caractéristiques de la globalisation financière Les marche des capitaux met en relations les agents à capacité de financement et ceux a besoin de financement. Sur les marchés de capitaux, on échange des capitaux, c'est-à-dire de l'argent matérialisé par des titres ou des devises. Les titres du marché monétaire (titres de créances négociables et bons du Trésor) portent sur des échéances qui vont du très court au moyen terme, tandis que ceux du marché

Chapitre 1 la globalisation des marchés de capitaux I L’émergence d’un marché mondial des capitaux 1 Qu’est-ce que la globalisation financière 2 Un essai de définition Un seul marché de capitaux sans barrière afin que les capitaux puissent circuler librement Obj ectif : Un seul marché, une seule banque centrale,… Marchés de capitaux connus : • la bourse (synonyme : marché financier) = lieu fictif ou réel ou se rencontre les offreurs (ménages banques entreprises

THEME 4 : LE FINANCEMENT DES ACTIVITES ECONOMIQUES (20 heures) Chapitres 4 et 5 : GLOBALISATION & INSTABILITE FINANCIERES (6 heures) I – LE PROCESSUS DE GLOBALISATION FINANCIERE A) Définition de la globalisation financière A) Les déterminants de la globalisation financière 1. Les 3D 2. Les TIC 3. L'évolution démographique B) Les conséquences et l'évolution de la globalisation financière 1. L'accroissement des flux de capitaux 2. La diversification

Chapitre 1 : Le concept d’internationalisation Table des matières Introduction générale ........................................................................................................................................... 2 1. Transformations de l’environnement international.......................................................................... 2 1.1. De la mondialisation à la globalisation ......................................................................................... 3 1

L’Economie de la Panique, faire face aux crises financières Jérôme Sgard1 Paris, La Découverte, septembre 2002, 300 pages __________ Thèmes principaux et conclusions L’Economie de la Panique se présente d’abord comme une histoire des crises financières qui ont secoué l’économie mondiale depuis le Mexique en 1995 jusqu’à l’Argentine cette année. Ce livre remet en perspective ces expériences successives et les débats de politique financière internationale qui les ont accompagnés : impact des

Chapitre 4. Globalisation et souveraineté nationale (1e partie) René Sandretto La mondialisation (dans les travaux anglo-saxons : la “globalisation”) est une expression à la mode. Et, comme c’est souvent le cas des expressions à succès, elle véhicule des ambiguïtés. En première analyse, on peut définir la globalisation comme le rétrécissement de la planète, c’est-à-dire la densification des interdépendances et des interconnexions à travers les frontières. Ce processus tend à constituer la planète

sur la coopération internationale et le développement (CECID) de l’ULB et à l’Unité de recherche en Relations internationales de l’ULG Il a été porte-parole du mouvement Alter-mondialiste Attac, militant pour une taxe sur les transactions financières. Biberonné à l’alter mondialisme depuis des lustres, il a pris les rênes du centre national de coopération au développement en 2008, cette coupole qui regroupe des associations actives dans le développement des pays les plus pauvres. Il a écrit

Rainelli (chapitre I), le libreéchange n’implique pas le « laisser-faire », au contraire : qu’il s’agisse de reconversion des salariés et des territoires menacés pas la concurrence internationale, de la construction stratégique d’avantages compétitifs, de la régulation d’un système financier efficace, de la politique commerciale, l’intervention de l’État est souvent nécessaire pour que l’échange procure les gains attendus et pour que ceux-ci ne soient pas trop inégalement répartis. La globalisation financière