Chapitre De L Homme De La Bruyere

traits spécifiques qui sont rappelés dans les chapitres 31 et 32. Si les chapitres 33 et 34 sont consacrés à l’objet d’étude inscrit au programme de la classe de Seconde, ils pourront être utiles en classe de Première car c’est bien souvent dans cette classe qu’on peut aborder avec profit les chefs-d’œuvre de Corneille, de Racine ou de Molière. 165 CHAPITRE 31 Repères généraux Le texte théâtral (PAGES 158 à 163) Le premier chapitre consacré au genre théâtral rappelle les particularités

Rochefoucauld. Vers la fin du siècle. La Bruyère. Fénelon. (p.54) 14.La mise en question des valeurs établies. La Querelle des Anciens et des Modernes. Bayle. Fontenelle. (p.56) 15.Le roman au XVIIIème siècle : théories et réalisations. Montesquieu. Marivaux. Prévost. (p.58) 16.Le théâtre. Le sage. Marivaux. (p.61) 17.La crise de la poésie. Les idées esthétiques. La nouvelle sensibilité. (p.63) 18.Voltaire, théoricien, « philosophe » et écrivain. (p.64) 19.Un homme-clé du XVIIIéme siècle :Diderot.

servante zélée catholique aurait-elle pu souffrir que des huguenots assassinassent un jeune homme élevé par elle pour le punir d'aimer la religion de cette servante ? Comment Lavaisse serait-il venu exprès de Bordeaux pour étrangler son ami dont il ignorait la conversion prétendue ? Comment une mère tendre aurait-elle mis les mains sur son fils ? Comment tous ensemble auraient-ils pu étrangler un jeune homme aussi robuste qu'eux tous, sans un combat long et violent, sans des cris affreux qui auraient

patients, arrache des dents. Son idée de l’opérer le pied-bot d’Hippolyte termine par un grand échec dont résulte le besoin d’amputer la jambe. Il ne sait non plus aider Emma après qu’elle a avalé le poison. Ce qui touche pourtant chez ce médiocre homme est la capacité d’aimer. Charles Bovary aime follement Emma. C’est un amour sincère et profonde même s’il semble si gauche. Son dernier et le plus grand preuve est la mort du mari après celle de sa femme bien aimée. Le caractère de cet amour, le comportement

sur cette mer de la vie dans la frêle embarcation de l'indépendance. Napoléon Hill 5 Janvier Nul homme ne peut devenir grand sans se sentir humble et insignifiant en comparaison du monde qui l'entoure, des étoiles qui le dominent et de l'harmonie avec laquelle la nature fait son travail. Napoléon Hill 6 Janvier On ne fait bien que ce que l'on aime faire. Napoléon Hill 7 Janvier Si un homme s'est formé un caractère bien trempé, ce que les gens disent de lui l'indiffère parce qu'à la fin, c'est

linge gênaient la circulation; les matelots ne répondaient à personne; on se heurtait » la prosopographie description animée et comme vivante d'un personnage ou d'un groupe de personnages, variante de l'hypotypose les portraits de types chez La Bruyère dans Les Caractères la métalepse substitution métonymique consistant à identifier la cause pour la conséquence « Il a perdu sa langue » (pour « sa parole ») ll'ironie consiste à dire le contraire de ce qu'on veut entendre dans le but de railler

qu'il pousse suffisent pour le divertir. » (Fragment 126) « Qu'on laisse un roi tout seul sans aucune satisfaction des sens, sans aucun soin dans l'esprit, sans compagnies, penser à lui tout à loisir, et l'on verra qu'un roi sans divertissement est un homme plein de misères. » (Frag. 127) « Que le cœur de l'Homme est creux et plein d'ordure ! » (Frag.129) Résumé Liasse II : Vanité (fragments 11 à 48) Pascal dénonce un certain nombre de pratiques ou de défauts de l'être humain (les « puissances trompeuses

l’Evangile de Jean ; Le Paraclet Machiavel, Le Prince, chapitre XVIII, 1532 Michel de Montaigne, Essais, II, 12, « Apologie de Raymond Sebond » ; III, 9, « de l’art de conférer » XVIIe-XVIIIe René Descartes : Discours de la méthode, 5e partie, 1637 ; Lettre au marquis de Newcastle, 23 novembre 1646 Thomas Hobbes, Léviathan, I, De l'homme, chapitre VI, 1651 Arnauld et Lancelot, Grammaire générale et raisonnée, II, chap.1, 1660 Jean de La Bruyère, Les Caractères, «  de la société et de la conversation »

mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. 3 SEPTEMBRE 1847 S1 LE DEUIL D’ORPHÉE - TEXTE 3 Notre vie Paul Éluard, Le Temps déborde, 1947 Notre vie tu l'as faite elle est ensevelie

synthétisé avec brio l'état d'esprit de son époque, âge d'or des maximes. On a dit que la maxime, lapidaire et brillante, n'était pas suffisante pour parler de l'homme. Pourtant, du philosophe Pascal à Nietzsche et Cioran, en passant par La Fontaine, La Bruyère ou Vauvenargues ou Baltasar Gracian, la forme brève (pensée, sentence, remarque ou aphorisme), a prouvé qu'elle était apte à " nous donner des nouvelles un peu sûres de nous ", pour reprendre l'expression que Marivaux appliquait à la littérature romanesque